La prime de Noël, aide
exceptionnelle créée par Jospin et versée aux plus démunis en fin d'année a été
pérennisée dans le budget 2013. Cette année, elle atteindra 152,45 euros pour
une personne seule, a indiqué jeudi le ministère en charge de la lutte contre
l'exclusion, dans un communiqué.
A
l’heure ou nombre de mahométans font du chantage pour que soient retirés les
sapins de nos écoles et places publiques, à l’heure où ils font pression pour
que soient supprimés les menus « non halal » des restaurants
scolaires, auront-ils la décence et le bon-sens de refuser une allocation liée
à une fête religieuse de « mécréants » ? Il est permis d’en
douter : l’argent des dhimmis n’a pas d’odeur.
Le
financement de la prime de Noël, accordée aux bénéficiaires de minima sociaux -
RSA, allocation spécifique de solidarité retraite (ASS), allocation équivalent
retraite (AER) et allocation transitoire de solidarité (ATS) - est désormais
assuré via une hausse des prélèvement sociaux sur le capital.
Son
montant est fixé à 152,45 euros pour une personne seule (228,67 euros pour un
couple). Il augmente en fonction du nombre des enfants à charge (par exemple
442,10 euros pour un couple avec 4 enfants).
"Le RSA ayant été
étendu au département de Mayotte le 1er janvier 2012, les allocataires du RSA
socle et socle majoré (pour les parents isolés, ndlr) de ce département
bénéficieront aussi cette année d'une prime de Noël, modulée selon un barème
spécifique",
souligne la ministre Marie-Arlette Carlotti, citée dans le communiqué.
La
prime de Noël avait été attribuée pour la première fois en 1998 par le
gouvernement Jospin sous la pression de mouvements de chômeurs, qui réclament
depuis des années qu'elle soit sensiblement augmentée et que le champ de ses
bénéficiaires soit élargi.
Avec
AFP