ENVIRONNEMENT
C
|
ette caste malfaisante inonde depuis
des décennies les médias de sa propagande mensongère dans trois domaines
principaux, parmi d’autres : l’arrêt des centrales nucléaires, l’immigration
clandestine et l’interdiction des véhicules diesel.■
L’énergie nucléaire est la moins
polluante et la moins chère
M
|
ais en exploitant la
crédulité et l’émotivité des populations désinformées, ces talibans de
l’énergie « renouvelable » nous
imposent le dogme du danger atomique, par assimilation mémorielle à Hiroshima,
Nagasaki, Tchernobyl ou plus récemment Fukushima, alors que les causes en sont
diverses et totalement infondées quant au fonctionnement des centrales
existantes en Europe. Ils taisent également les recherches scientifiques de ces
20 dernières années dans le domaine du nucléaire. MYRRHA est au niveau mondial le premier prototype d’un réacteur
nucléaire piloté par un accélérateur de particules.
Particularité
:
en tant que source externe de neutrons, cet accélérateur de particules
maintient la réaction en chaîne de la fission nucléaire. Il s’agit d’un
réacteur sous-critique : le cœur ne contient pas assez de substance combustible
pour entretenir spontanément la réaction en chaine.
Cette technologie nucléaire
innovante est sûre et facile à contrôler. Lorsque l’accélérateur de particules
est arrêté, la réaction en chaîne stoppe automatiquement endéans une fraction
de seconde.
En raison de
différences significatives avec les réacteurs existants, on peut parler d’un
réacteur de recherche particulièrement innovant :
• MYRRAH
fonctionne avec des neutrons rapides, pilotés par un accélérateur. Grâce à ces
neutrons rapides, le combustible est utilisé plus efficacement dans le
réacteur, ce qui réduit la quantité de déchets radioactifs.
• Le refroidissement de réacteur
s’effectue au moyen d’un alliage de plomb et de bismuth.
• Le réacteur est sous-critique et de ce
fait, facilement contrôlable.
![]() |
MYRRHA : un réacteur de recherche
hybride polyvalent
|
Cette technologie emploie le
concept proposé en 1937 par le prix Nobel Glenn Seaborg, dit « spallation nucléaire ». Il est
actuellement en développement au Centre d’Étude de l’Énergie Nucléaire à Mol en
Belgique, mais peu de politiciens en parlent, par obligation du « politiquement correct ». Pourtant il
serait urgent de voter les crédits indispensables à la construction de
plusieurs de ces réacteurs en Belgique, avant 2030.
Par ailleurs, une équipe de
scientifiques internationaux développe le concept de fusion nucléaire, en construisant le projet ITER à Cadarache, avec un réacteur
Tokamak qui pourra produire 10 fois plus d’énergie que les modèles EPR et cela,
sans gaz à effet de serre, ni émissions de CO2 ou de particules fines !
Les
particules fines (en suspension dans l’atmosphère et d’un Ø inférieur à 10
micromètres) sont essentiellement issues des combustions de matières fossiles
non seulement produites par les humains, mais en très grande majorité par la
nature.
À partir de 80
microgrammes/m3, l’alerte pollution est déclenchée à Paris, où la moyenne
annuelle de la pollution a été mesurée à 24µg/m3 en 2014 (source OMS).
Cette moyenne annuelle est de 22 µg/m3 à
Londres, de 23 à New-York, de 93 à Mexico, de 121 à Pékin, de 135 au Caire, de
286 à Delhi, de 320 à Ahvaz en Iran, de 448 à Rawalpindi au Pakistan, ou encore
de 540 µg/m3 à Peshawar, ville de 1,8 million de Pakistanais.
Qui sont les pollueurs ?
L
|
es ayatollahs de l’écologie
à tous les étages, relayés par les médias complaisants, ne cessent de désigner
les Européens en particulier comme les premiers responsables de la pollution de
la planète, nous accusant quasiment d’être des « criminels ». ÇA SUFFIT !
Ces vieux adeptes du « Peace and Love » taisent les effets
des tempêtes solaires sur le réchauffement climatique, ainsi que la pollution
climatique conséquence des éruptions volcaniques qui, elles, dégagent des
millions de tonnes de CO2 et des millions de m3 de gaz sulfureux et toxiques
tous les ans dans l’atmosphère.
Selon une récente
étude de Global Carbon Project, publiée dans le quotidien espagnol El Pais ce
21 décembre, les émissions de CO2 ont progressé de 1990 à 2016 de 22% dans le
monde. Les détails sont instructifs :
1) En Europe, on constate une diminution de
35% au Royaume-Unis, de 14% en France, de 16% en Belgique, de 17% en Italie, de
24% en Allemagne, de 37% en Russie, de 20% en Finlande et de 2% en Suède ; mais
elles augmentent de 4% en Hollande, de 13% en Espagne et de 26% en Norvège !
2) En Asie on observe une augmentation du
CO2 de 4% au Japon, de 141% en Corée du Sud, de 235% en Indonésie, de 208% aux
Philippines, de 293% en Inde, de 316% en Chine, de 772% au Viet- Nam et de 1339% au Népal …
3) En Amérique du Nord, l’augmentation de
CO2 a été de 4% aux États-Unis, de 21% au Canada et de 46% au Mexique.
