Les collabos feignent de l’ignorer, mais elle a
déjà commencé…
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a guerre civile ethnique, comme un serpenteau de vipère qui
brise la coquille de son œuf, n’en est qu’à ses très modestes débuts. « Nous sommes en guerre », aiment à
rabâcher certains politiciens et journalistes. Ils entendent par-là, après les
attentats de janvier et de novembre : en guerre contre Daesh et contre une
poignée d’islamistes fanatiques. Non, c’est bien plus grave : il s’agit,
sur le territoire français, d’un affrontement ethnique qui commence entre
populations extra-européennes sous la bannière de l’islam et la Nation Française.
(1)n
Les « attentats » et tentatives
déjouées ne sont que la partie émergée de l’iceberg. La responsabilité de cette
guerre civile ethnique dont les flammèches sont allumées incombera à une classe
politique et intello-médiatique et à un appareil d’État qui, de manière criminelle, ont laissé depuis quarante ans se déverser une immigration invasive de peuplement
inassimilable. Qui sème le vent récolte la tempête.
Événements
d’Ajaccio : laboratoire du futur
Fiers de leur Identité, les Corses ne
se laisseront jamais faire…
Événement très symbolique et
défi provocateur : quelques jours après la victoire aux élections régionales
des nationalistes et indépendantistes en Corse, de jeunes Maghrébins passent
pour la première fois à l’action violente. Ils allument des incendies dans une
« cité
» aux portes d’Ajaccio et y attirent les pompiers dans un guet-apens, les
agressent et en blessent gravement plusieurs. Ils les traitent de « sales
Corses ! » (Les médias nationaux ont censuré ce dernier point). Le
lendemain, des centaines de manifestants corses investissent la cité, criant
des slogans comme « Arabi, fora ! » (Arabes, dehors), dévastent un restaurant
hallal et commencent à saccager une salle de prière musulmane dont ils brûlent
plusieurs Corans, en guise de représailles. Jusqu’à présent, les « autochtones
» faisaient le dos rond, se calfeutraient chez eux ou déménageaient. Ce scénario « action/réaction, agression/représailles », critère
sociologique d’un déclencheur de guerre civile, est le premier du genre en
France et il fera date.
Tout d’abord, c’est la
première fois que les « jeunes » des cités de Corse tendent
un guet-apens aux pompiers – symboles, comme la police, des autorités
françaises détestées – pratique pourtant courante sur le continent où 1 600
pompiers (!) ont été agressés en 2015. C’est
aussi la première fois en France qu’on assiste à des représailles des
populations de souche exaspérées, tant par le comportement des jeunes
musulmans que par le laxisme d’un État qui ne les protège pas.
Et c’est là le marqueur de toute guerre civile : quand une partie de
la population, se sentant abandonnée par l’État, s’y substitue, récuse son
monopole de la force publique, se fait justice elle-même et assure sa défense,
le désordre de la bellum civile est initialisé. En sociologie politique, le
signal très concret du passage de l’émeute classique à la guerre civile est le
fait que l’affrontement n’a plus lieu entre une population émeutière A et les
forces de l’ordre, mais entre une population A et une population B, « par-dessus
» les forces de l’ordre. L’État est désapproprié de sa fonction de pacification.
Dans l’émission « C
dans l’Air » (France 5), un des intellectuels invités se
félicitait naïvement de ce qu’il n’y ait « pas de représailles, pas de ratonnades
» après, disait-il « tout ce qui s’est passé ». Il
mettait ça sur le compte (« pas d’amalgame ! ») d’une sublime
retenue, d’une haute moralité des Français. Eh, bien, ça vient de changer, et cela peut faire tache d’huile.
L’installation
de la guérilla
L’Armée (ici, le 1°RHP) patrouille dans
les rues : c’est un signe avant-coureur…
Les
attentats et attaques militaires coordonnées et planifiées (par Daesh ou
d’autres) des djihadistes ne sont donc que la partie émergée de l’iceberg. En
réalité, une fraction notable de la jeunesse arabo-africaine qui se place –
ethniquement – sous la bannière de l’islam, mène des actions multiformes de
guérilla, de harcèlements, qui, bien que souvent liées à une criminalité
endémique, vont bien au-delà.
À Valence, le 1er janvier,
un certain Raouf El Ayeb, inconnu de la police, a lancé sa voiture contre des
militaires gardant une mosquée – ces dernières étant pourtant peu menacées… Un
des soldats a été blessé et l’agresseur touché par les tirs. Fin décembre, au
Louvre, un scénario semblable s’était produit, dissimulé par les médias : un
automobiliste de même origine a tenté d’écraser les militaires qui gardaient
l’entrée de la Cour carrée du Louvre.
