IMMIGRATION
L’extrême-gauche au service du capitalisme et de la haute finance
Leur
intérêt commun : la disparition des frontières nationales.
À
Calais les « no-borders » sont soutenus par le milliardaire George
Soros.
Alors que la ville de Calais tombe un peu
plus chaque jour dans le chaos face à l'invasion de migrants, qui sont ces
« no-borders », ces militants d'extrême gauche qui
enfreignent les lois pour venir en aide aux clandestins ?
Les « no-borders » forment
un collectif de militants fondé en 1999 et que l'on retrouve aujourd'hui dans
l'ensemble de l'Europe et qui lutte pour la disparition des frontières. À
Calais, ces militants sont regroupés autour du collectif « Calais
Migrant Solidarity ». Ce sont
ces extrémistes qui le 23 janvier dernier, ont aidé les migrants à s'introduire
illégalement dans le port de Calais et à prendre possession d'un ferry.
Mais
derrière l'image d'anarchistes et de militants d'extrême gauche se cache une
réalité bien peu glorieuse. On est pour le moins surpris de voir que ces
gens-là n'hésitent pas à présenter les organismes qui les soutiennent, des
organismes qui révèlent la vraie nature de ce lobby pro-immigration.
Hypocrisie
et mensonges de l’UE qui finance les « no borders »
Sur leur
site internet,
les « no-borders » affichent une liste de plus de 550
organisations dans tous les pays d'Europe qui les soutiennent. Et là, grande
surprise, on est très loin d'organisations d'extrême gauche. Pour en citer quelques-unes,
on retrouve, entre autres, le Conseil de
l'Europe, la Commission Européenne,
plusieurs groupes parlementaires du
Parlement Européen, le Home Office
(ministère de l'intérieur britannique), le Département
fédéral des affaires étrangères suisse, le conglomérat d'entreprises
suisses Migros, etc...
Cerise sur le gâteau, on retrouve également
parmi ces soutiens, la très puissante et ultra-libérale Open Society
Foundation, la fondation fondée par le milliardaire George Soros. Une fondation
qui est tristement connue pour avoir, entre autre, créé l'organisation OTPOR
qui a renversé le gouvernement Serbe de Slobodan Milosevic avec le concours de
la CIA. En France, l'Open Society a également financé le Collectif Contre
l'Islamophobie en France (CCIF), une organisation dont le président Marwan
Muhamad, avait déclaré en 2011 : « Qui a le droit de dire que la
France dans trente ou quarante ans ne sera pas un pays musulman ? Qui a le
droit ? Personne dans ce pays n’a le droit de nous enlever ça. Personne
n’a le droit de nous nier cet espoir-là. »
La
nature de ces soutiens et le fait qu'ils soient clairement affichés sur leur
site internet démontrent sans ambiguïté la réalité du mouvement « no-border ».