4) En Amérique du Sud, les émissions de CO2
ont progressé entre 1990 et 2016 de 45% au Venezuela, de 86% en Argentine, de
141% à Trinidad et Tobago, de 134% au Brésil, de 162% au Chili et de 222% au
Pérou.
5) En Afrique et au Moyen Orient, seul le
Zimbabwe a réussi à diminuer ses émissions de CO2 de 30% entre 1990 et 2016. La
hausse est de 154% au Maroc, de 185% en Égypte, de 105% au Koweït, de 161% au
Nigeria, de 50% en Afrique du Sud, de 242% en Arabie Saoudite, de 360% dans les
Émirats, de 487% à Oman, de 218% à Madagascar, de 600% en Angola et de 9580 %
en Namibie !
6) En Nouvelle Zélande, les émissions de
CO2 ont augmenté de 41% et en Australie de 43%.
Mais
malgré ce constat irréfutable, les Khmers verts européens s’obstinent à nous
montrer du doigt comme de vilains pollueurs, refusant tout effort pour diminuer
nos consommations énergétiques et polluantes.
Les immigrés clandestins, réels hors-la-loi,
n’ont rien à foutre chez nous
L
|
a gauche bien-pensante,
bourgeoise et bohême, se montre tolérante et complaisante, pour ne pas dire
complice envers les laquais de l’Islam, comme Tariq Ramadan ou Edwy Plenel, qui
eux, combattent par tous les moyens les prétendus « islamophobes » réels ou
supposés. Ces chrétiens de « gôche »,
soi-disant humanistes, prêchi-prêcheurs de
![]() |
Toujours de l’argent dilapidé
|
l’accueil des immigrés de la planète
entière, nous obligent d’en héberger quelques-uns dans notre salon, quand eux-mêmes habitent dans des
logements administratifs, aux frais de la princesse. Par ailleurs, il est tout de même curieux de
lire que les députés écologistes qui siègent au Parlement Européen acceptent
sans broncher que cette institution bruxelloise tolère que ses 751 députés
dépensent 95.000 euros chaque année, sans avoir besoin de les justifier.
C’est
facile d’être généreux avec l’argent des autres et de leur imposer ses
principes, alors qu’on ne se les applique pas à soi-même !
Il est interdit d’interdire
C
|
e slogan imbécile cher aux
soixante-huitards qui ont infiltré toutes les sphères de l’Etat et de la
bureaucratie européenne, ne semble plus d’actualité maintenant quand ceux-ci se
trouvent aux commandes. Ces saltimbanques, clamant jadis le « volem viure al
pais », imposent leurs utopies sectaires
d’Oslo à Malaga et de Nantes à Bucarest. Partout, ils veulent bannir le diesel
! Les voitures de Monsieur Tout le Monde… car on parle moins des camions et des
autres transports polluants. Et les khmers verts ne manifestent JAMAIS devant
les aéroports d’Europe pour interdire le vol des avions, énormes sources de
pollutions diverses ! Pas de BLOCAGE des
PORTS pour interdire que les énormes porte-conteneurs ne puissent accoster en
Europe.
![]() |
Les superpétroliers sont la
première
source de pollution au
monde
|
Ces monstres marins, comme
les superpétroliers, sont la première source de pollution au monde (l’équivalent de toute la
circulation automobile mondiale), car ils consomment du fuel lourd, le plus
polluant des combustibles. Mais motus dans les médias, ce n’est pas porteur… Et
quel est le rôle des vents qui portent la pollution dans les cieux ? Les
éoliennes vont la disperser ? Partout ? Dans les pays voisins ? Plus de
frontières pour les nuages toxiques qui nous arrivent des pays de l’Est ? La Norvège pour sa part, vient de bannir
les vieux navires de croisière à partir de 2019 afin de protéger les fjords
inscrits au patrimoine mondial du pays.
Nos extrémistes verts quant
à eux ont réussi à convaincre les gouvernements, actuellement au Pouvoir,
d’interdire de circulation les véhicules diesel dans nos cités, dénommées Zones
de Basses Émissions, au prétexte d’assainir l’atmosphère et d’améliorer la
santé publique.
Ainsi, pour prendre
Bruxelles en exemple, comme capitale de
l’Europe (plus exactement capitale de l’Eurabia, car grande est la présence
d’Arabes dans nos rues, ce sont 40.000 propriétaires de voitures diesel qui ne
pourront plus rouler dans la Région Bruxelloise (19 communes et environ 1,3
million d’habitants) dès le 1er Janvier 2018 ! Et au 1/1/2020, 500.000 autres propriétaires
de véhicules diesel seront eux aussi interdits d’accès à la capitale.
Ces prophètes de l’énergie
renouvelable ignorent superbement les incidences sociales, économiques et
financières de leurs ukases. Ils nous vantent les bienfaits de la voiture
électrique, sans prendre en compte sa faible autonomie, son bilan CO2
catastrophique (recyclage batteries et composants), ni l’explosion des coûts
indispensables à la production d’électricité supplémentaire et à l’installation
d’un maillage serré de milliers bornes d’alimentation.
►Ils
se bercent d’illusions et leurs chimères vont encore nous coûter des dizaines
de milliards d’euros, à l’exemple des portiques de contrôle pour les poids
lourds véritable fiasco et monument à ériger au nom de l’imbécilité socialaud-écolo-bobo.■