TRIBUNE LIBRE
J
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e ne
sais pas pour vous, mais moi j'en ai soupé de ce que je lis sur tous les
mouvements et associations de défense sur, l'identité française, la
confiscation des pouvoirs politiques, les atteintes à la liberté d'expression,
la dictature du politiquement correct, l'islamisation du pays, la politique du
multi-culturel, bla, bla, bla...■
C
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hacun y va de son couplet,
les uns étudient la question et en font une synthèse tellement alambiquée que
personne ne sait où le rédacteur veut en venir, les autres plus politiques, se
gardent de trop développer le sujet et caressent l'espoir de dégoter le moment
venu un poste dans un « futur-nouveau gouvernement »...
Les plus érudits écrivent
des livres et des analyses que le bon peuple ne lira pas, non parce qu'il en est
incapable, mais parce qu'il en a marre de les entendre ergoter
philosophiquement et pompeusement sans proposition réelle de changement.
Les excités du clavier eux,
continuent sur les réseaux sociaux à pérorer, insulter, partager, dénoncer,
mais ne se montrent jamais de peur d'être photographiés par la maréchaussée -
courageux mais pas téméraire -.
Quant
à ceux qui se disent prêts à résister, ils sont encore trop peu présents
lorsqu'ils sont sollicités. Je suppose que la situation du pays ne leur semble pas
suffisamment au bord du gouffre pour réagir en conséquence.
Bref, rien de bien nouveau
sous le soleil de France, tous ces mouvements ne proposent pas grand-chose pour
sortir de l'ornière. Oh bien sûr, tous demandent votre aide à grands coups de
cotisations, ils prônent le rassemblement par le nombre, « laissez venir à moi les petits adhérents », arguant que lorsque
vous serez suffisamment nombreux cette masse pourra peser sur les pouvoirs
politiques, ils continuent à vous faire croire que seul le nombre est salutaire
pour sauver le soldat France... mais qui
peut croire encore cela aujourd'hui ?
Le
seul mouvement politique qui pouvait encore nous donner un espoir s'est
lamentablement écrasé, ridiculisé, atomisé.
Nous savons tous aujourd'hui
qu'il ne faut plus rien attendre des politiques, mais savons-nous qu'il ne faut
pas croire non plus aux promesses des nouveaux partis, ou encore de ceux qui se
disent au-delà des partis ?
Notre
salut ne viendra que de la résistance. La Vraie, l'active. Mais qui dit résister
demande un peu de courage, et c'est cela le plus difficile pour le français,
frileux à l'idée d'être catalogué raciste et de l'assumer en affirmant que :
Résister,
c'est montrer que l'islam et l'islamisation de la France sont une réalité et
pas une vue de l'esprit.
Résister,
c'est être fier d'être français de souche, hétéro ou homo.
Résister,
c'est dénoncer le racisme anti blanc.
Résister,
c'est parler français, et être fier de sa culture française.
Résister,
c'est exiger que l'Histoire de France, la vraie, soit au cœur de l'Éducation
Nationale.
Résister,
c'est ne pas se flageller d'une repentance vis à vis de nos anciennes colonies.
Résister,
c'est ne pas faire de l'islam la première religion de France.
Résister,
c'est ne pas considérer l'islam comme une religion française.
Résister,
c'est empêcher le muezzin de retentir à la place de nos cloches.
Résister,
c'est empêcher les musulmans de s'approprier la chaussée pour prier.
Résister,
c'est dire non à l'invasion migratoire.
Résister,
c'est dénoncer ces associations et ces parrainages pro-migrants.
Résister,
c'est relayer sans relâche tous les attentats, assassinats, viols, tabassages
en règle, attaques des plus démunis, vols en tous genres.
Résister,
c'est arrêter de mettre des bougies, des nounours, des fleurs à chaque
attentat, et répondre œil pour œil, dent pour dent aux exactions perpétrées par
ces barbares et laissées sans réponse par notre justice française.
Résister,
c'est empêcher la « réquisition » par des « étrangers », de la maison ou de
l'appartement de son voisin lorsqu'il est absent.
Résister,
c'est montrer des clichés à ses enfants, de sa ville, de son village avant et
après l'arrivée de l'islamisation de son quartier… la liste est longue encore.
SEULEMENT POUR RÉSISTER AU PROCHAIN CHAOS, IL FAUT…
Accepter la réalité
et arrêter de se voiler la face (sans mauvais jeu de mots).
Cesser d'écouter les
mensonges des politiques, et ceux du président actuel.
Refuser que des
musulmans siègent à l'Assemblee, et autres institutions gouvernementales.
Rejoindre les réseaux
nationaux, régionaux, locaux dans chaque ville, chaque village, où l'entraide
de la communauté sera la priorité de chacun.
