TRIBUNE
LIBRE
Au lieu de cela, et par-delà
les discours de Tartarin tenus aussi
bien par ceux qui croient gouverner en France comme en Belgique, les
populations européennes sont abreuvées de discours lénifiants et émollients.
Et on voit le
résultat : même si on comprend évidemment la douleur des victimes et de
leurs proches, il est consternant de voir des foules se livrer à des
démonstrations de sensiblerie et de pleurnicherie déplacées. Pire que des moutons menés à l’abattoir.
On allume des bougies, on dessine des petits cœurs sur l’asphalte, on dépose
des fleurs, on se fait des câlins éplorés… les
saloperies de l’État islamique doivent être pétées de rire !
Dans tous les propos
officiels, il n’est question que d’intention d’arrêter les terroristes, même
plus qualifiés d’islamistes ou de djihadistes, et de les déférer devant un
Tribunal.
Mais pour quoi
faire ?... pour les juger… après des interrogatoires « gentils »
où ils n’auront même pas la moindre peur ni douleur physique et pendant
lesquels ils seront appelés « Monsieur, vous… », en attendant
l’heure du prochain repas réglementaire que de serviles « avocats
de la défense » s’évertueront à faire respecter… au nom d’une
prétendue déontologie professionnelle.
Alors, NON !... Il est
plus que temps d’arrêter ce genre de « connerie ». Il faut
en finir avec ce faux humanisme qui consiste à reconnaitre des droits à ceux
qui ont bafoué les nôtres : à nos yeux, ils n’en ont plus aucun.
Aucun ?... si ce n’est
celui de vider leur sac et de « parler », de « cracher
le morceau »… quelle que soit la manière dont on les fera « parler ».
Car en l’occurrence, il ne s’agit pas de préserver les droits et l’intégrité
physique de l’islamiste arrêté, mais bien d’obtenir les renseignements nécessaires pour tenter d’éviter de nouveaux
attentats. Et j’écris cela en pensant naturellement au salopard d’abdeslam,
actuellement « entre les mains » bien molles de la justice belge.
Ce type-là demande
maintenant son extradition vers la France car il sait que, de toute façon, il
n’y risquera pas grand-chose. Et de plus, la procédure lui permet ainsi de
gagner un peu de temps. Alors, pourquoi s’en priverait-il ?... puisque nos
lois, et ceux qui les ont votées, sont assez stupides pour le lui permettre.
Dans un État normal où la
priorité serait donnée à la protection des populations, ce salopard serait
passé « à la moulinette » et finirait par cracher les noms et les
informations tellement vite qu’on aurait du mal à les écrire. Et une fois l’affaire terminée, il serait
purement et simplement abattu en place publique… et je ne dis pas « abattu
comme un chien », car j’aime trop ces animaux.
Alors, vous pensez à « torture »
et « peine de mort » ?... Et bah oui, vous avez
raison ! Entre gens normaux, on se comprend. Croyez-vous que les Résistants
ont mené des actions de « Bisounours » pendant la
dernière guerre ?... et tout le monde sait comment agissent les
djihadistes : eux font la guerre. Et une guerre n’est jamais propre. Il n’empêche
qu’il faut se donner tous les moyens de la gagner. TOUS LES MOYENS.
Et
nous ne la gagnerons pas par des « commissions
de déradicalisation ».
©Reproduction
autorisée sous réserve de la mention et du lien:
Marc
NOÉ
Ancien
Maire-Conseiller Général de Seine-et-Marne
pour FPI-Le
Gaulois