TRIBUNE LIBRE
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i j’en
crois les gazettes, les Français seraient de plus en plus nombreux à trouver
qualités et vertus au petit homme narcissique qui a pris le pouvoir en mai
2017. On nous raconte aussi que le bon peuple de France serait tombé sous le
charme de la vieille Brigitte (née Trogneux), son épouse.■
UN COMPLOT
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ue penseraient les grandes
figures de la droite d’avant-guerre - les Charles
Maurras, Léon Daudet et consorts - qui
reprochaient à la « Gueuze »
d’être inféodée aux Juifs et aux Francs-maçons,
du putsch soft qui a porté aux affaires ce jeune gandin ambitieux, mégalomane
mais totalement inexpérimenté, cette gravure de mode au physique de «gendre idéal», jamais élu nulle part,
et qui n’avait ni légitimité ni la moindre compétence pour prétendre aux plus
hautes fonctions de l’État?
Ils y verraient, sans aucun
doute, un complot ourdi conjointement par les « fils de la veuve » et ceux de Canaan. Eh bien, et tant pis s’il
est « politiquement incorrect » de
le dire : ils auraient parfaitement
raison !
Des gens ralliés de fraiche
date au Marquis de Morveux d’Énarque me prient de lui concéder des qualités de
fin stratège dans sa conquête du pouvoir. Et
bien NON ! Car tout est « bidon »
dans cette affaire : ce petit marquis
poudré aura été la marionnette de la finance apatride.
La preuve la plus évidente, la plus incontestable, est
fournie par ses comptes officiels de campagne. Il a dépensé 16,7 millions
d’euros ; c’est, de tous les candidats, celui qui a dépensé le plus ! Et,
curieusement, aucun média inquisiteur, aucun « fouille-merde » patenté, ne se pose la question de savoir comment un jeune homme inconnu du grand
public a pu, en un an, créer un parti politique et engranger des dizaines de
millions(1) en un temps record ?
Ce freluquet narcissique,
soutenu par «l’argent apatride »,
les médias «européistes», les Drahi,
Attali, DSK, etc…aura réussi un coup d’État sans faire couler une goutte de
sang. Depuis le 18 brumaire (9 novembre 1799), la France a connu quelques tentatives de putsch. Celui du général
Boulanger (28 janvier 1889) a avorté ; celui du colonel de Laroque (6 février
1934) idem. La « semaine des barricades
» d’Alger de janvier 1960 a fini en débandade, le putsch des généraux
Salan, Jouhaud, Challe et Zeller (21 avril 1961) a tourné au fiasco.
Le
seul putsch réussi aura été le retour aux affaires du « Grand Charles », le 13
mai 1958.
Il y a d’ailleurs des
similitudes entre le 13 mai 1958 et l’élection d’Emmanuel de Morveux d’Énarque:
une volonté de la finance d’imposer SON
candidat, un délitement des partis politiques traditionnels, et une incapacité
du pouvoir à venir à bout des problèmes des Français…
L’ARNAQUE COMMENCE AU BILDERBERG
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lors, pour les naïfs (ou les
imbéciles ?) qui croient encore aux contes de fée, je vais (tenter de) raconter
brièvement le roman d’un des plus beaux «
enfumages » de notre histoire. L’arnaque commence au « Bilderberg »(2), un rassemblement d’une centaine de membres -
essentiellement américains et européens -
dont la plupart sont des personnalités de la diplomatie, de la finance,
des affaires, de la politique et, bien sûr, des médias. Un cénacle qui œuvre pour la mondialisation de l’économie, donc pour la
disparition, à terme, des nations.
C’est Henri de Castries,
ex-président d’AXA et président du «
Bilderberg », qui, le premier,
repère Emmanuel de Morveux d’Enarque, un jeune loup aux dents très très
longues (3).
Lors d’une réunion du
« Bildelberg », à Copenhague, du 29
mai au 1er juin 2014, en présence de toute la haute finance (les banquiers de
la Deutsch Bank, Christine Lagarde, Benoit Coeuré, etc…), d’Henri de Castries
et du jeune Marquis, la décision est
prise de faire pression sur Manuelito Valls, le faux-dur catalan, pour qu’il
nomme le petit Marquis ministre de l’économie et de l’industrie en remplacement
du vibrionnant « Monte-Bourre »
totalement imprévisible.
