Les
dépôts dans les grandes banques européennes
continuent
de financer des activités spéculatives.
|
À
|
l’aube de l’An Nouveau,
force est de constater que la caste politico-médiatique s’enferme dans le déni
de réalité tant dans le domaine social et culturel que dans ceux de l’économie
et de la finance.n
NOUS,
NOUS LES RAPATRIERONS !
Les âmes charitables,
chrétiens de gôche, les associations droits-de-l’hommiste et les élus «
humanistes » nous abreuvent de solidarité pour accueillir les réfugiés-migrants
martyrisés de tout horizon.
Pour quel intérêt ? Par obligation morale ? Par éthique ?
Par arrière-pensée économique ou financière ? Par idéologie ? Ou par une émotivité
incontrôlée ? Un proverbe ne dit-il pas que « Charité bien ordonnée commence
par soi-même » ?
Si, et seulement SI, on peut concevoir que le voisin
d’un pays étranger se trouve persécuté par son gouvernement, pourquoi refuser
son arrivée provisoire dans notre pays ? À condition que dès la paix retrouvée
il s’en retourne dans ses foyers. C’est ce que prévoit la loi, la charte du Haut-Commissariat
aux Réfugiés et la Convention de Genève.
La réalité dépasse de loin
la théorie et l’esprit des traités. Depuis 1974, la CEE a stoppé toute
immigration économique, mais dès 1976 la plupart des pays européens ont
autorisé le regroupement familial, ce qui a amplifié l’immigration
extra-européenne.
L’Europe dans son ensemble a
été confrontée à des centaines de milliers de demandes d’asile (politique,
culturelle, sanitaire ou économique) tous les ans et depuis 40 ans. Seuls 10 à 20% des dossiers ont été
déclarés recevables. Pour les 80% qui ont été déboutés du droit de résider
en France ou en Europe et ont en conséquence reçu un ordre de quitter le
territoire, seule une minorité (6%) est réellement rentrée chez elle ! Les
autres, la très grande majorité, sont des clandestins, des sans-papiers qui se sont incrustés chez nous. Au fil des
ans les différents gouvernements européens les ont légalisés, puis naturalisés
! C’est là le vrai scandale, car ces
hors-la-loi n’avaient plus aucune raison de rester chez nous, sauf à nous
coloniser avec la complicité des socialo-capitalistes.
Il
est donc urgent de renvoyer les inassimilables, les profiteurs et les
indésirables, dans le pays de leurs aïeux.
Dans un éclair de lucidité,
Charles De Gaulle avait déclaré en 1959 à Alain Peyrefitte « On aime bien les Allemands, ils
apportent Goethe et Mozart, mais on n’aime pas les Allemands quand ils arrivent
à un million ! »
Et l’on comprend aussi la
xénophobie des Majorquins quand ils subissent la colonisation germanique dans
tous les secteurs d’activités, comme c’est le cas dans les stations balnéaires
de Paguera et de Cala Ratjada où l’on ne se trouve plus aux Baléares, mais en
Bavière.
Et c’est pareil à Ajaccio où
la population a bien raison de crier « ARABI FORA ! » quand les
agresseurs de pompiers et de policiers ce 24 décembre sont outrageusement
soutenus par Manuel VALLS…
Partout dans le monde c’est
une question de quantité et d’assimilation. L’immigration c’est comme le potage : un peu de sel et de poivre, ça va
: mais toute la salière c’est immangeable !
Seuls les européens
acceptent cette aberration, véritable génocide de notre civilisation, imaginé,
planifié et imposé par les eurocrates de Bruxelles, laquais du Nouvel Ordre Mondial.
Quand la crédulité des
électeurs sera surmontée, viendra alors l’obligation de la RECONQUISTA.
