Nicolas
Sarkozy, tout comme Manuel Valls bien que n'appartenant pas à la même famille
politique ont malgré tout au moins deux points en commun, celui d'avoir occupé
avant hier pour l'un et présentement
pour l'autre la fonction de ministre de l'intérieur, portefeuille régalien
important et sensible considéré comme étant celui qui désigne le numéro deux du
gouvernement, et le second trait de similitude qu'ils partagent est celui
d'être tous deux des purs produits de l'immigration par filiation, le premier d'origine
Hongroise, le second d'origine Espagnole, leurs parents ou grands-parents
respectifs ayant souhaité quitter leurs pays d'origine pour se réfugier en
France afin de fuir des régimes un peu
trop totalitaires à leur goût...
Il est donc raisonnable de dire que ces
deux personnalités ont parfaitement réussi leur intégration au regard de leur
parcours respectifs, car sans pour autant entrer dans le détail des
performances ou contre-performances à leur attribuer dans l'exercice de leur
ministère, que l'on peut applaudir ou huer, on peut considérer objectivement
qu'ils ont franchi avec succès les obstacles pour s'imposer dans la société
Française, qu'ils se seront fondus dans le paysage et seront entrés dans le moule,
celui de notre modèle Républicain et donc, qu'ils peuvent être considérés comme Franco/Français à part entière.
« Une politique d'immigration aussi hystérique que
dangereuse et coûteuse. »
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C'est bien, c'est beau, bravo, belle réussite
qu'il faut saluer, MAIS, est-ce une raison suffisante pour se croire autorisé à
brader le pays qui vous a accueilli et l'ouvrir à tous les vents en permettant
son accès à tous les miséreux de la planète qui se bousculent à notre
porte, au motif utopique qu'ils
pourraient devenir de prochains Français irréprochables arrivés là par amour
pour notre beau pays et prêts à retrousser leurs manches pour contribuer en
remerciement à la prospérité de cette terre d'asile, tous deux ayant adopté la
même approche angélique qui consiste à distribuer abondamment et sans retenue
les autorisations d'entrée légale, les régularisations, les naturalisations,
les visas, les titres de séjour, les statuts d'étudiants, les appels à
traverser la méditerranée pour venir se mettre à l'abri, réduisant jusqu'à les
rendre pratiquement inexistants les critères d'accueil, dégageant des budgets
colossaux, même en période de crise profonde et durable, pour conduire une politique d'immigration aussi hystérique que dangereuse et
coûteuse.
Est-ce
là le seul remerciement qu'ils aient à offrir à notre pays pour leur avoir
donné la possibilité de se faire une place au soleil.... !
Que ce soit N.Sarkozy ou M.Valls, tous deux
ont la même vision hérétique et suicidaire d'une générosité un peu trop
allègrement dispensée, car il est bien évident que pour un candidat à l'exil
qui deviendra Français par amour et par sa sueur, combien seront une charge, un
fardeau, un danger pour notre société...
« Davantage de risques d'hériter
d'un merah, d'un fofana »
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Si
tous les étrangers qui souhaitent changer d'air et améliorer leur sort sont des
élites en puissance, des recrues de choix,
comment expliquer et justifier qu'ils soient si nombreux à être hébergés
dans nos prisons ou si souvent « défavorablement connus des services de
police », car sur un CV, avoir fait « centrale », c'est une
bonne référence mais à condition qu'elle soit école, pas pénitentiaire... Au vu du profil des arrivants qui
débarquent chaque jour, peut-on vraiment parler d'immigration
« choisie », terme employé par l'homme au Karcher pour tenter de
faire croire que l'on maîtrise les flux migratoires ?
Il faudrait donc cesser de croire benoîtement
que parce qu'une infime partie des migrants qui ont quitté leur pays d'origine pour nous
rejoindre s'est insérée avec succès dans notre monde civilisé, il s'agisse pour autant du plus grand nombre,
le taux de réussite étant sans doute dérisoire au regard des échecs. Pour un
ministre, un artiste, un sportif, un chef d'entreprise, un honnête citoyen
issus de l'immigration, combien de violeurs, d'assassins, de voleurs, de
dealers, d'escrocs, d'assistés, de parasites, de trafiquants, de terroristes...
Il n'est pas sûr que le ratio soit à
l'avantage de la catégorie qui s'est réellement intégrée sans faire de vagues
et que le prix à payer soit prohibitif pour sortir du lot une perle rare ou ne
serait-ce qu'exploitable avec profit pour la société, et représente un
investissement à perte, sans aucun espoir d'en voir un quelconque retour.
Il ne
fait aucun doute que parmi les millions de nouveaux venus qui déferlent en flot
continu sur notre sol, nous ayons davantage de risques d'hériter d'un merah,
d'un fofana que d'un Sarkozy ou d'un Valls.