TERRORISME
En fait, est-ce vraiment un
choix ?...
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Le sujet polémique du moment largement
repris par les médias avides de sensationnel est la question de savoir comment
gérer le sort des combattants ou des sympathisants d'origine « Française » après
la chute de l'état islamique en Irak et en Syrie !
Qu'ils soient entre les
mains de l'armée Kurde ou de l'armée Nationale Syrienne, un certain nombre de «
nos compatriotes » qui, soudainement, se souviennent être avant tout Français
souhaitent revenir au pays… celui qu'ils ont volontairement quitté pour aller
jouer à la guerre dans ces contrées exotiques qui fleurent bon la haine de
l'Occident.
Le simple fait de se poser la question
de savoir comment faire est déjà en soit une réponse qui, hélas, laisse à
penser qu'une fois encore c'est l'émotif qui va l'emporter sur le rationnel.
Et nul doute que ces transfuges pourront compter sur une
grande clémence de nos dirigeants qui justifieront leur décision basée sur
des critères humanistes, droit de l'hommistes : en l’occurrence éviter à
ces brebis égarées de subir un sort peu enviable de la part de ceux qui ont
combattu daesch et ses partisans, et qui ont sans doute une ardoise à effacer. Et
bien sûr tenter de nous apitoyer, kleenex à l'appui, avec les femmes et les enfants qui ne seraient rien d'autre que d'innocentes
victimes collatérales embarquées dans cette aventure à l'insu de leur plein
gré.
Il ne fait donc aucun doute
que nous n'allons pas tarder à voir débarquer à Roissy ces rebuts de l'humanité
que nous allons devoir prendre en charge, même si par un heureux hasard ils
devaient faire l'objet d'une procédure judiciaire et pénale et répondre de leur
soutien et participation à une entreprise terroriste. Mais avec à la clé des
sanctions homéopathiques sans aucune mesure avec celles encourues si ils devaient ne pas être extradés.
Ce sera d'ailleurs l'occasion de voir
comment le nouveau président Macron appréhende ce dossier et nous éclaire sur
sa politique étrangère Moyen Orientale : à commencer par la lutte contre
le terrorisme et l'implication de ressortissants nationaux qui partagent la
vision de ceux qui souhaitent notre disparition au nom de l'islam conquérant.
D'ailleurs, s’il devait
rencontrer un dilemme insoluble au sujet de ces ressortissants Français qui le
sont par erreur, rien ne lui interdit de déclencher un référendum pour demander leur avis aux Français et adopter une
réponse qui tiendrait compte de l'avis majoritaire. Chiche !...