Et curieusement, ce sont des
élus communistes qui font preuve de lucidité, tel André GERIN, maire PCF de
Vénissieux (69) qui déclarait il y a quelques mois : « Actuellement sur certains
territoires, se mêlent drogues, mafias, et islamisme, afin d’exercer un
contrôle dans les quartiers… Aujourd’hui on ne peut plus se contenter de la
moindre demi-mesure. Les responsables de l’autorité du pays et les responsables
politiques doivent le dire clairement : « l’ennemi de la France, c’est
l’islamisme…La parade policière, judiciaire, voire militaire se pose de manière
sérieuse. »
Mais qui donc a favorisé
l’installation de cette 5ème colonne dans nos quartiers ? Qui donc a
permis à des « cellules dormantes » de se développer dans les banlieues ? Qui
donc a laissé se propager les métastases mortelles d’un fanatisme religieux ? Qui
donc a accordé sciemment l’implantation de mosquées wahhabites et takfiristes
partout en France ? Les laïcards ont
bien su appliquer les lois de 1905 contre l’Église et son clergé et il ne
devrait pas être si difficile de faire pareil pour l’Islam.
Il
est urgent de préserver notre civilisation et de défendre l’héritage culturel
transmis par nos ancêtres.
« L’OBJECTIF FINAL EST D’ANEANTIR DAESH ! », selon le ministre J-Y LE DRIAN.
Et après la tuerie de
Charlie Hebdo, l’Élysée avait déjà déclaré la guerre au terrorisme !
On en voit les résultats en
Europe. Mois après mois, la collaboration entre les services secrets européens
montre les lacunes et les incompétences des gouvernements respectifs qui,
aveuglés par leurs dogmes du « vivrensemble » et du «
padamalgam », sont les premiers responsables des erreurs de diagnostics
et des victimes tuées par des assassins fanatiques.
Une
armée est faite pour se battre et pour vaincre. Non
pas pour servir de force de maintien de l’ordre, comme dans les pays
totalitaires, déployée lors de plans « Vigipirate » ou «
Sentinelle », dont l’inutilité est prouvée par les massacres du
Vendredi Noir 13/11.
Est-il impossible de
nettoyer les banlieues dans les cités européennes où s’exercent les racailles ?
Est-ce irréalisable de mettre hors d’état de nuire les quelques milliers de
multirécidivistes « bien connus de la Justice » qui, de Copenhague à Lunel, de Berlin
à Londres et d’Ajaccio à Bruxelles, se livrent aux délits et aux crimes avant
de semer la terreur.
Quand on déclare la guerre
au terrorisme, on ne se livre pas au commerce avec ses parrains et l’on ne
devient pas aussi le complice de ceux qui recrutent, arment et financent DAESH,
comme l’Arabie Saoudite, le Qatar, la Turquie, Israël ou les États-Unis : on rompt tous les contacts sine die.
Jean-Claude
JUNCKER et sa Commission Européenne sont des félons et de lamentables lâches en
tolérant qu’un pays européen soit occupé. Ils doivent exiger la libération de la partie Nord de Chypre,
occupée par l’armée turque depuis 40 ans ! Leurs gesticulations sont
répugnantes et ignobles.
Leurs complices de la Cour
de Justice Européenne décident que les femmes musulmanes peuvent s’accoutrer de
costumes orientaux, aux mépris des lois et règlements votés par les élus du
peuple ! Il faut en terminer avec les tchadors, les hijabs, les niqabs et
autres burqas : çà suffit, pas chez nous
!
Il
est urgent de mettre fin aux salamalecs grotesques avec les rois du pétrole qui
aident les terroristes de DAESH.
LA
CRISE EST DERRIÈRE NOUS !
Vraiment ? Il suffit
d’ouvrir les yeux, de regarder autour de nous, de parler avec des commerçants
ou des industriels, de lire les rubriques économiques des journaux et des
hebdomadaires ou de poser quelques questions pertinentes à son banquier, pour
s’apercevoir que la fameuse « confiance » n’est pas revenue
depuis 2008 !
Malgré un euro en repli de
33% contre dollar, depuis 1 an, un baril de pétrole qui vaut la moitié en 15
mois et des taux d’intérêts au plus bas, les économies européennes ne
s’améliorent pas.
Au contraire, les balances
commerciales sont déficitaires dans la plupart des pays, alors que la
conjonction des 3 paramètres ci-dessus aurait dû dynamiser toutes les
exportations et faire tourner les usines européennes à plein régime, comme le
promettaient les gourous du mondialisme.
C’est
le chômage qui augmente partout ou stagne à des niveaux élevés.
