COMMUNIQUÉ
Communiqué du 11 novembre 2017 des Généraux Christian
PIQUEMAL et Antoine MARTINEZ.
Le rôle noble du politique et donc sa
responsabilité première est d’assurer la sécurité et la protection de la Nation
dont il conduit la destinée. Cela consiste à garantir par tous les moyens la
protection à l’extérieur et la concorde à l’intérieur.
Or, force est de constater,
qu’en raison du laxisme, du manque de clairvoyance, de l’absence de vision, de
la collaboration avec une idéologie mortifère, du déni de réalité manifestés
par nos élites politiques depuis plusieurs décennies, ce rôle protecteur de la
collectivité n’est plus assuré. Il faut bien reconnaître que depuis trop longtemps non seulement l’État
néglige la première de ses missions régaliennes, mais il malmène, voire
trahit – et cela s’est accéléré ces dernières années – l’âme de la France sérieusement menacée car aujourd’hui défigurée et
martyrisée.
Malgré le sens du devoir, le
professionnalisme, l’abnégation et le dévouement de nos soldats – à quelque
niveau que ce soit – au service du pays, nos forces armées ne disposent plus
des moyens nécessaires pour accomplir les missions assignées. Leur
démantèlement depuis la fin de la Guerre froide a réduit de façon irresponsable
et coupable les capacités et l’autonomie de notre outil de défense.
Quant à la concorde, nous en
sommes bien loin et pour longtemps car, de l’aveu même de ceux qui ont
récemment gouverné ou qui gouvernent aujourd’hui, nous sommes en guerre contre un ennemi qu’ils sont incapables de nommer
mais qui est à l’origine en trois ans d’une vingtaine d’attentats ayant causé
des centaines de morts et de blessés sur le sol français. Et le lien de
l’aggravation de la situation et de la mise en danger des Français avec cette
immigration hostile, massive, incontrôlée, injustifiée, aggravée par l’invasion
migratoire depuis 2015 qui constitue une attaque sans précédent des peuples
européens décidée par l’État islamique en décembre 2014, ne peut pas être
occulté.
Car cette immigration, modelée par une
culture incompatible avec la démocratie et nos traditions, a démontré
progressivement et sous le nombre son hostilité et elle devient à présent un
danger mortel pour la nation et pour les nations européennes.
L’état d’urgence, en vigueur
pendant deux ans et qui vient d’être levé, n’aura servi à rien puisque les
mesures radicales et nécessaires qui auraient dû être appliquées ne l’ont pas
été. La décision irresponsable et incompréhensible de la réouverture, avec la
fin de l’état d’urgence, de quelques mosquées salafistes fermées récemment en
est un exemple alors que plus d’une
centaine de ces mosquées radicalisées auraient dû être fermées définitivement
dès novembre 2015. Il serait, en effet, temps de soumettre l’islam en
France à nos règles et de lui poser nos conditions. Et ceux qui ne les acceptent pas doivent partir.
Alors, face à une situation qui se
détériore de jour en jour, nos gouvernants ne pourront pas se soustraire
indéfiniment à ce dilemme pour la France : la survie qui nécessite un
sursaut ou le suicide. Car l’ennemi, lui, poursuit sa marche.
C’est pourquoi, après une
réflexion et des discussions entamées il y a quelques mois, fidèles à
l’héritage historique, spirituel et culturel de cette France charnelle que nous
aimons et que nous continuerons à servir, conscients de la nécessité de
défendre cette identité et de combattre ceux qui nous veulent du mal, nous avons décidé d’unir nos efforts en
rapprochant nos deux organisations (Cercle
de Citoyens Patriotes et Volontaires
Pour la France).
Cette alliance, de nature apolitique, est un appel à la résistance contre le
renoncement et la démission de nos élites politiques face à une idéologie
totalitaire et conquérante qui met en danger notre nation et doit constituer un
signal pour tous les citoyens patriotes pour rejoindre en masse nos rangs et
permettre la reconquête.