TRIBUNE LIBRE
(Voir
aussi l’article du Gaulois : Le milliardaire Soros et les euromondialistes soutiennent
les «no borders»)
Ces gangsters qui dirigent l’Amérique ne
laissent rien interférer dans leur impitoyable agenda qui ne sert qu’à fomenter des guerres contre l’humanité au
seul service d’intérêts financiers. Comme pour John Fitzgerald Kennedy,
Robert Francis Kennedy ou Martin Luther King, les « longs couteaux »
vont-ils éliminer Trump à l’ancienne ? À savoir qu’un lampiste soit arrêté
après que le forfait a été commis, qui sera injustement enterré à vie en
prison ?
Comment
son élimination est-elle programmée ? Un accident d’avion, un autre fatal
événement ou une maladie subite qui le terrassera comme l’éclair ?
Aura-t-il disparu avant que les républicains aient choisi leur candidat en
juillet ou peut-être avant l’élection de novembre ?
Les milliardaires n’ont pas réuni, comme je
le disais dans une précédente chronique, 75 millions contre Trump, mais 125 ! À peine
croyable ! Cette fortune sert à matraquer le peuple de publicités
anti-Trump sur tous les supports à disposition, et cela 24 h/24 ! Et comme
si cela ne suffisait pas, une méthode supplémentaire pour déstabiliser le
candidat de l’intérieur est mise en place en introduisant des « protestataires »
provoquant des séquences violentes que nous avons pu voir à la télévision et
sur tous les réseaux sociaux du monde. Ce qui a contraint Donald Trump
d’annuler le meeting de Chicago. On a aussi pu voir, au cours du meeting
suivant, un jet de bouteille en direction du candidat républicain,
immédiatement encerclé par les forces de sécurité ! Ces agitateurs ne sont certainement pas là gratuitement.
Si les
antifas contre PEGIDA sont payés 20 € de l’heure par le Land de Saxe, comme je
le révélais également dans ces colonnes, l’on est raisonnablement en droit de
croire que c’est la même chose pour ces provocateurs qui s’introduisent dans
les meetings de Trump.
Les millions récoltés contre le candidat
doivent aussi servir à cela. Last but not least, Ted Cruz, en mode « Fourberies
de Scapin », en remet une louche, déclarant que Trump récolte ce
qu’il a semé avec ses « discours de violence ».
Il y a quelques jours, dans une chronique,
Pat Buchanan s’est posé ouvertement la question : « Les
oligarques vont-ils tuer Trump ? »
Mais qu’est-ce qui rend les « néo-cons »
dans ces états de transe mortelle ?
Trump
ne fait qu’affirmer les choix profonds des Américains, c’est-à-dire :
1) que la guerre en Irak
est un désastre historique ;
2) que lui, Trump, sera
un intermédiaire honnête entre Israéliens et Palestiniens, comme l’était Jimmy
Carter à Camp David ;
3) qu’il veut
s’entendre aussi bien avec Poutine que Nixon avec Brejnev et Mao ;
4) qu’il refuser
d’engager de nouvelles croisades pour la démocratie ;
5) qu’il ne s’opposera
pas aux bombardements de la Russie sur Daech ;
6) qu’il va construire
ce mur à la frontière avec le Mexique ;
7) qu’il fera supporter
à de riches alliés les frais de leur défense.
Trump
est un nationaliste populiste, deux termes qui ne sont un péché qu’aux
yeux des seuls « néo-cons », lesquels sont des mondialistes,
immigrationnistes, comme les tenants du politiquement correct européens. C’est bien la raison pour laquelle il faut
espérer que Trump, porté par le peuple, investira le Bureau ovale.
Le combat
se situe désormais entre le peuple et les oligarques ! Que le peuple
gagne !