Communiqué de
Nicolas Bay, Secrétaire Général du Front National
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e combat, urgent et vital, contre l’islamisme radical, aura vite
cédé la place à la seule véritable préoccupation de ceux qui se relaient à la
tête de notre pays depuis des décennies : conserver leur place ! Non, ce n’est
pas contre l’État islamique et ses partisans sur notre territoire que tous
s’entendent et frappent de concert, c’est contre le Front National.n
De l’ex-UMP au PS, en
passant par tous leurs satellites et relais, tous se mobilisent pour sauver non
pas « le système », mais LEUR système : le MEDEF, dont chacun sait
pertinemment qu’il ne représente en rien le vrai monde de l’entreprise, les
syndicats d’extrême gauche, dont chacun sait qu’ils ne représentent en rien les
salariés, des journaux, dont chacun sait qu’ils ne doivent plus leur survie que
grâce aux aides publiques. Et puis ces quelques peoples, exilés fiscaux pour
certains, résidant en Floride ou en Suisse pour d’autres (quand ils ne cumulent
pas), qui viennent asséner des leçons aux Français.
Nous laissons à l’UMPS ces
peoples, car nous avons avec nous le Peuple. Ce Peuple de France qui s’apprête
à voter massivement pour les listes du Front National et ses courageux
candidats. Oui, trahis et trompés tant de fois, les Français aspirent
aujourd’hui à une alternative réelle, et non plus à l’alternance factice. Les Français veulent désormais une
véritable rupture, une rupture politique bien entendu mais aussi une rupture
éthique. Le mépris affiché ces derniers jours par la caste politicienne
pour la Démocratie, pour le Peuple, ne peut que les renforcer dans leur
conviction.
Dans un contexte que nos
adversaires cherchent à tendre encore et toujours, dans un réflexe de panique
confinant parfois à l’hystérie, on peut craindre d’inquiétantes dérives. Manuel
Valls lui-même a sonné l’ouverture de la chasse en déclarant qu’il fallait « tout
faire » pour empêcher le Front National de présider des régions.
Jusqu’où ? On peut légitimement
s’interroger sur le caractère profondément anti-démocratique et
anti-républicain de ce type de propos.
Alors que les exécutifs
régionaux se sont révélés défaillants dans leurs missions essentielles comme le
développement économique, le soutien au TPE/PME, les transports, dilapidant
bien souvent l’argent des contribuables pour financer des projets qui ne
répondent nullement à l’intérêt général, l’heure de l’alternative patriote est
venue pour nos régions ! De nos terroirs, qui sont les racines de l’arbre
millénaire qu’est la France, peut venir la renaissance de notre nation.
Dimanche,
si les Français le décident, une première étape dans la reconquête de notre Pays
sera amorcée. Il nous faudra alors tout donner dans la dernière ligne droite,
pour que le 13 décembre soit un jour historique pour la France : celui de la
fierté retrouvée.n