10.500 militaires (!) sont
déployés en patrouilles et gardes statiques dans le cadre de l’opération
Sentinelle – avec un coût considérable – pour prévenir les attaques de qui l’on
sait. Comme l’« état d’urgence », cette mobilisation est inscrite dans la
durée. Jamais, dans toute l’histoire
moderne de la France, on n’a vu l’armée patrouiller en permanence dans les
rues. Si ce n’est pas le signe d’une guerre civile qui commence, on se
demande bien ce que c’est. (2) En 2015,
on a dénombré 200 agressions contre ces militaires de l’opération Sentinelle
dont les auteurs sont tous de même origine. Impulsives ou calculées, ces
agressions, dont les auteurs savent qu’elles resteront largement impunies,
relèvent d’une volonté d’en découdre, d’amorcer une guérilla endémique.
Les voitures incendiées font
partie de cette pulsion de guérilla urbaine ethnique qui vise à intimider, à
apeurer la population de souche. M. Cazeneuve, ministre de l’Intérieur, s’est
félicité que « seulement » 804 incendies d’automobiles aient été à déplorer
pendant la nuit de la Saint Sylvestre. Mais c’est uniquement à cause de la
présence massive de 110 000 (!) policiers et gendarmes déployés cette nuit-là.
En revanche, pour la première fois, des voitures ont été incendiées dans le
sanctuaire du XVIe nord de Paris, lieu symbolique où réside une bonne partie de
l’oligarchie. Le fait a été
soigneusement masqué, les carcasses calcinées promptement enlevées au petit
matin, les médias priés de se taire. Les habitants du quartier, parlant sur les
réseaux sociaux, ont parfaitement repéré l’origine des incendiaires…
Et puis il y a aussi
l’innombrable et quotidienne litanie des exactions et agressions qui
pourrissent la vie des Français, dont les
auteurs sont toujours les mêmes. La corrélation entre criminalité
crapuleuse et subversion islamique est partout attestée. Récemment, par
exemple, à Millau, l’alimentation
électrique de l’hôpital a été sabotée ; les auteurs obéissaient à la
logique du « micro-terrorisme ». Beaucoup d’exactions, classées dans la
rubrique des faits divers, relèvent en réalité de cette guérilla de harcèlement
permanente, dont la nature profonde est
ethnique. Bien entendu, pour l’idéologie dominante, une telle analyse est
scandaleuse et abominable. La vérité est presque toujours scandaleuse.
Les
collabos s’organisent
Haute trahison d’un État-collabo qui prend
position contre sa propre population...
L’État français, par la
bouche de M. Valls, a décidé de traiter les contre-manifestants corses de « racistes
et xénophobes ». Ils se défendent, donc ils sont racistes, ce sont eux
les agresseurs. Tous les médias officiels ont suivi. Néanmoins, Natacha Polony
remarque : « On explique à l’opinion que le drame, c’est le racisme, l’islamophobie.
C’est ça, l’info principale. Il ne faudrait surtout pas affronter le véritable
problème, la constitution de ghettos dans lesquels des jeunes abêtis par
l’inculture et l’absence de perspective haïssent la société qui les nourrit
». (Le Figaro, 04/01/2016).
Le mouvement allemand PEGIDA qui proteste « contre
l’islamisation de l’Occident », uniquement par des manifestations
pacifiques, est traité de « xénophobe » par Le Figaro sous la
plume de son correspondant à Berlin, Nicolas Barotte (2– 3/01/2015). Le ver est
dans le fruit. Les autres, les envahisseurs, les agresseurs, les terroristes
musulmans ne sont ni racistes ni xénophobes, bien entendu… La nuit de la
Saint-Sylvestre, dans la gare de Cologne, mais ailleurs aussi en Allemagne, des
centaines d’individus « de type moyen-oriental et maghrébin
», selon les témoins interrogés par la presse allemande citée par Le Figaro
(06/01/2016), se sont livrés à des agressions en groupe, de nature à la fois
crapuleuse et sexuelle, contre des cibles principalement féminines. Absente, la
police n’a arrêté personne.
