COMMUNIQUÉ
Communiqué de Roger HOLEINDRE, Président du Cercle National des
Combattants - Affaire PIQUEMAL, encore une provocation gouvernementale.
Le 6 février dernier, le général Chistian Piquemal, ancien « patron » de la Légion Étrangère,
ancien président de l’Union Nationale des Parachutistes (UNP) et ami
notoire de notre Cercle a eu le courage de s’opposer publiquement à une
interdiction de manifestation à Calais. Ce faisant, le général Piquemal n’a pas
hésité à s’opposer aux autorités gouvernementales au nom de l’intérêt supérieur
du pays, notre pays, la France. Nous lui en saurons toujours gré. Précisons que
Calais – ville française ? – est devenue, de fait, une enclave soumise à un
autre droit que le droit français légal, ville dont les habitants de certains
quartiers sont devenus des otages en puissance que la force publique n’est plus
en mesure de protéger. Le scandale est
patent.
Le rassemblement entièrement pacifique qui
s’est opéré autour du général Piquemal le 6 février dernier était là, comme
dans d’autres villes de France, pour justement dénoncer ce scandale. Alors que
les trois sommations d’usage avaient été effectuées, le général, dans une
adresse aux forces de l’ordre, plus particulièrement en direction des gendarmes
présents qu’il traita de « frères d’armes », venait de
donner la consigne de dispersion de la manifestation et allait achever son
discours, un groupe de policiers en
tenue se précipita, l’encercla et, sans ménagement, bousculant même une
personne âgée, s’empara de sa personne… Ce, en vue d’une comparution
immédiate.
Dans cette affaire,
les provocations délibérées sont multiples :
- le deux poids-deux
mesures systématique pour l’autorisation de manifester malgré l’état d’urgence,
les casseurs gauchistes manifestent et cassent joyeusement ;
- les manœuvres de
désinformation de la part des autorités et de la presse serve au sujet de la
nature de cette manifestation de Calais ;
- les persécutions en
tous genres, y-compris fiscales, contre les associations qui déplaisent, comme
actuellement nos amis de CIVITAS ;
- l’interpellation
abusive et médiatisée d’un officier général populaire dans le milieu
combattant…
Malgré notre indignation légitime, sachons
garder le moral et la sagesse des vieilles troupes et ne cédons pas à ces
provocations qui visent à nous faire sortir de nos gonds et à manifester
bruyamment notre réprobation, ce qui serait le prétexte attendu pour nous faire
dissoudre.
Rappelons-nous du 6
février 1934 qui servira de prétexte à la dissolution par le gouvernement de
tout un ensemble de ligues et associations patriotes, le tout couvert, comme
toujours, par le mensonge officiel qui s’imposa par la suite comme vérité…
Ne
tombons pas dans leur piège, soyons patients, le régime actuel, à
l’agonie, se délite peu à peu…