TRIBUNE LIBRE
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La remigration maritime : un
concept très attractif qui devrait être envisagé par tous les États concernés
par cette immigration sauvage souhaitée par les « élites » mais pas par les
Peuples.
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La Suède, comme tous les pays Européens
victimes « consentantes » d'une immigration invasion tsunamique est arrivée à saturation
dans sa capacité d’accueil des migrants qui déferlent sur le vieux continent.
Le nombre d'hébergements disponibles est désormais insuffisant pour absorber cette
population qui ne tarit pas. Pour tenter de palier à cette situation devenue
critique, les autorités ont envisagé une formule originale, inédite, celle qui
consiste à réquisitionner un paquebot de
croisière pour le transformer en hôtel flottant.
L'idée est particulièrement séduisante,
mérite d'être creusée, et même mise en œuvre à grande échelle, mais malgré tout
avec deux conditions qui devraient être imposées et non négociables.
1. La
première
qui devrait consister à ce que le navire ne reste pas amarré à quai dans le
port mais prenne le grand large, cap au sud une fois pourvu de sa cargaison
humaine estimée à environ 1000 passagers, effectif que l'on doit pouvoir au
minimum doubler en misant sur la colocation des cabines et donc embarquer au
moins 2000 croisiéristes. Pour un voyage
en aller simple sur un trajet Oslo/Tripoli. Destination la plus proche et
la plus sécurisée des pays d'où sont originaires les passagers, la Lybie étant
devenue un paradis terrestre, une terre d'asile puisque débarrassée
définitivement de son tyran dictateur grâce à l'initiative et l'intervention
musclée de l'ancien président Nicolas Sarkozy, représentant de commerce en
démocratie, épaulé de son talentueux conseiller militaire BHL.
Ce serait donc un voyage tous frais payés
offert par la Suède à ces demandeurs d'asile qui ne sont pas les bienvenus et
qui pourraient pouvoir réintégrer en toute sécurité le continent Africain
qu'ils n'auraient jamais dû quitter, le navire emprunté pour le retour étant
quand même plus sécurisant et plus luxueux que les embarcations utilisées à
l'aller tels les canots en caoutchouc bondés ou les barcasses en bois vermoulu.
2. La
deuxième
contrainte imposée devrait être l'obligation
pour le navire de revenir impérativement à vide, le but de l'opération
n'étant pas l'échange de réfugiés refoulés contre d'autres candidats à l'exil
vers l'Eldorado Occidental, mais le retour au bercail (même si au niveau de la
rentabilité pour l'armateur il pourrait y avoir à redire), avant d'effectuer
une nouvelle rotation dans les mêmes conditions jusqu'à épuisement du nombre de demandeurs d'asile visés par
cette remigration en terre natale.
C'est donc un concept
très attractif qui devrait être envisagé par tous les États concernés par cette
immigration sauvage souhaitée par les « élites » mais pas par les Peuples,
pays qui disposent d'une flotte de bâtiments de grande capacité d'embarquement.
L’avantage indéniable par rapport à la formule « charter » étant le bilan
carbone de l'opération et le nombre de passagers transportés, même si il doit y
avoir une contrepartie pénalisante, la durée du trajet.
Rien n'empêche d'ailleurs dans le cadre de la
solidarité Européenne que les pays qui ne sont pas pourvus d'une flotte
suffisante pour assurer cette mission soient aidés par leurs voisins mieux
dotés des moyens logistiques pour réaliser avec efficacité cette entreprise de
retour à l'envoyeur, ce qui serait un
signe que « l'Union Européenne » a un
sens, même si c'est le seul.
La seule ombre au tableau étant que sur de
tels navires avec autant de passagers il est nécessaire de disposer d'un
équipage et d'un personnel de bord, à commencer par les stewards, tous sexes
confondus qui devront hélas être contraints de raser les coursives pour éviter la convoitise de ces rapatriés frustrés,
sans doute réticents et peu coopératifs, voire vindicatifs, ceux qui n'ont pas
pu assouvir leurs pulsions sexuelles à terre et qui vont devoir passer quelques
semaines en mer, sans escale, le trajet de retour étant malgré tout assez long
pour rejoindre la destination finale.