LIBERTÉ
D’EXPRESSION
Finalement, aujourd’hui plus que
jamais, la France ressemble à celle qu’elle était dans les années 60/62, en
Algérie. Elle combat, de toute sa puissance policière, les résistants patriotes
et protège les terroristes, ces fellaghas nouvelle génération, qui ont décidé
d’islamiser la France.
Quand,
révoltés par la soumission de De Gaulle à l’islam terroriste algérien, les
vrais Français ont décidé d’agir enfin, les forces de police, l’armée et toute
la barbouzerie se sont alliées au FLN pour traquer du résistant Algérie
Française.
Ce matin, le ministre de
l’intérieur, aux ordres du président, est parti à la chasse aux patriotes. C’est
une habitante des Pyrénées Atlantiques, vraie française, qui s’est vue interpellée
et emmenée manu-militari par un commando du GIGN, pas moins.
Elle
est coupable d’adhérer au Siel, à Génération Identitaire, à Résistance
Républicaine, aux VPF et à Vigilance Halal. Autant dire, un crime de haute
trahison, pour l’équipe gouvernante !
Depuis
quelques temps, perquisitions, saisies de documents, de téléphones et
d’ordinateurs, de gardes à vue, sont le lot de tous ceux qui osent s’élever
contre la politique macronique (et la hollandesque, avant elle) qui tend à
offrir la place de leader à l’islam en France. Les responsables des sites anti
islamiques se voient surveillés et traqués comme de vulgaires délinquants et la
magistrature prend un plaisir jouissif à les condamner, pour le plus grand
bonheur des musulmans qui se voient, déjà, propriétaires de notre pays.
On se demande quand – mais
ça viendra – les forces de police sur ordre de leurs patrons, Collomb et
Macron, viendront envahir, au petit jour, les quartiers non-musulmans pour y
débusquer les éventuels résistants à l’islamisation, mettant à sac les
appartements à la recherche d’armes ou de tracts patriotiques contraires à leur
politique.
Parce que c’est exactement ce qui est
arrivé en Algérie. Quand, révoltés par la soumission de De Gaulle à l’islam
terroriste algérien, les vrais Français ont décidé d’agir enfin, les forces de
police, l’armée et toute la barbouzerie se sont alliées au FLN pour traquer du
résistant Algérie Française.
26 mars 1962 - Le massacre de la rue
d'Isly : la police et les gardes mobiles tirent sur les manifestants « Algérie
Française » désarmés.
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On se souvient de ces
manifestations franco-françaises réprimées jusqu’au massacre des populations
civiles désarmées dans les rues d’Alger sur lesquelles l’armée n’a pas hésité à
tirer faisant des centaines de morts et certains blessés, même, achevés d’une
balle dans la tête. Les gardes mobiles, ce ramassis de condamnés libérés des
prisons françaises et les CRS, grassement payés pour nous pourchasser et casser
du vrai Français, s’en sont donné à cœur-joie. La fibre patriotique, chez ces
gens-là, n’existe pas, seule compte la solde.
Et
que vous le veuillez ou non, nous sommes, présentement, dans la même situation.
Cela fait plus de six ans,
déjà, que les dirigeants français ont interdit à leurs forces de police de
poursuivre les délinquants, s’ils sont issus de l’immigration musulmane vivant
dans les cités qu’ils ont envahies. La première consigne nous est venue de M.
Alliot-Marie qui avait donné l’ordre de ne plus poursuivre les motos, scooters
et autres deux-roues par crainte qu’ils ne se tuent en voulant échapper à la
police.
Depuis,
ils en ont fait du chemin ces immigrés musulmans. Ils ont mis au pli toute la classe
politique du pays. Ils sont devenus intouchables.
La police ne s’aventure plus
dans les quartiers arabes. Elle intervient très peu dans les manifestations où
ils cassent et brûlent tout sur leur passage. On ne les condamne pas quand ils
crient : « A mort les Juifs » ou « Nique la France ». Ils ont tous les droits,
même celui d’attaquer la police aux cocktails Molotov ou à l’arme de guerre !
Pendant ce temps, on
condamne les kippas, les crèches et les croix sur la voie publique et la police
protège les musulmans dans les rues pour qu’ils prient quand bon leur semble.
Et si les Français ont le malheur de
critiquer l’islam ou les musulmans, sur un site ou dans une réunion, pour peu
qu’il y ait des taupes qui les dénoncent comme le préconise notre président,
ils seront traduits en justice et condamnés à payer… pour l’instant.
5 juillet 1962 - Oran - Le gouvernement
laisse 3000 Français
se faire massacrer par le FLN
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Au train où vont les choses,
ils seront bientôt condamnés à la prison. Et quand ils embastilleront les
résistants, ils les auront livrés pieds et poings liés aux musulmans qui
foisonnent dans nos pénitenciers.
Tout
comme ils le faisaient en Algérie où ceux qui se faisaient arrêter,
arbitrairement, par les gardes mobiles étaient remis aux arabes du FLN sans
autre forme de procès.
La situation est devenue
gravissime. Les dirigeants français n’ont pas encore compris que ce favoritisme
affiché pour l’islam, au détriment de nos religions chrétienne et juive, ne
pouvait que creuser le fossé qui est d’ores et déjà insurmontable envers ces
communautés.
Quel Français, juif ou chrétien ou athée,
devant le spectacle que lui offrent ces musulmans, chaque jour à chaque moment,
peut dire qu’il les supporte ? Aucun. Les Français en sont arrivés à haïr le
fait même qu’ils soient de type arabo-africain. Ils les fuient comme ils
fuiraient la peste. Ils n’en veulent pas. Ils n’en veulent plus.
Est-ce que des hommes qui
ont la responsabilité de gouverner un État ne sont pas capables de comprendre
que leur politique fait plus de mal que de bien ?
Est-ce qu’ils consentiront à
redresser la barre rapidement ou attendront-ils que la colère qui gronde
explose tout à fait ? C’est la question que l’on peut se poser. Pourtant,
l’Histoire nous a appris qu’un chef d’État buté et imbu de sa personne pouvait
entraîner tout un peuple à la révolte.
Et
toute révolte condamne, forcément, des innocents. ■
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Danièle Lopez pour Dreuz.info