Oui, défendre son foyer n’est pas un
crime… C’est même un DEVOIR !
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es policiers sont épuisés. Les CRS en congé de maladie. Les
militaires en OPEX. Ceux qui, dans ces corps, sont encore présents sur le
territoire national, sont désarmés. Ou tout comme, puisqu’on leur demande de ne
tirer qu’en cas de légitime défense. S’ils sont attaqués ! Et nous, citoyens
lambda, si nous sommes attaqués, quel droit de riposte avons-nous ?n
Laisser faire et, après, si
vous êtes en état de parler ou encore en vie, vous vous devez de déclarer les
faits auprès de l’autorité habilitée à enregistrer votre plainte. Cela nous
rappelle ces dépositions de femmes, d’épouses, se déclarant en danger dans
leurs foyers et venant se plaindre au commissariat de police. Laquelle police
répondait : « On ne peut rien faire tant qu’il n’est pas passé à l’acte ! ».
Ben voyons ! Voilà exactement ce que nous vivons, en ce moment, dans une
France où la police nationale a été
remplacée par les préfets, les magistrats et, sans aucun doute, les premiers
responsables de notre insécurité, le président Hollande et son équipe de
béni-oui-oui européistes qui nous obligent à « leur police de la pensée
».
Car
ce sont eux, et uniquement eux, qui ont imposé au peuple, les colonies de
migrants clandestins qui pullulent dans nos villes et nos villages.
Est-ce que l’on peut se
défendre quand on nous arrose à la « kalach » ? Pas sûr.
Est-ce que l’on peut se
défendre contre un ou des violeurs ? Oui,
si on est armé.
Et
cela peut faire toute la différence.
C’est la leçon retenue par
les Allemands, après les innombrables viols de la nuit de la Saint Sylvestre
2015. Les demandes de port d’arme ont explosé. Et, si tous n’ont pas droit à
une arme létale, pistolets à gaz, spray lacrymogène et Taser sont en vente
record.
À l’inverse de ce pays, la
France, toujours, se distingue. On apprenait, hier que deux hommes et une femme
avaient été interpellés dans la ville de Grigny où ils proposaient, à la vente,
à des jeunes des cités, des fusils à pompe, rien moins ! Aucun media n’a encore
dévoilé l’identité des « vendeurs à la sauvette » mais… ne
nous faisons pas d’illusion !
Comme à l’accoutumée, ils ne
seraient pas fichés par la police ni fichés « S » et n’ont aucune
condamnation, sur leur casier judiciaire, pour deux d’entre eux. Néanmoins,
deux pistolets mitrailleurs et des munitions (en attente d’être vendus, certainement)
ont été saisis à leurs domiciles.
Encore une preuve, si besoin
était, que trop de terroristes et trafiquants d’armes se promènent librement en
France. Mais, seront-ils considérés comme des terroristes ou complices de terroristes
? La suite nous le dira.
Ce qui nous ramène à la seule et unique conclusion que l’État
est incapable de nous protéger.
Dans la ville de Béziers, le
maire R. Ménard, a instauré un service de citoyens non armés, qui patrouillent
dans la ville pour dissuader les actes d’incivilité commises par des jeunes. Milice ! Horreur ! Procès ! Préfet !
Dans la ville de Calais, les
citoyens harcelés, jour et nuit, par quelque 6000 migrants agressifs, ont créé
des patrouilles de surveillance dans leur ville, à l’initiative du collectif « les Calaisiens
en colère ». Milice ! Horreur !
Justice ! Préfet !
Encore une fois, dans notre
France où il devrait faire bon vivre, deux clans s’opposent. Les Français
favorables à une immigration débridée et dangereuse et ceux qui n’en veulent
pas ou, à tout le moins, privilégient la sécurité des concitoyens en créant des
services civils de surveillance.
Qu’on se le dise. Ce sont
toujours ceux qui sont favorables à l’immigration qui se rangent au côté de la
Force, de l’État et, même, de la Police qui l’emportent. On l’a vu pour les
Calaisiens, les associations pro-immigration n’y sont pas allé de main morte et
ont diffusé de faux montages vidéo sur
les réseaux sociaux accusant les Calaisiens en colère, de violence contre
les clandestins.
Pourtant nos dirigeants ne
peuvent pas ignorer les propos de l’ancien chef du contre-terrorisme
britannique qui soupçonne les migrants de la « Jungle » d’être des
djihadistes ayant pour but de fomenter des attentats en Angleterre.
D’ailleurs, nous avons les
preuves que les migrants ne sont pas tous de « braves gens, diplômés et
respectueux des lois des pays d’accueil », comme nous le chantaient les
gens de gauche, les « bisounours », les media et les
politologues du genre R. Cayrol, qui leur ont ouvert, grandes, les portes de
nos villes.
Non.
Tout leur bla-bla c’est du pipeau. Aujourd’hui, nous avons la
certitude que dans les migrants il y a aussi des terroristes infiltrés. Les
derniers attentats en France, nous ont donné la preuve qu’ils étaient entrés
intentionnellement dans notre pays. Mais
ils persistent, ces Préfets, ces politiques, ces bienpensants à nous seriner
que nous ne devons pas faire l’amalgame immigrants-violeurs. Les viols en Allemagne, en Suède, en
Suisse, en Finlande, ne sont que des faits divers survenus, simultanément, dans
différents pays de l’espace Schengen !
Comme nous les avons eus,
des centaines de fois par le passé, dans nos cités à majorité d’immigration
musulmane, où les tournantes ont détruit la vie de plusieurs jeunes filles ou
adolescentes. Idem quand ils brûlaient ou encore, qu’ils aspergeaient d’acide,
une jeune fille qui ne voulait pas d’eux ou ne s’habillait pas comme ils le
souhaitaient. On n’en a pas fait un fromage ! Ces jeunes étaient « désœuvrés »
! Ont-ils été jugés et condamnés comme des « terroristes » puisqu’ils
semaient la terreur dans leurs cités ? Mais
non !
Pas même ceux qui ont
délibérément foncé en voiture sur des civils ou des militaires, tuant au
passage quelques Français. Accidents de
la circulation !
Il a tenté de trucider son
professeur avec un couteau ? C’est un « enfant défavorisé »
! Il faut l’intégrer dans une classe où la mixité domine.
Depuis des années, nous
avons la preuve que la majorité de l’immigration musulmane ne s’est pas « accoutumée
» à notre civilisation. Mais ces gens qui nous gouvernent et qui se donnent
tous les droits, nient avec véhémence et force lois, l’évidence qui s’est
surmultipliée en France depuis quelques années. Les dirigeants de France nous mettent en danger de mort, chaque jour
qui passe.
Devons-nous prendre
l’exemple sur les pays européens, voisins ou non, en Allemagne, en Autriche, en
Suède, en Suisse, en Finlande dans lesquels, malgré l’interdiction des
autorités, les citoyens s’arment ou se constituent en Comité de Vigilance ?
Si on en juge par les faits
relayés - et la liste n’est pas exhaustive, nous devrions, à l’instar de
Ménard, prendre les mêmes dispositions, tout au moins :
- dans les villes à forte
population musulmane
- dans les villes et
villages où sont hébergés des migrants musulmans
- dans les cités à problèmes
et, par conséquent, à forte population musulmane
Parce
que le problème, le danger, l’insécurité, en France, c’est l’islam.n