Communiqué de Génération Identitaire
Depuis
l'occupation du chantier de la future grande mosquée de Poitiers, la répression
judiciaire a frappé quatre de nos militants (dont trois sont porte-parole
de Génération Identitaire) : Maxime, Alban, Julien et Benoît. En effet, les
« Quatre de Poitiers » sont soumis à un contrôle judiciaire
extrêmement strict qui viole leurs libertés les plus élémentaires, puisqu'il
leur est interdit de participer aux activités de leur mouvement et de
rencontrer les autres participants à l'action de Poitiers. En clair : la
justice leur interdit de défendre leurs idées.
Aujourd'hui,
la répression semble s'amplifier puisque des militants de Lyon, Paris et
Avignon viennent d'être convoqués par la police pour répondre à des
interrogatoires très fouillés. La police s'apprête en fait à interroger
l'ensemble des 80 militants présents à Poitiers le 20 octobre dernier.
Pour
le moment, nous n'en savons pas plus mais une chose est claire : le pouvoir
n'en a pas fini avec nous. Ça tombe bien : nous n'en avons pas fini avec lui !
Nous l'avons dit et répété : si nous sommes en guerre, c'est contre l'élite
politico-médiatique qui a elle-même déclaré la guerre à notre Peuple en lui
imposant depuis les années 70 une immigration non plus de peuplement, mais de
remplacement. Nous ne nous étonnons donc pas de voir le pouvoir utiliser tous
les moyens à sa disposition pour nous déstabiliser, faire pression sur nous,
intimider nos adhérents, dans l'espoir de faire disparaître toute résistance.
Le Système est dans son rôle, nous aussi : la reconquête, ce n'est pas un diner
de gala, mais un combat de tous les jours.
Pour
aider les « Quatre de Poitiers » à faire face à leurs frais de
justice, ainsi que l'ensemble des militants Identitaires qui peuvent être
amenés à engager d'importantes sommes d'argent pour assurer leur défense
future, nous appelons à votre solidarité. L'argent, c'est le nerf de la guerre.
Nous avons besoin de vous : adhérez, faites un don à Génération Identitaire ou
visitez notre boutique militante.
Nous comptons sur vous !