ISLAM
N
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'étant
pas plus bêtes que les autres, les adeptes de l'islam radical ont compris que
notre société était maintenant mure pour tout gober. Et que, pour réussir leur
entrisme politique, ils pouvaient se servir de tous les moyens, même les plus
subtils, quitte à utiliser une musulmane apparemment soft, au visage d'ange et
à la voix suave, lauréate dans une émission de variétés, « The Voice ».■
L'ISLAM RADICAL S'INSTALLE SUR LE DÉSORDRE DES
IDÉES
ET LE MANQUE DE DISCERNEMENT GÉNÉRALISÉ
M
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anque de bol, cette « modérée » n'a pas pu
effacer « ses erreurs de jeunesse »
: outre son manque de compassion - c'est le moins que l'on puisse dire - envers
les victimes de terroristes islamistes, ses anciens posts et tweets révèlent
aussi sa proximité avec Tariq Ramadam, à qui elle voue une admiration sans
borne, et Sarah Magida
![]() |
Mennel
Ibtissem, la chanteuse voilée
de
« The Voices »
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Toumi, franco-tunisienne, présidente de Lallab
(association proche des Frères musulmans) qui vient d'être nommée membre du
Conseil Présidentiel pour l'Afrique… Il y a quelques années, la lauréate avait
également partagé une vidéo en compagnie de Hassan Iquioussen, membre de l'UOIF
; lequel n'a jamais caché sa haine des Juifs, « avares et usuriers » disait-il… Le parcours de la jeune
femme en dit long sur la stratégie de conquête des islamistes et sur la
soumission au communautarisme de toutes les instances médiatico-politiques du
pays. Non content d'avoir déjà contaminé tous les déracinés et les acculturés
de France en recherche d'identité, l'idéologie
de l'islam radical s'installe maintenant, partout, allègrement, sur le désordre
des idées et le manque de discernement généralisé.
L’ISLAM N’A PAS À IMPOSER SES EXIGENCES
M
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ais nos hommes et nos femmes
politiques, dépassés par l'ampleur des dégâts de leurs incompétences, préfèrent
continuer dans leur déni du problème. À cause d'eux, la France recule, toujours
et encore, sous les assauts de l'islam conquérant. Sauf, heureusement, quand la
réaction populaire devient un peu trop vigoureuse.
Par
contre, on a de quoi s'inquiéter sur les promesses d'Emmanuel Macron d'aborder
la question de l'organisation du culte musulman. Comme si cela aller de soi.
Pourtant, en tant que chef d'un État laïc, notre président devrait savoir que
ce n'est pas à l'État de gérer les religions : elles doivent s'organiser
elles-mêmes !
Pour respecter les lois de
la République, si l'islam veut se faire accepter, sa propre réforme s'impose,
car ce n'est pas à la République de se réformer pour accepter l'islam. Cette idéologie n'a pas à poser ses
exigences, ni à imposer une visibilité accrue, déjà suffisamment désagréable et
un peu trop pesante.
COLLUSION DE L’ISLAM ET DES MONDIALISTES
L
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a
religiosité de l'islam politique n'est qu'une tartufferie qui lui permet de
collaborer activement à la dilution de la France dans le magma mondialiste.
Pour les tenants du libre-échangisme financier, tout ce qui va dans son sens ou
qui ne
dérange pas son business, est une aubaine. On ne compte plus les marques
de mode qui proposent des tenues islamistes ou tout au moins,, des voiles, en
ne voulant pas voir le signifiant contre la liberté des femmes. Mais, c'est
aussi simple que ça : le fric est au-dessus de tout autre considération !
L'islam fait vendre ? Alors vendons tout ce qui peut rappeler, de près ou de
loin, cette idéologie. Tous ceux qui se
fourvoient dans cette inextricable tromperie, en ne croyant voir qu'un bénéfice
(?) à court terme, participent à la banalisation de l'islam radical. Surtout,
l'islamisme, outre son terrorisme, s'épanouit et ne se conforte que par nos
institutions démocratiques dévoyées. L'incapacité et le manque de vigilance
de nos responsables à comprendre la complexité de l'islam (religion et
institution politique), font que les islamistes les plus déterminés, les plus
intégristes, gagnent tous les jours un peu plus de terrain.
►Avant qu'il ne soit trop tard et sans
attendre la prise de conscience -improbable - de nos élites complètement
larguées, un sursaut populaire massif devient impératif. Plus que jamais, c'est
nécessaire et urgent.■