L
|
a France connait
de plus en plus régulièrement des scènes d’émeute et de guerre civile ethnique.
La violence va crescendo et les forces de l’ordre subissent des pertes de plus
en plus nombreuses. Il y a quelques années déjà, après les « heurts »
de Grenoble, certains fonctionnaires de Police ont même dû être
« exfiltrés » pour les soustraire aux menaces de vengeance de la
racaille. ■
Aujourd’hui, les choses n’ont fait
qu’empirer. De plus en plus de Français de souche sont quotidiennement
agressés, lynchés, détroussés, tués, des femmes violées… et tout cela dans le
plus grand silence médiatique et la plus grande indifférence politique. Car
officiellement le racisme anti-Blanc n’existe pas et, surtout, ne peut pas
exister puisque seul le Blanc est raciste et, par voie de conséquence,
responsable de tous les maux.
Face
à de tels agissements, l’État Français semble comme paralysé et s’interdit
bêtement toute réaction de la même manière qu’il interdit à sa propre
population autochtone le droit de réagir y compris face à des agressions
ouvertement anti-françaises. La fameuse histoire de « Papy Galinier »
condamné à rester en prison pour s’être défendu (libéré depuis), et ces
racailles relâchées après avoir tiré sur des Policiers sont ici des exemples
flagrants de la faillite du système. Et tout cela, sous le fallacieux prétexte
de ne pas sombrer dans « l’amalgame », le « délit
raciste », la « stigmatisation » !
LA LOI PLEVEN À
L’ORIGINE DE NOS MAUX
La
raison de cette attitude purement suicidaire repose essentiellement sur le
conditionnement imposé par la Loi n°
72-546 du 1er juillet 1972 – dite « Loi Pleven » -, intervenue à
la suite de la ratification par la France de la Convention de New York. C’est
son application qui permet notamment à des associations comme SOS Racisme de se
porter partie civile dans nombre de procédures. Depuis près de 40 ans qu’elle
sévit, beaucoup de nos compatriotes en ont déjà fait les frais.
Directement
inspirée par les tristes évènements de la Seconde Guerre Mondiale, cette Loi
était, à l’origine, censée combattre le racisme anti-juif principalement. De la
part de René Pleven, lui-même d’origine juive, l’idée reposait sur la volonté
de ne pas voir rééditer ce qui s’était passé durant la dernière Guerre Mondiale.
Ça, on le comprend mais le problème est que la France de 1972 n’était pas
spécialement anti-juive ! Depuis, cette « Loi
Pleven » a été complétée par tout un arsenal juridique et, entre
autres, par la « Loi Gayssot »
votée le 2 Mai 1990 sur proposition du groupe communiste à l’Assemblée ainsi
que par les lois dites « mémorielles »
de 2005.
Or,
la France n’avait pas besoin de telles lois dans la mesure où notre Pays n’est
pas historiquement une Nation de nature anti-juive. Loin s’en faut, nonobstant
l’existence de certaines tendances marginales à l’extrême gauche comme à
l’extrême droite. L’abrogation de ces lois ne verrait donc pas pour autant la
France basculer dans un quelconque État fasciste, raciste ou anti-juif.
D’ailleurs, si l’on faisait aujourd’hui un sondage sur le sujet, on
s’apercevrait vite que l’écrasante majorité des Français est favorable aux
Israéliens contre les Palestiniens… les Palestiniens dont nous payons néanmoins
les salaires et les retraites des fonctionnaires via la Commission de Bruxelles
et qui viennent d’être reconnus comme « membre observateur » à
l’ONU ! Mais ce sondage n’est pas prêt d’être réalisé car les Juifs ne
sont qu’environ 700 000 parfaitement intégrés contre au moins 6 millions de
musulmans sur notre Territoire… et ce qui reste d’État est surtout très
soucieux d’acheter à tout prix ce qu’il convient d’appeler « la paix
civile ». Donc, c’est clair : pas
de sondage ni de discussion sur le sujet !…
RECONQUÉRIR
LA LIBERTÉ D’EXPRESSION
Quoi
qu’il en soit, sur le plan juridique et sociétal, le mal est fait et le bilan
de ces Lois est aujourd’hui affligeant : tout
ce que la France compte d’anti-Français s’engouffre dans cette brèche sous
couvert d’antiracisme, d’égalité, de reconnaissance cultuelle et culturelle ou
prétendue telle, d’humanitarisme, en fustigeant au passage notre passé colonial
sans oublier le sempiternel couplet sur l’esclavage. Toute discussion
touchant de près ou de loin aux problèmes de l’immigration se trouve dès lors
faussée par le risque d’anathème encouru par celui qui, non seulement ne sera
pas d’accord avec la version officielle, mais aussi qui ne tiendra pas les propos
politiquement corrects attendus. Ne pas se dire raciste n’est plus suffisant :
il faut aussi se dire antiraciste si on ne veut pas être traité de raciste.
Montrer « patte blanche » -sans jeu de mot-, donner des gages et des
assurances de sa « bonne moralité » sont devenus les points de
passage obligés pour être admis à formuler une opinion autorisée… j’allais dire
une « opinion halal » ! La liberté d’opinion et d’expression dont se
targuent les poncifs nationaux de tous poils est devenue un leurre. Un miroir
aux alouettes ! Le Peuple censé être souverain doit se taire, se plier, courber
l’échine, se nier et se renier pour obéir aux injonctions de la
« bien-pensance ». Sa propre
identité lui est même déniée : il n’est même pas une langue, ni une culture… il
doit se métisser… bref, il doit disparaître, s’effacer.