Dans la plupart des pays la
dette publique augmente parce que les dirigeants refusent d’appliquer des
mesures structurelles indispensables à une saine gestion des finances
publiques, pour ne pas mécontenter les citoyens-contribuables-électeurs. Et
justement, ces contribuables sont, eux,
de moins en moins nombreux et étranglés par des impôts et des taxes de plus en
plus lourds.
Selon un rapport de l’OCDE,
paru en décembre 2015, au sujet des impôts dans le monde, c’est toujours le
Danemark qui avec 51% de recettes fiscales par rapport au PIB, arrive en tête
du palmarès, suivi par la France avec 45,2%, de la Belgique avec 44,7% et de la
Finlande avec 44%. La Grèce taxe à hauteur de 36% du PIB, l’Espagne à 33,2%, le
Royaume-Uni à 32,6 %, l’Irlande à 30%, les USA à 26% et le Mexique avec 19,5%.
Quand on sait que la France et la Belgique se trouveront chacune avec une dette publique qui dépassera les 100% par rapport au PIB en 2016,
on peut se demander si ces gouvernements font réellement preuve de bonne
gestion… sans oublier leurs promesses impliquant des augmentations
considérables de dépenses en matière de retraites des fonctionnaires et de
soins de santé pendant les décennies à venir.
Il
est urgent de stopper les déficits et le gaspillage des deniers publics.
FAIRE
FACE À LA SPOLIATION BANCAIRE
La déliquescence du système
bancaire européen est un problème structurel, car les grandes banques restent
bâties selon le modèle de banque universelle, c'est-à-dire que les activités de
marché, risquées, ne sont toujours pas séparées des activités de banques de
dépôt. La loi mal nommée « de séparation des activités bancaires »
a été vidée de son contenu.
Aujourd’hui
vos dépôts bancaires dans les grandes banques européennes financent des
activités spéculatives, comme en 2007, contrairement à ce que prétendent les
publicités de ces banques.
La plus grande ignominie
trouve son essence dans l’accord européen sur les faillites bancaires, qui
n’est que de la poudre aux yeux !
En effet, en cas de déconfiture d’une institution
bancaire, les actionnaires perdent tout ou partie de leur investissement.
Mais si le montant des pertes dépasse les capitaux propres de la banque (soit
une perte supérieure à 8% du montant total des actifs), c’est au tour des
créanciers les moins bien assurés, puis, le cas échéant, les détenteurs
d’obligations dits « seniors » et en dernier recours les déposants ayant un
compte de plus de 100.000 euros, qui paieront les dégâts !
Sachant qu’une banque comme
BNP-Paribas-Fortis dispose d’environ 75 milliards d’euros de fonds propres pour
un bilan de 2.500 milliards (sans compter le hors-bilan qui représente
plusieurs fois le bilan), un simple risque de contrepartie, c'est-à-dire un
défaut d’un acteur financier avec lequel BNP-Paribas-Fortis a des engagements,
et les 75 milliards partiront en fumée en quelques jours ! Et cela, malgré les
propos paternalistes et mensongers des « professionnels du risque »
prétextant que le collatéral (les garanties mises en place lors de transactions
avec d’autres institutions financières) prévient ce genre d’accident.
La directive relative au
redressement des banques et à la résolution de leur défaillance (BRDD) a été
transposée par ordonnance à la France le 21/8/2015. Elle met en place un
système de « bail-in » -soit un sauvetage interne- en opposition au «
bail-out » -ou renflouement externe- par l’État. Elle a pour objet de
régir les problèmes de liquidation judiciaire de banques. La BRDD est une pièce
maîtresse de l’Union Bancaire et son objectif est de pouvoir restructurer les
banques au bord de la faillite, sans que le contribuable soit obligé de mettre
la main à la poche pour préserver la stabilité financière. Explications données lors d’un communiqué par la Commission Européenne,
sans rire… Vous connaissez beaucoup de clients de banques qui ne sont pas des contribuables
?
Et que chacun se souvienne
du krach de la Banque of Cyprus dont TOUS les clients ont dû payer les pots
cassés, entrainant des milliers de faillites des sociétés clientes de la banque
et la ruine de multiples autres déposants.
Il
est urgent de mettre les banksters au pas.
L’année
2016 ne sera ni heureuse, ni porteuse de bonnes nouvelles, contrairement aux
discours mensongers des Chefs d’État nous ayant présenté leurs « bons vœux » : CRAPULES !n