![]() |
La tragique épopée des Confédérés
pendant la Guerre de sécession.
|
L
|
'épopée sudiste et la guerre de Sécession. Les éditions « Via Romana » viennent de
rééditer, en novembre 2015, un ouvrage important de Dominique Venner intitulé « Le blanc
soleil des vaincus ». Loin de la propagande
officielle qui ne parle que de l’esclavage, on y découvre au contraire les
véritables raisons de la Guerre de sécession : la volonté des industriels Yankees de
s’approprier la main d’œuvre noire du Sud pour faire tourner leurs usines du Nord
(faire le parallèle avec la politique de Merkel en faveur des clandestins) et le
détournement, par l’État fédéral, des taxes douanières sur les marchandises des
États Confédérés (faire le parallèle avec l’Union européenne qui s’approprie
certains revenus des États membres). Un État fédéral se construit toujours
au détriment des États vassaux.n
Après « Le
cœur rebelle » et « Le choc de l’Histoire »,
c’est donc cette fois-ci un ouvrage très accessible sur la guerre de Sécession
américaine qui est proposé aux lecteurs.
Presque introuvable
aujourd’hui, cet ouvrage retrace l’épopée sudiste (confédérée) et le drame de
la guerre civile américaine, véritable boucherie en cette fin de 19ème siècle.
Alain de Benoist en fait cette fois-ci la préface.
Extrait
–
« Dans l’aube dorée du 12 avril 1861 éclate le premier obus de
la guerre de Sécession. De part et d’autre, on croit à une guerre courte,
fraîche et joyeuse. Ce conflit durera quatre ans. Ce sera le plus sanglant de
toute l’histoire américaine. Les pertes seront supérieures d’un tiers à celles
des Américains durant la Seconde Guerre mondiale, 618.000 contre 417.000, pour
une population sept fois moins nombreuse.
En
1861, les États-Unis ne forment pas une seule nation, mais deux qui sont
parfaitement distinctes, le Sud et le Nord. Tout les oppose : le
peuplement, les traditions, la civilisation, le climat, l’économie. L’histoire
que conte Dominique Venner est celle de la naissance de la nation sudiste, puis
de sa résistance à l’agression du Nord industriel, et enfin celle de son
meurtre délibéré.
C’est
l’histoire vraie de « Autant en
emporte le vent ». On y retrouve les blanches plantations assoupies
dans leur écrin de magnolias, les champs de coton et la douceur de vivre, les
gentlemen raffinés et les jeunes filles en crinoline. On assiste au calvaire du
Sud, Gettysburg, Atlanta, Appomattox. La résolution de Jefferson Davis, le
génie militaire du général Lee, la fougue de Stonewall Jackson ou de
Beauregard, l’audace des forceurs de blocus, la témérité des raids de
cavalerie, l’héroïsme des femmes sudistes ne pourront rien contre la
supériorité écrasante du Nord et sa volonté de conquête.
Le Sud, moins peuplé que la
Suisse d’aujourd’hui, succombera sous le nombre, mais son rêve assassiné
continue de vivre dans le cœur des hommes généreux. »n
Un farouche défenseur de la mémoire
identitaire française et européenne
|