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ès son arrivée au Ministère de l’Éducation nationale, Vincent Peillon prévoyait de « s’appuyer sur la jeunesse pour transformer les mentalités » notamment vis-à-vis des questions relatives à « l’identité de genre ». Cette volonté est notamment précisée dans un courrier adressé aux recteurs d’académie le 4 janvier 2013.
Pour le ministre, cette transformation passe par l’initiation des plus jeunes à l’éducation sexuelle et à « la lutte contre les stéréotypes de genre ». Il prévoit en effet que chaque élève reçoive 6 heures d’éducation à la sexualité chaque année entre le CP et la terminale.¢
En outre, Vincent Peillon souhaite que ces enseignements soient, en partie, dispensés par des associations LGBT (Lesbienne, Gay, bisexuel, et transsexuel), qui seraient rémunérées par les établissements pour leurs interventions ! Ces associations, comme SOS Homophobie, ont la particularité d’être des associations très militantes, notamment pour le mariage, l’adoption, la PMA, la GPA des couples homosexuels, mais aussi pour la théorie du genre.
Pour refuser la mise en place de cours d’éducation sexuelle aux enfants de 6 ans, et contre le choix d’associations LGBT pour assurer ces cours…