C’est Jean-Pierre Jouyet,
l’ami de toujours d’Hollandouille, qui se charge de lui vendre ce plan
machiavélique: le Marquis est donc nommé ministre le 26 août 2014. Les banquiers
ont réussi : leur petit prodige est à leurs bottes, ils n’ont plus qu’à le
manipuler tel un pantin.
Mais, très vite, le patronat
le trouve trop tiède dans ses réformes. Le Marquis veut plaire à tout le monde
: à la gauche « et en même temps » …au centre et à la droite. On le pousse à
faire une loi « Morveux 2 », mais l’ombrageux Valls, qui voit poindre un rival
dangereux, s’y oppose et confie le projet de réforme à une grosse mouquère,
sorte de danseuse du ventre,
l’insignifiante Myriam El Khonnerie.
Malin
comme un singe(4), le Marquis réussi quand même à inclure dans la loi la
réécriture du licenciement économique et le plafonnement des indemnités
prud’homales.
Valls - qui protège ses
arrières tel un hétéro entré par hasard dans un bar Gay - rétrograde le Marquis
dans l’ordre protocolaire du gouvernement lors du mini remaniement de février
2016 : les loups se mangent entre eux, mais le loup catalan ne fait pas le
poids(5) : il n’a pas compris que ceux d’en face chassent
en meute !
Le
21 mars 2016, Henri de Castries, Yvon Gattaz (MEDEF), Mario Draghi (BCE), des
banquiers et les patrons de presse - Bolloré, Drahi, Bergé etc - se réunissent
à Francfort, et décident de pousser le Marquis à créer un parti politique ; un parti totalement inféodé à leur cause.
Et la machine infernale se
met en route : la presse écrite va consacrer plus de 85 unes aux Morveux
d’Énarque. La télé nous présente le Marquis comme le gendre idéal: on le pare
de toutes les qualités, tous les talents, toutes les vertus. On lui invente un
passage par «normale sup» et un
doctorat en philosophie. Il se dit lui-même disciple du philosophe
protestant Paul Ricœur, ça rassure les
chrétiens progressistes et puis, ça fait sérieux ; et tant pis si le vulgum
pecus connait mieux Paul Ricard (et sa boisson anisée) que Paul Ricœur !
LES MÉDIAS ENTRENT DANS LA DANSE
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es publicitaires se chargent
de convaincre « la ménagère de plus de
50 ans » : le Marquis vit et copule avec une femme qui pourrait être sa
mère. Du coup, on nous raconte à l’envie comment cette haridelle blondasse a
déniaisé un puceau de 16 ans. En
d’autres temps, on se rappelle que Gabrielle Russier(6), condamnée à un an de
prison ferme pour le même motif, s’était suicidée.
Mais
c’était il y a un demi-siècle : autres temps, autres mœurs !
Les ménagères françaises
voient dans ce jeune bellâtre, un fils, un gendre et, pour les plus vicelardes,
le gigolo avec lequel elles aimeraient faire des galipettes lubriques.
Bolloré aurait, dit-on, eu
cette réflexion : « Puisque la mode est
aux couguars et aux MILF (7) mettons sa
couguar à la une, c’est tendance… ». Du jour au lendemain, TOUS les
magazines féminins tombent sous le charme, pourtant très relatif, de «
Mémé Trogneux » avec sa coiffure de
cocker, ses minijupes et ses gambettes
de lévrier afghan.
Pour
financer le nouveau parti, les banquiers créent deux structures : l’«
association pour le renouvellement de la vie politique » et l’association
chargée de son financement. Cette dernière
sera financée par des fonds
privés. Castries et Gattaz en confient la présidence à Dargnat, un ancien de
BNP Paribas. Le 6 avril 2016, le parti est créé.
Le petit Marquis, plus
mégalo que jamais, exige que « son »
parti porte les mêmes initiales que lui : ce sera donc «EM» pour «En Marche» (ou Emmanuel de Morveux). Les banquiers
acceptent ce caprice de (sale) gosse, qui n’engage à rien, et aussitôt l’argent afflue de partout.
