SÉCURITÉ
Explosion
de la vague migratoire/Explosion des ventes d’armes. En Autriche, par exemple, le gouvernement a augmenté
la cadence des cours de tirs nécessaires à l’obtention d’un permis de
détention.
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Dans
plusieurs pays européens, la vague migratoire a coïncidé avec une explosion des
ventes d’armes.
Dans le pays de Goethe par exemple, les incidents du nouvel an ont conduit des
milliers d’individus directement à l’armurerie. La législation étant une des
plus dures d’Europe concernant les armes, les Allemands se jettent sur le
matériel non létal.
Un rapport du Gatestone Institute nous
apprend ceci :
«Les Allemands, faisant face à un afflux de
plus d’un million de demandeurs d’asile en provenance d’Afrique, d’Asie et du Moyen-Orient
se dépêchent de s’armer. Partout à travers le pays, qui possède une législation
des plus contraignantes en matière d’armement civil, la demande explose pour
des produits non mortels tels que les sprays lacrymogènes, pistolets à gaz,
tasers. Les demandes pour des permis de port d’arme sont à un nombre record.»
Une mère de famille originaire du lander de
Thuringe explique pourquoi elle a souhaité s’équiper :
«Je pense que je dois faire tout pour
protéger ma fille. Elle est à un âge où elle est susceptible de sortir dehors
seule le soir. Si elle me dit qu’elle a besoin d’une arme pour se protéger, je
pense que ce n’est pas injustifié.»
Mais l’Allemagne n’est pas la seule
concernée. Sa voisine autrichienne voit également son taux de foyers armés
exploser. Ce pays qui compte 8,5 millions d’habitants était déjà l’un des plus
armés d’Europe avec 900 000 armes à feux
détenues par des civils.
Depuis
l’explosion de la crise migratoire, le phénomène est en net augmentation. Afin d’en illustrer
l’importance, il suffit de constater que presque
tous les fusils à canon court du pays ont été vendus ! La législation est
telle qu’elle autorise tout citoyen de plus de 18 ans à acheter une arme de ce
type. Pour le reste, il faudra un permis. Et pour s’organiser devant la
demande, le gouvernement a augmenté la
cadence des cours de tirs nécessaires à l’obtention d’un permis (toutes les
semaines contre cinq semaines auparavant).
Un marchand d’armes a confié au site internet
OE24 : «À cause des changements sociaux, les gens veulent se protéger.»