mercredi 6 janvier 2016

Le blanc soleil des vaincus, de Dominique VENNER

La tragique épopée des Confédérés pendant la Guerre de sécession.

L
'épopée sudiste et la guerre de Sécession. Les éditions « Via Romana » viennent de rééditer, en novembre 2015, un ouvrage important de Dominique Venner  intitulé « Le blanc soleil des vaincus  ». Loin de la propagande officielle qui ne parle que de l’esclavage, on y découvre au contraire les véritables raisons de la Guerre de sécession : la volonté des industriels Yankees de s’approprier la main d’œuvre noire du Sud pour faire tourner leurs usines du Nord (faire le parallèle avec la politique de Merkel en faveur des clandestins) et le détournement, par l’État fédéral, des taxes douanières sur les marchandises des États Confédérés (faire le parallèle avec l’Union européenne qui s’approprie certains revenus des États membres). Un État fédéral se construit toujours au détriment des États vassaux.n


Après « Le cœur rebelle » et « Le choc de l’Histoire », c’est donc cette fois-ci un ouvrage très accessible sur la guerre de Sécession américaine qui est proposé aux lecteurs.
Presque introuvable aujourd’hui, cet ouvrage retrace l’épopée sudiste (confédérée) et le drame de la guerre civile américaine, véritable boucherie en cette fin de 19ème siècle. Alain de Benoist en fait cette fois-ci la préface.
Extrait – « Dans l’aube dorée du 12 avril 1861 éclate le premier obus de la guerre de Sécession. De part et d’autre, on croit à une guerre courte, fraîche et joyeuse. Ce conflit durera quatre ans. Ce sera le plus sanglant de toute l’histoire américaine. Les pertes seront supérieures d’un tiers à celles des Américains durant la Seconde Guerre mondiale, 618.000 contre 417.000, pour une population sept fois moins nombreuse.
En 1861, les États-Unis ne forment pas une seule nation, mais deux qui sont parfaitement distinctes, le Sud et le Nord. Tout les oppose : le peuplement, les traditions, la civilisation, le climat, l’économie. L’histoire que conte Dominique Venner est celle de la naissance de la nation sudiste, puis de sa résistance à l’agression du Nord industriel, et enfin celle de son meurtre délibéré.
C’est l’histoire vraie de « Autant en emporte le vent ». On y retrouve les blanches plantations assoupies dans leur écrin de magnolias, les champs de coton et la douceur de vivre, les gentlemen raffinés et les jeunes filles en crinoline. On assiste au calvaire du Sud, Gettysburg, Atlanta, Appomattox. La résolution de Jefferson Davis, le génie militaire du général Lee, la fougue de Stonewall Jackson ou de Beauregard, l’audace des forceurs de blocus, la témérité des raids de cavalerie, l’héroïsme des femmes sudistes ne pourront rien contre la supériorité écrasante du Nord et sa volonté de conquête.

Le Sud, moins peuplé que la Suisse d’aujourd’hui, succombera sous le nombre, mais son rêve assassiné continue de vivre dans le cœur des hommes généreux. »n


Un farouche défenseur de la mémoire identitaire française et européenne

La décadence

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