BOOSTER LA CAMPAGNE ET DISCRÉDITER HOLLANDE
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in avril 2016, Edouardo Philippe, le ténébreux maire du
Havre, est convié par Henri de Castries et Bolloré, à Paris. Ils lui demandent de soutenir le Marquis,
puis ils l’invitent à la réunion du
Bidelberg qui se tient du 10 au 12 juin 2016 à Dresde. Là, il rencontre
Christine Lagarde, Baroso et d’autres banquiers. Souvenez-vous du suspense
autour du choix du premier ministre en… mai 2017. En fait, tout était déjà joué : en haut lieu on avait décidé que ce
serait Edouardo Philippe !
La décision de « booster » la campagne est prise un
peu plus tard, lors d’une réunion à Berlin, en présence du directeur de la BCE,
de Drahi, Bolloré, Bergé, de quelques banquiers et de… Louvel, président du
Conseil Supérieur de la Magistrature(8).
Tout
ce beau monde est rejoint, au dîner, par Angéla Merkel. La chancelière
allemande est convié à se prononcer sur la présidentielle…française. Étonnant
non ?
Évidemment, dans le même
temps, il faut discréditer Hollandouille qui serait capable de se représenter
en 2017. On organise donc un débat, sur France 2, le 14 avril 2016.
Drahi
et Bergé font pression sur Michel Field,
patron de l'info de France Télévision, pour que ce soit Hala Salamé (9), la
multimillionnaire libanaise aux dents à rayer le parquet, qui mène le débat.
Hollandouille ne sera pas
épargné. Quelques mois plus tard le porcelet de Tulle se tirera une balle dans
le pied en se confessant à deux journaleux de l’« Immonde », lesquels publieront un pavé indigeste titré « Un président ne devrait pas dire ça ».
IL FAUT AUSSI DÉGAGER FILLON ET FAIRE MONTER LE PEN
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ais le complot pour faire
élire le Marquis pouvait encore capoter car, en novembre 2016, l’abbé Fillon,
le tristounet aux gros sourcils, gagnait contre toute attente la primaire «de la droite (molle) et du centre (flou)
». Le père Fillon est un ami –
intime parait-il – d’Henri de Castries mais les banquiers d’affaires trouvent
son programme trop frileux ; ils décident donc de l’éliminer.
Gaspard Ganzter, conseiller
d’Hollandouille mais condisciple du Marquis à l’ENA, rencontre le directeur du «Connard
déchainé» en janvier 2017. D’autres se chargent d’informer « Médiaporc » du gauchiste Edwy Plenel
(10). On apprend alors que toute la famille Fillon en croquait allégrement, que
le révérend faisait payer ses soutanes par un avocat d’affaires véreux. Que
celui qui se faisait passer pour un saint homme détournait l’argent du
denier-du-culte et buvait le vin de messe en cachette; bref, qu’il était juste
aussi pourri que les autres. Le centre s’empressait de le lâcher, aussitôt suivi
par la droite molle. Les Juppéistes se chargeaient de lui savonner la planche. De janvier 2017 au premier tour de la
présidentielle, nous n’entendrons parler QUE de l’affaire Fillon !
Les conjurés ont
compris que pour l’emporter, il faut
impérativement que le second round se joue entre le Marquis et la grosse Marine
Le Pen. On la sait nulle en économie. Ne comprenant RIEN aux valeurs de
droite, elle mène une ligne politique dictée par l’inverti Philippot dit « Flo-flo ». Ce dernier et sa cour de
«mignons» ont fait une OPA sur le Front
National : cette «cage aux folles» a
transformé le FN canal historique en FN «anal
hystérique». Marine, elle, est contente de l’importance prise par Philippot
: ça lui permet de stopper l’ascension
de sa nièce Marion au sein du FN (11).
Donc, après les scandaleuses
turpitudes de l’abbé Fillon, les médias - aux ordres - montent en épingle
l’affaire « des attachés parlementaires
du FN ». Les loges et les fils de Canaan sont à la manœuvre : les
Rothschild, Attali, DSK, Drahi…
Disons un mot de ce dernier
car il symbolise bien, à lui seul, l’univers dans lequel évolue le Marquis : Patrick Drahi, séfarade d’Afrique
du Nord (né en 1963 au Maroc), est un homme d'affaires israélien qui réside… en
Suisse depuis 1999. Il est le président
du consortium luxembourgeois « Altice »,
une multinationale qui est cotée à la bourse… d'Amsterdam. Drahi est
propriétaire d'une holding immatriculée à …Guernesey. «Altice» est le principal actionnaire de l'opérateur français «SFR» , de «Virgin Mobile», de l'opérateur israélien «Hot», de «Portugal Telecom»,
«Altice Dominicana» et de
l'américain « Suddenlink ». Le groupe« SFR » est propriétaire des
torchons de gauche « Libération » et « L'Express ».
