TRIBUNE
LIBRE
À moins qu'il ne se soit
servi de ce prétexte pour cacher d'autres décisions qui lui seraient
impopulaires, comme il a pris l'habitude de le faire.
LA BI-NATIONALITÉ : UN MAL FRANÇAIS
Résultat de cette
pantalonnade et comme l'a jugé le Sénat, seuls les binationaux peuvent être
déchus de la nationalité française puisqu'ils ne deviendraient pas des
apatrides.
Soit. Donc, seuls les
terroristes binationaux pouvaient être déchus de la nationalité française. Cela
n'a pas convenu à Hollande. Pourquoi ?
Connaissez-vous des
terroristes ayant tué en Europe - et particulièrement en France - qui n'aient
pas la double nationalité française et algérienne ou marocaine puisque ces deux
pays du Maghreb nous fournissent un énorme contingent de binationaux qui
profitent de nos lois mais ne les respectent pas.
Leur
leitmotiv est : « On prend, on ne
donne rien. Et dès qu'on peut, on prend le pays ! »
Tout
cela, nous le savons depuis 50 ans. Et les dirigeants, aussi.
Il est des accords signés difficilement révisables surtout si cela doit
désavantager les pays du Maghreb et principalement l'Algérie.
L’AVEUGLEMENT VOLONTAIRE DES « POLITIQUES »
Chaque politique français,
de droite ou de gauche, à la pêche aux voix électorales, s'empresse de
maintenir un bon rapport avec ces pays. Ils s'engagent donc, en contrepartie, à
délivrer des visas en quantité astronomique - plus de 200 mille visas annuels
pour l'Algérie qui a la préférence de la France, allez savoir pourquoi ?
Ajoutez à cela, les
illégaux, les cousins-cousines, les frères-sœurs, les tontons-tatas, qui arrivent
« en visite » dans la famille. Tant qu'ils y sont, ils
en profitent pour se faire soigner en utilisant les cartes vitales des
binationaux qui bénéficient de la CMU mais qui échangent ce « service »
contre des milliers de dinars algériens qui resteront au pays, bien au chaud,
en attendant les futures vacances.
Bref,
tous ces gens-là sucent la France sans jamais lui apporter un millionième de ce
qu'ils prennent.
Pour faire bon poids, on
ajoutera à la marée migratoire à laquelle nous faisons face, ceux de ces
« visiteurs familiaux » qui ne repartent jamais et vous
obtiendrez un nombre incalculable de futurs binationaux dont la France
héritera.
UNE BONNE PROPOSITION DE LOI
Pourtant, en janvier
dernier, un sénateur a proposé une loi qui pourrait inverser la donne, à
condition que les députés, sénateurs et autres conseillers constitutionnels
français veuillent bien préserver ce qui
reste de la France, encore, non musulmane.
Ce
projet de loi, fort simple et judicieux, permettrait de nous défaire de tous
ces binationaux alimentaires et devenus, pour un grand nombre, ennemis déclarés
de la France et de ses libertés. De plus, nous ne serions pas le premier pays
européen à l'appliquer.
Cette
loi consisterait à n'accepter, binationaux, que les seuls natifs européens.
Bien sûr, vous dites on est
déjà habitué à entendre : le Français « Mehra » ou le Belge
« Salem –machin ».
Qu'est-ce qui les empêcherait, alors de rechercher la binationalité en
France ?
Puisqu'ils bénéficient dans
ces pays-là de la presque totalité des avantages que nous leur fournissons,
ceci est un moindre risque. Nous nous en occuperions dans un second temps.
L'urgence étant de ne plus
fabriquer des doubles nationalités arabo-françaises.
Si
ce projet, dans lequel figurent deux articles très intelligents parce que très
efficaces, venaient à être adopté, nous ne retrouverions chez nous, que des
Français de cœur et non des suceurs de moelle.
Voilà ce que propose le
sénateur Jean-Louis Masson (un Lorrain !) pour modifier l'acquisition
systématique de la nationalité française aux personnes nées de parents
étrangers :
« À l’exception des ressortissants
des pays de l’Union européenne, l’intéressé n’ayant pas dans l’année suivant sa
majorité répudié la ou les nationalités qu’il possède déjà, est déclaré
d’office décliner la qualité de Français. L’intéressé est alors réputé n’avoir
jamais été français ».
Pour ceux qui souhaitent
devenir Français et la liste est longue chaque année avec les mariages
arrangés, les adoptions bidons etc... il préconise :
« À l’exception des ressortissants
des pays de l’Union européenne, toute personne devenue française par
acquisition de la nationalité en application des articles 21-2 à 21-25-1
n’ayant pas, dans l’année suivant cette acquisition, répudié la ou les
nationalités qu’il possédait déjà est déclarée d’office décliner la qualité de
Français. Elle est réputée n’avoir jamais été française. »
La dernière phrase, dans ces
deux articles, est primordiale. Ils n'ont jamais été Français. Par conséquent,
ils ne pourront jamais réclamer, ultérieurement, quoique ce soit qui pourrait
leur être concédé au regard de leur appartenance antérieure à la communauté
française sinon qu'en leur qualité d'étranger.
Cette
proposition de loi permettrait dans un premier temps de stopper immédiatement
la prolifération de la binationalité (ou plus) sur le territoire français.
Dans un second temps, nous
suggèrerions que TOUS les binationaux nés sur le territoire français, ayant
obtenu de facto la nationalité française au regard du droit du sol, soient
contraints à la même rigueur du choix de la nationalité qui leur conviendrait
le mieux.
En choisissant la France,
ils deviendraient des Français à part entière. Avec des droits et des devoirs
envers la France. Ils ne pourraient plus aller se réfugier dans « leur
autre pays » comme ils le font trop souvent quand ils ont commis
un acte condamnable en France. Ils ne bénéficieraient pas de lois différentes.
Ils seraient jugés en France et uniquement. Ils seraient, aussi, défendus par
la France, en cas de litiges dans un autre pays.
Tout
cela est possible et facilement exécutable.
Reste à savoir comment ces
dirigeants, députés, sénateurs et autres conseillers constitutionnels
interprèteront cette proposition qui n'a pour seul but que de préserver la France des envahisseurs qui ne
l'aiment pas et font tout pour se l'accaparer et la détruire.