La fête de l’aïd
continue : après les vols de troupeaux d’ovins, les abattages hors-la-loi et
tout le cortège d’exactions qui va avec, c’est au tour du site d’Euromillions
de subir les âneries d’une religion qui n’a décidément pas sa place dans un
pays qui se veut moderne et laïque. Le moment approche où il faudra bien que les Français puissent exprimer leur rejet de l'islam (voir notre article FPI).
La
page d'accueil du site d'information du jeu Euro Millions (euromillions.fr) est
victime depuis dimanche matin d'un piratage par des inconnus qui sont parvenus
à afficher un message en arabe et un en français condamnant les jeux de hasard
pour leur "impureté".
L'internaute
se connectant sur le site Euromillions.fr était accueilli vers 11h00 par un
fond noir porteur d'un double message écrit en caractères arabes puis en
français.
Dans
sa version française, le texte indique : "Ô, vous les croyants! Le vin,
les jeux de hasard, les statues, les augures ne sont qu'une impureté parmi les œuvres
du diable. Écartez-vous en afin que vous réussissiez, Le Diable, ne veut que
jeter l'hostilité et la haine entre vous par le vin et les jeux de hasard et
vous détourner de l'évocation de Dieu et de la prière. Allez-vous donc y mettre
fin?"
L'ensemble
paraît placé sous l'enseigne d'un auteur baptisé "Moroccanghosts",
appellation qui chapeaute la page.
À
11h30, la page d'accueil n'était plus accessible.
La
Française des Jeux (FDJ) a précisé que "seule la page d'accueil du site
d'information Euromillions.fr avait été touchée" par ce piratage.
Le
site fdj.fr "continue a fonctionner normalement sans aucune conséquence
sur les prises de jeu et sur l'intégrité du jeu', a assuré la FDJ en rappelant
qu'elle est le seul opérateur de jeux en France à détenir la norme ISO27001,
"le plus haut standard en matière de sécurité informatique".
Il
est possible de jouer aux jeux de loterie de la FDJ (Loto, Euro Millions, Keno
...) et de grattage (Cash ...) de deux façons : sur internet, via le site
fdj.fr et dans les 35.000 points de vente (buralistes, détaillants de presse..)
de l'opérateur de jeux dont le capital est détenu à 72 par l'État.
Avec
AFP