Apatride et exilé fiscal,
son patrimoine était évalué par le magazine « Forbes », en 2016, à 13 milliards de dollars US, faisant de lui
la 5ème fortune de France et la 93ème à
l'échelle mondiale. C’est d’autant plus
cocasse que son groupe croule sous les dettes. Allez comprendre ????
Drahi
tient toute la presse française et met cette force de frappe au service du
Marquis. L’affairiste séfarade prodigue ses conseils avisés au
jeune blanc-bec. Lors d’une entrevue, en présence de Bolloré, il lui déclare : « Ne brusque pas les Français, dis leur ce
qu’ils veulent entendre, ce sont des veaux, ils veulent une idole, un homme
providentiel… Sers-toi des gens du spectacle, du show-biz, ces connards incultes qui se disent de gauche parce que ça
fait bien… »(12).
Vincent Bolloré n’est pas,
lui non plus, avare de commentaires fielleux : « Le Français veut de
l’instantané, du scoop, il ne réfléchit pas : du foot, des émissions
débiles, du cul, de la bière et il est heureux, il faut lui servir ce qu’il
veut ! »
Lors d’une réunion, le 11
avril 2017, Drahi, Jouyet et Henri de Castries s’inquiètent encore de la montée
en puissance de Jean-Luc MélanCON, le Chavez des banlieues, qui, avec sa verve
et sa grande gueule, mord sur l’électorat jeune, sur la «diversité» et sur les prolos.
AVEC LES DERNIERS SONDAGES,
LA FINANCE NAGE DANS LE
BONHEUR
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e 23 avril 2017, les voilà
rassurés : le Marquis caracole en tête
avec 24%. L’abstention bat des records mais ces gens-là s’en moquent. Il
importe peu que leur pantin soit bien ou mal élu, ce qui compte c’est qu’il
l’emporte ! Drahi exulte et dit à son champion : « Ça y est, tu es président. Les Français n’auront jamais les couilles
(sic) de voter Le Pen… »
Et le Marquis invite, sans
la moindre pudeur, ses amis à «la
Rotonde». Sarkozy avait attendu d’être élu pour convier les siens au « Fouquet’s », on lui en a fait le
reproche durant cinq ans.
Dès
le 24 avril, la bourse gagne + 7 points, les financiers nagent dans le bonheur
!
Durant toute la campagne,
dans ses discours, le Marquis a invité les Français « de tous degrés et gardes » à le rejoindre. Il faut voir, dans
cette formulation, les conseils avisés de ses amis maçons, à commencer par
Richard «Faisan» et Mollusque
Collomb, la triste guimauve dont le Marquis fera, plus tard, son ministre des
basses polices (13).
Passons rapidement
sur le calamiteux débat de l’entre-deux tours : Marine Le Pen – on peut se
demander si elle avait bu ? – a fait une prestation LA-MEN-TA-BLE et a offert au Marquis une large victoire. Elle a
fait la démonstration, du même coup, de son incapacité à diriger la France. Depuis, le FN n’en finit pas de
baisser dans les sondages. Marine et Philippot prétendaient « dédiaboliser » le FN; ils l’ont sans
doute tué !
LE MARQUIS DE MORVEUX D’ÉNARQUE EST ÉLU
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e 7 mai, le Marquis de
Morveux d’Énarque est élu. Il est le plus jeune président de toute l’histoire
de nos «ripoux-bliques» : on offre
au bon peuple - bon mais naïf - un remake, en plus jeune, de l’élection de «Fiscard»,
le Verchuren de Chamalières. La presse
et la finance exultent !
La cérémonie
d’intronisation, devant la pyramide du Louvre, restera dans l’histoire comme l’illustration
du délire narcissique du Marquis. Elle
rappelle les grands meetings d’un certain…Adolf Hitler : même logorrhée froide,
même absence de sentiments et même regard de fou.
