TRIBUNE LIBRE
Une bonne raison de se réjouir du
départ de Taubira : on pourra taper sur son successeur sans se faire
traiter d'immonde raciste. C'est toujours ça de pris !
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Il
y a au moins deux raisons de se réjouir de la démission de ce poison de
Taubira :
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La première, c'est qu'on est débarrassé, pour un temps,
de son arrogance, de ses poèmes tweetés à deux balles, de son
sectarisme, de sa suffisance et du mépris qu'elle affiche pour ceux qui ne
pensent pas comme elle.
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La deuxième, c'est qu'avec un peu de chance - je crois en
son ego boursouflé de nana qui, à défaut d'avoir vu la vierge, a conquis les
sommets, touché du doigt le haut de la pyramide et sait que de tout la haut, au
Palais, on peut poursuivre l'œuvre de destruction du pays- elle va pouvoir
faire chier Hollande et la « sociale gauche » comme jamais
ou plutôt comme en 2002.
Je l'ai déjà écrit, en
politique, je ne crois pas au hasard et l'annonce de sa démission, ce jour, ne
doit rien au hasard. Nous savons ce soir que depuis au moins 4 jours, sa démission était actée. On nous dit
qu'il fallait attendre que Président rentre d'Inde pour qu'elle soit
annoncée...
Disons aussi qu'en l'annonçant
aujourd'hui, date d'ouverture des travaux à l'Assemblée sur la déchéance de
nationalité, les médias complaisants auront moins l'idée saugrenue d'en faire
des tonnes sur les nouveaux
catastrophiques chiffres du chômage et sur le vote à main levée par une
poignée de députés de la loi sur la fin
de vie et l'instauration de la sédation terminale, première étape vers la
normalisation de l'euthanasie.
Se réjouir de voir un virus
dangereux disparaître pour un temps, certes, mais ce serait faire fort peu de
cas de la personne qui remplace désormais la greluche guyanaise. Il suffit de
lire la bio de Jean-Jacques Urvoas pour s'en convaincre. Je vous
invite à la consulter. Quant aux médias, ils nous
bassinent en nous racontant que celui-ci est un fidèle de Manuel Valls et donc
une pierre de plus entre l'hystérique de Matignon et Président, ce serait
passer à côté de ce que ces mêmes médias omettent de nous dire: Le mentor en
politique du Frère Urvoas, celui qui lui a tout appris ou presque, celui dont
il fut le directeur de cabinet, n'est autre que Bernard Poignant.
Et
qui est Bernard Poignant ?... Rien de moins que l'un des plus vieux amis (et
accessoirement très discret conseiller politique) du Président et de Jean-Yves
Le Drian ! Autant dire que la loyauté supposée d'Urvoas à Valls est sujette à
caution...
À la réflexion, il me
vient une troisième raison de se
réjouir du départ de
cette indépendantiste dans l'âme qu'est « Mam'
Taubira »: On pourra taper
sur son successeur sans se faire traiter d'immonde raciste. C'est toujours ça
de pris !