Notre
Pays vit désormais dans un état second, comme anesthésié. Chacun se rend bien
compte que nous assistons à une sorte de suicide programmé qui laisse augurer
de la fin prochaine de notre Nation. Tout
simplement par remplacement de population. Sans tomber dans un délire
« conspirationniste », il faut bien admettre ici la duplicité, la
couardise des responsables politiques et des médias qui continuent leur petit
bonhomme de chemin dans le déni de réalité le plus complet. Les journaux
télévisés sont d’une platitude et d’un conformisme désespérants. Les quelques
rares journalistes de la presse écrite encore conscients des faits sont
superbement ignorés, dédaignés et traités avec la plus grande désinvolture
quand ce n’est pas avec mépris. Seul, et c’est là une réalité médiatique
relativement nouvelle, le Web permet encore de faire circuler les informations
bannies des chaînes de radios et de télévisions. Là souffle encore un certain
vent de liberté mais il convient néanmoins d’y rester prudent. En effet, quand on voit le nombre de vidéos
anti-islamiques supprimées, censurées au seul motif qu’elles auraient offensé
quelques barbus, on se dit que le temps n’est pas loin où le point de rupture
sera atteint. Si ce n’est déjà fait.
IL FAUT ABROGER LES
LOIS ANTIRACISTES, LIBERTICIDES ET ANTI-FRANÇAISES
Alors oui, il faut
abroger toute cette batterie de lois dites « antiracistes »… Non pas pour, ensuite, aller
véhiculer précisément des théories racistes dont nous n’avons pas besoin, mais
pour libérer la parole, pour redonner de la liberté d’expression et pouvoir
aborder des sujets sensibles sans risque de poursuites judiciaires. Il est
complètement anormal et injuste que quelqu’un puisse être condamné pour avoir
simplement dit « Y en a marre de l’immigration, c’est une véritable
invasion ! ». Les partisans de l’idéologie antiraciste craignent-ils à ce
point la contradiction qu’il leur faille se draper dans les oripeaux d’une
justice à géométrie variable ?
Il
faut abroger ces lois absurdes qui rendent un crime plus grave s’il est avéré
« raciste ». Un Blanc qui tue un autre Blanc, c’est grave. Un Blanc
qui tue un Noir, c’est encore plus grave. Qu’est-ce que cette « philo de
comptoir » qui consiste à majorer l’intention -si tant est qu’elle ait
existé- par rapport à l’acte lui-même ! Un crime reste un crime. Un meurtrier
doit être condamné de la même manière, quelle que soit sa race et celle de sa
victime.
Et
puis enfin, il faut abroger ses lois qui reconnaissent à certains organismes
une prépondérance morale institutionnalisée qui n’est en rien le reflet de leur
représentativité et qui les autorisent à ester en justice pour des affaires où
ils ne sont en rien concernés. Combien de fois le MRAP, la LICRA, SOS-Racisme (lire « Il faut dissoudre SOS-Racisme »)
ont-il touché des dédommagements pour des actes juridiquement qualifiés de
« racistes » commis en leur absence et sans jamais avoir pris, ne
serait-ce qu’une seule fois, la défense d’un Français de souche victime de
racisme ! Sans même parler des subventions publiques éhontées accordées à ces
mandarinats qui se comportent comme de véritables garde-chiourmes de la pensée
unique !
La France ne pourra
retrouver sa liberté d’expression et ses capacités d’auto-défense que
lorsqu’elle se sera débarrassée de ces lois liberticides et anti-françaises.
LA
RECONQUÊTE FRANÇAISE
L’abrogation de ces
Lois sera donc une œuvre de salubrité publique et morale. De ce point de vue, les mouvements
nationalistes et identitaires ont parfaitement raison. Mais, en la matière,
faut-il compter sur la « représentation nationale » ? À l’évidence,
non. En 1990, l’opposition RPR-UDF-Centriste avait combattu le projet de
« Loi Gayssot ». Revenue aux affaires en 1993 (gouvernement Balladur)
et après l’élection de Chirac en 1995, on aurait pu croire que la Droite
parlementaire abolirait cette Loi qu’elle avait combattue… et bien, non. Ce fut
même le contraire sous l’impulsion de tristes sires comme Toubon qui souhaitait
notamment porter à 600 000 francs le montant d’une amende pour insulte raciale
!!! Du pur délire. Dans ce domaine, le passage de Sarkozy et l’arrivée de
Hollande n’auront rien arrangé… bien au contraire.
Muselée
et castrée par ses propres lois, emberlificotée dans les méandres d’une Europe
bruxelloise où elle a bradé sa souveraineté, la « représentation
nationale » est incapable du coup de rein, du sursaut nécessaire. Le
ressort démocratique étant brisé, que reste-t-il comme solution au Peuple
Français graduellement dépouillé de ses droits, de sa monnaie, de son
indépendance, de son identité ? Quel moyen le Peuple Français qui gronde a-t-il
encore à sa disposition pour reprendre en main les rênes de son destin ? Notre
Histoire nationale nous enseigne que, même dans ses heures les plus sombres,
notre Peuple a su trouver la volonté, l’énergie et le courage de refuser la
fatalité… Tout le monde y pense… de plus en plus nombreux sont ceux qui en
parlent : le « clash » ! Oui, le « clash » ou la
« seconde hypothèse » selon le mot de Jean Raspail qui préfère ne pas
l’évoquer sans la présence de son avocat (lire« Quand la Patrie est trahie par la République »).
De toute manière,
maintenant, c’est à ce prix que la France pourra commencer d’opérer sa propre
Reconquête.
© Reproduction autorisée avec la
mention et le lien : Marc NOÉ, Ancien Maire-Conseiller Général de Seine-et-Marne pour FPI-Le Gaulois