Éric Zemmour a été condamné
le 17 décembre à 3 000 € d’amende pour « provocation à la haine envers les musulmans
» pour avoir déclaré au « Corriere della Sera » en
octobre 2014 : « Cette situation de peuple dans le peuple, des musulmans dans le peuple français,
nous conduira au chaos et à la guerre civile ». L’historien Georges
Bensoussan qui a dit à peu près la même chose, affronte de graves ennuis. Les
imams des mosquées salafistes qui prêchent le djihad contre les Français, les
innombrables blogueurs qui en appellent aux agressions armées en France « au
nom de l’islam », qui déversent des tombereaux d’injures contre les
juifs et les chrétiens ne sont jamais poursuivis ni jamais traités de « racistes
» ou de « xénophobes ». Situation hallucinante. L’État français, avec une subtile lâcheté, choisit le camp de la
collaboration. Remarquez, ce n’est pas une nouveauté, mais plutôt une
répétition.
Il
est peut-être trop tard
Ces types-là aimeraient dégainer sur
nos « faces de craie »…
Les rappeurs à succès, aussi
nuls que vindicatifs, qui ne sont jamais poursuivis pour haine raciale (seuls les Français de souche sont supposés
atteints du virus raciste) déversent des appels à la guerre civile ethnique
qui sont écoutés dans toutes les banlieues en parallèle avec les appels
islamiques au meurtre sur Internet.
• Salif : « Poitiers
brûle et cette fois-ci, pas de Charles Martel. On vous élimine puisque c’est
trop tard. La France pète, j’espère que t’as capté le concept ».
• Ministère Amer : « J’aimerais
voir brûler Paname au napalm sous les flammes, façon Vietnam… J’ai envie de
dégainer sur des faces de craie » (3)
• Monsieur R : « La
France est une garce, n’oublie pas de la baiser jusqu’à l’épuiser, comme une
salope il faut la traiter, mec ».
• Booba : « Quand
j’vois la France les jambes écartées, j’l’encule sans huile ».
Parlant des banlieues qui
boivent ces charmants propos, Alain Finkielkraut nous explique : « Pour
éviter la guerre civile, il revient à l’État de reconquérir ces territoires
». C’est trop tard, mon cher : car même si l’État voulait (et pouvait) les
reconquérir, ce ne pourrait être qu’au prix… de la guerre civile elle-même. Assez d’angélisme. Il est trop tard.
La
logique de la soumission
La dhimmitude ou la mort : le sort
de ceux qui se coucheront sans combattre…
À Lens et dans le sud-est de
la France – mais aussi chez nos voisins belges –, des messes de Noël ont été
protégées par ce qu’il faut bien appeler des « milices musulmanes ».
Comme si la police et l’armée française n’étaient pas suffisantes. Ce fait est
extrêmement grave et humiliant. Il
s’agit, bien entendu d’une ruse islamique (takiya) d’envahisseur : on vous
protège à condition que vous vous soumettiez. Robert Ménard, maire de
Béziers, a révélé que certains de ces « protecteurs » étaient en fait des
islamistes radicaux repérés. C’est le retour de la « dhimmitude » médiévale. Protection moyennant soumission des juifs
et chrétiens.
Ils cherchent à nous
inspirer une « reconnaissance vassale » selon l’expression de G–W. Goldnadel.
Les médias abrutis s’extasient : qu’ils sont gentils, ces musulmans, de nous
protéger contre leurs coreligionnaires extrémistes ! M. Cazeneuve, ministre de
l’Intérieur, a félicité les milices musulmanes ! Imaginons des groupes d’autodéfense catholiques : ils seraient
promptement matraqués et incarcérés, pire que les « veilleurs » proches de la
Manif pour tous…
Conclusion
réaliste
L’ennemi est déjà chez nous, nourri de
la faiblesse des « gouvernants »…
Mais l’avenir n’est inscrit
nulle part. La probabilité d’une guerre
civile ethnique en France – et chez nos voisins, je pense notamment à la
Belgique – augmente au fil des ans. Si elle a lieu, elle redistribuera les
cartes, toutes les cartes. De manière inimaginable. Et la « révolution
de l’économie numérique » passera au second plan. On évoque souvent le
risque d’une nouvelle crise économique internationale liée à un système
financier mondialisé qui dérape de nouveau, notamment par les mécanismes
d’endettement privés et souverains. Fort bien. Mais ce ne serait qu’un petit orage face au cyclone – aux répercussions
mondiales – qui se prépare si la France et une partie de l’Europe de l’Ouest
s’embrasent dans la guerre civile.n
Notes
1.
Les agresseurs se prétendant évidemment victimes et agressés.
2.
D’ailleurs, il n’y a pas de patrouilles dans les banlieues, en général zones de
non-droit, évacuées par l’État…
3.
Autrement dit : « J’aimerais descendre
des Blancs à l’arme à feu ». Ces paroles ont été chantées avant les
attentats de 2015, où les souhaits du rappeur ont été exaucés.