Mais cette cérémonie, devant
le triangle éclairé - symbole maçonnique s’il en est - c’est aussi un remerciement aux «frères la gratouille» auxquels il
doit, incontestablement, sa victoire.
Car ne nous leurrons pas,
l’élection du Marquis, c’est aussi le grand retour de la « République des Franc- maçons » (14).
LES LÉGISLATIVES
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ais
il restait à gagner le « troisième tour »: les élections législatives. Les
loges et la finance voulaient une chambre à la botte du Marquis : il fallait
donc inciter le peuple au «dégagisme»
pour faire élire partout des novices en politique. Peu importait que les futurs
députés soient totalement incompétents puisqu’on leur demanderait simplement de
cautionner, d’approuver, béatement (ou bêtement) toutes les décisions
gouvernementales.
Le
Marquis, de plus en plus mégalomane, voulait un règne «Jupitérien».
Richard « faisan » mettra en place un mystérieux processus de sélection,
aidé par Bayrou, le «crétin des
Pyrénées», et le parti du Marquis obtiendra la majorité absolue à
l’Assemblée Nationale. Comme par hasard,
même dans les médias inquisiteurs, personne ne se posera la question du
financement de toutes ces investitures.
La machine (la machination
?) est «En Marche» : force est de
constater que la conjuration conjointe des kippas et des tabliers en peau de
cochon a merveilleusement fonctionné.
Avec l’appui illimité de la
finance, de la presse et des loges maçonniques, on peut penser (on peut
craindre !) que le Marquis de Morveux d’Énarque ne soit aux affaires pour
longtemps.
Lénine disait: « Nous leur vendrons la corde pour les
pendre ».
Nous, c’est la vaseline
qu’on va nous vendre, de la marque CSG(15).
Certains aiment ça, d’autres
- comme Philippot - en redemandent mais les gens normaux, dont je suis, n’ont
pas l’intention de se laisser…faire.
Et puis, sait-on jamais, si
la mégalomanie du Marquis tournait en paranoïa, peut-être que les forces
judéo-maçonniques décideraient de miser sur un autre cheval ? D’autant plus
qu’ils ne tarderont pas à s’apercevoir que leur bourrin a les défauts du mulet
et le caractère entêté d’un âne.
►Il n’est pas interdit de rêver
(puisqu’il n’y a pas encore de taxe sur les rêves). En attendant, le
gouvernement a produit 8 nouveaux impôts en 8 mois ; ça promet !■
NOTES
(1) : Surtout avec des adhésions…gratuites ?
(2) : Également appelé « Conférence de Bilderberg » ou « Club
Bilderberg ».
(3) : Son premier mentor aura été Jacques
Attali, qui l’utilise dans sa fameuse commission.
(4) : Ne voyez dans cette image aucune
intention malveillante à l’égard de la dame Taubira.
(5) : Malgré son appartenance au Grand
Orient.
(6) : Fait divers qui avait inspiré à André
Cayatte, le film pleurnichard « Mourir d’aimer ».
(7) : MILF = Mother I Like Fuck dans le langage du cinéma porno.
(8) : Sans doute là pour défendre
l’indépendance de la justice ?
(9) : Dite
Léa Salamé, ça fait plus… français.
(10) : Comme par hasard, le Canard et Médiapart
ont vu leurs subventions augmenter en 2017.
(11) : Marion Maréchal jettera l’éponge après
la présidentielle et Marine se débarrassera de la fiotte Philippot…pour mener
en gros la même politique avec un autre pédéraste, Sébastien Chenu : une façon
comme une autre, sans doute, de ne pas «perdre les pédales» ?
(12) : Pour une fois, je suis entièrement
d’accord avec Drahi.
(13) : On dit que le Marquis serait
Franc-maçon. C’est assez vraisemblable car son vocabulaire le trahit, de même
que sa cérémonie d’intronisation devant la pyramide du Louvre. Au mieux,
c’est « un maçon sans tablier » entouré
de maçons.
(14) : Les « bouffeurs de curé » et autres «
saucissonneurs du Vendredi Saint » ont toujours été nombreux et influents dans
nos différents gouvernements mais là on atteint un record.
(15) : CSG = Confort pour la Sodomie
Généralisée. Créé, en 1991, par le laboratoire Rocard.