Se former et s'équiper
à la défense urbaine.
Ne pas avoir peur de
répondre à la violence par la défense.
Se former aux soins
médicaux d'urgence et de blessures de guerre.
Ne pas se laisser
surprendre par les prochaines pénuries de nourriture, médicaments, essence qui
verront le jour dans un futur proche.
Défendre sa vie et
celle de sa famille le jour venu, en légitime défense, sans avoir peur des
représailles judiciaires.
Refuser la soumission
à l'envahisseur.
Lui faire face pour
l'empêcher de s'implanter.
Cesser d'être des
assistés de naissance.
Retrouver l'honneur
d'être français de souche, et en être fier.
La
résistance « légale » dont certains parlent, n'existe pas. La
définition même du mot fera peut-être réfléchir certains :
Résistance
: Action de résister à quelqu'un, à un groupe, de s'opposer à leurs
attaques par la force ou par les armes (Larousse)
Refus d'accepter, de
subir les contraintes, violences et/ou vexations, jugées insupportables, qui
sont exercées par une autorité contre une personne, les libertés individuelles
ou collectives; l'action qui en découle. Résistance à l'abus, à l'arbitraire, à
l'injustice, au mensonge, à la tyrannie (Centre National de Ressources Textuels
et Lexicales B2).
Adhérer à un mouvement c'est bien, louable, et
c'est une première approche, mais cela n'a rien de très courageux. Que feront
tous ces adhérents qui espèrent peser sur les pouvoirs politiques (mais
totalement démunis face au danger), lorsque l'armée qui sera donnée sur ordre
du président, tirera sur ces résistants de papier, à grands renforts de
lacrymogène, de lance à eau (ou à balles
réelles, on l'a déjà vu), et/ou pour finir embastillés ?
Alors oui, je suis fatiguée
de lire tous les bla-bla, de ces bien-pensants de droite, de gauche, du centre,
des extrêmes, des politiques, de ceux qui ne sont affiliés à aucun parti, et de
ceux qui restent bien au chaud dans leurs charentaises, en attendant que le
voisin fasse pour lui ce qu'il devrait faire.
Soixante-dix
ans que le pays se laisse aller à une douce torpeur pendant laquelle l'islam a
fait son nid dans nos vies. Il est temps que les français, les vrais, ceux qui
veulent encore sauver l'avenir de leurs enfants, se lèvent et se retroussent
les manches.
Je lisais ce dimanche un
article sur le JDD et qui s'intitule : Islam de France : ce que veut faire
Macron - le 11 février 2018.
Dans cet article Emmanuel
Macron souhaite « réduire
l'influence des pays arabes, qui empêche l'islam français d'entrer dans la
modernité ».
Il
ne peut pas y avoir d'islam français Monsieur le président ! Nous n'en voulons
pas.
Dans cet article il
est dit aussi : Parmi ceux qui murmurent à son oreille (celle du Président)
Gérald Darmanin plaide que « la
période est propice. Il y a une accalmie sur le front du terrorisme, Macron a
une forte légitimité pour transformer le pays et une grande partie des musulmans
ressent cette nécessité d'avancer », explique le ministre des Comptes
publics, petit-fils de musulman et auteur d'un rapport sur « l'islam
français », en 2016, quand il militait encore à l'UMP.
Le ministre des comptes
publics bien sanglé dans son petit costume européen conserve bien au chaud son
petit cœur de musulman et travaille sans relâche au remplacement du petit blanc
chrétien.
Vos conseillers Darmanin,
Kepel, El Karoui et consorts Monsieur le Président peuvent bien dire ce qu'ils
veulent pour vous endormir, l'islam et les musulmans sont suffisamment retors
pour vous faire prendre des vessies pour des lanternes, et transformer la
France en pays du Maghreb. Alors adieu petit président dhimmi qui se croyait
plus malin que le Malin. (Voir l’article
d’Europe 1 « islam de France : ce que
veut faire Macron. »)
Que n'avons-nous un Tribun
pour haranguer les foules et faire prendre conscience aux français de l'urgence
de la situation.
Nous
ne devrons notre Salut qu'à notre seule résistance à l'ennemi le bien nommé :
l'islam, l'islamisme, les musulmans de souche, leur coran, les politiques et
hommes d'affaires adeptes du multi-culturel qui nous classent dans la catégorie
de « ceux qui ne sont rien ».
Je me souviens de la phrase
d'un ancien, qui me disait : « En
1944, on commençait déjà à parler allemand avant que les américains nous filent
un coup de main pour retrouver notre honneur... »
►Aujourd'hui j'ai envie de vous demander
: attendrez-vous de parler arabe pour retrouver le vôtre ?■
MARIANNE