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Des milliers de clandestins arrivent à
bord du ferry Ariadne au port du Pirée à Athènes. Qui affrète le navire et paie
le passage ?... si ce ne sont des complices !
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L
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a vague massive d’immigrés qui s’abat sur les côtes européennes
laissées sans défense s’apparente à une invasion. Nos dirigeants dont la
mission est de protéger nos frontières semblent être préoccupés par une seule
chose : limiter les dégâts.n
Alors que les médias
libéraux tentent de limiter les dégâts au moment où, dans les endroits comme
Cologne, les vents violents de la réalité emportent comme de la poussière de
fée leurs illusions d’enfants, le moment est venu pour les nations européennes de
se demander si elles croient en leur
droit intrinsèque à l’existence.
Ce n’est pas parce que les
libéraux européens ont été culturellement
castrés dans la période qui a suivi la Seconde Guerre mondiale que les
armées des jeunes hommes qui arrivent des pays arabes et de l’Afrique
sub-saharienne l’ont été aussi.
Les libéraux sont dans le
déni du décalage existant entre leurs thèses et la réalité, tentant de
limiter les dégâts – ou tout simplement, de blâmer les victimes, pour
compenser cette insuffisance.
Mais, le viol et le pillage,
tels qu’on les a vus à travers l’Europe, c’est ce que font les armées
d’invasion. C’est ce que font nos armées d’invasion, pourquoi serait-ce
différent pour les autres ? Les jeunes hommes eux-mêmes comprennent très bien
ce qu’il est en train de se passer, mêmes si les fous autours d’eux ne le
comprennent pas.
Pendant
ce temps-là, les pauvres Européens blancs ont
tellement peur d’appeler les choses par leur nom, que cela
oblige ceux qui sont issus de la seconde génération d’immigrés de le
faire à leur place.
La
démoralisation européenne
Une idée populaire – du
moins parmi les libéraux européens – c’est que l’influence des Européens dans
le monde a été un mal absolu. L’autre idée qui en découle, c’est que tout
instinct de survie parmi ceux qui se revendiquent de la culture européenne est
aussi un mal.
Il est vrai que la
Grande-Bretagne, par exemple (ainsi que d’autres pays européens importants)
avait un Empire et que bien des choses accomplies par ces Empires (peut-être
même trop) a été mauvais, mais en aucun cas ces pillages n’ont profité à
l’homme ordinaire.
La réalité est que la
Grande-Bretagne a été gérée par un cartel de banques depuis la création de la
Banque d’Angleterre et que son propre peuple a été fauché par millions dans des
guerres menées pour remplir les coffres des riches. Un nombre indéterminé de
Britanniques se sont également tués à la tâche dans des champs et dans des
mines.
La
nouvelle pensée développée après la fin de la Deuxième Guerre mondiale
consiste à interdire d’évoquer les différences existant entre des groupes de
personnes
C’était le modèle d’affaires
de l’époque, on inculquait à la population les notions de «nous» et «eux»
– membres du clan et ceux qui n’en font pas partie – parce que c’était utile à
ceux qui régnaient.
À présent, l'ingéniosité et le travail acharné des
hommes européens n’a plus tellement la cote. Le monde que l’on connaît a
été conquis et les banques le possèdent entièrement, à l’exception de quelques
résistants et de ceux qu’on bombarde actuellement. Mais le plus dur a été assez
bien fait à la fin de la Seconde guerre mondiale.
À cette époque-là, une nouvelle doctrine avait été établie.
Selon elle, les Européens n’avaient plus
aucune raison de vivre en «tribus»
distinctes. Les guerres, bien sûr, n’étaient pas dues à l’oligarchie
bancaire qui possédait alors le monde entier, principalement grâce au travail
et à l’ingénuité des Européens. Non, les guerres ont été provoquées par les
peuples européens eux-mêmes.
Donc, plutôt que de choisir
soigneusement ses amis et ses ennemis comme avant, le monde est devenu Dale
Carnegie-isé.
La nouvelle pensée édictait
qu’il fallait simplement refuser de reconnaître qu’il y avait des différences
entre votre groupe de personnes et un autre jusqu’à ce qu’il soit possible de «se
faire des amis et d’influencer des gens», jusqu’à ce que le monde soit un
grand buffet joyeux autour duquel tout le monde se tient par la main en cercle,
en chantant Kumbaya et en partageant un Coca.
C’est ce que croient les
libéraux, par définition. Ils pensent que si l’on défend assez longtemps
ce que l’on veut que la réalité soit, le loup finira par se coucher à côté de
l’agneau et qu’ils partageront dans l’allégresse un bon repas végétarien.
Cette image n’est-elle pas
superbe ? Chaleureuse, câline et sentimentale ? Un peu comme le
dénouement d’un film pour filles à la saccharine.
Mais,
il y a un problème. Et le problème est que tout cela est complètement insensé.
Les
nations européennes ont été prises au piège des politiques de leurs propres
gouvernements et occupées par des gangs de jeunes inconnus
Même nos dirigeants doivent
l’admettre parce que de temps en temps, grâce aux médias qu’ils possèdent, ils
nous tirent des rafales de nationalisme à chaque fois qu’il faut procéder
rapidement (ou moins rapidement) à un génocide quelque part pour démonter un
pays, installer une banque centrale accommodante et faire en sorte
que ce pays recommence à verser ses actifs aux banques plutôt qu’à son propre
peuple. Dans ce cas, le tribalisme est
parfait.
Le tribalisme encadré durant
la Coupe du monde de football est parfait, puisqu’il offre aux males la chance
d’activer leur instinct de protection envers leurs semblables d’une manière
bruyante, stérile, inutile mais maîtrisée.
Mais, le reste du temps si
vous osez souligner une différence entre vous et un autre groupe, le politiquement correct fera de vous
un paria social ou, de plus en plus souvent, vous fera perdre votre
emploi, avant de vous envoyer en prison.
Si l’on revient à notre
image du loup et de l’agneau, cela
signifie que vous êtes devenu l’agneau, que toutes les dents que vous aviez ont
été arrachées et que vous êtes secrètement devenu végétarien après avoir lu
des livres que Deepak Chopra vous a prêtés.
Et à présent, alors que vous
vous pelotonnez contre le loup, toute votre stratégie de survie suppose que le
loup ait lu les mêmes livres que vous et qu’il ait interprété ce qu’il a lu de
la même façon que vous.
L’invasion
européenne
Si je souhaite aller en
Nouvelle Zélande, par exemple, il y a des procédures à suivre. Assez
rigoureuses. Et si j’arrive dans ce pays sans que mes papiers soient en règle,
alors on ne me laissera pas entrer. Tout
le monde ne profite pas des frontières poreuses ni du soutien financier
offert à certains. Mais, en Europe
c’est différent. Du moins, pour le moment.
Il
y a d’authentiques demandeurs d’asile dans le monde. Et des processus pour
étudier leurs demandes existent.
Mais, ce n’est pas comme ça
que ça se passe. Les nations européennes
ont été prises au piège des politiques de leurs propres gouvernements et
occupées par des gangs des jeunes inconnus, dont beaucoup ont tout simplement
suivi le mouvement, juste parce qu’on dit que les Européens ont perdu la
volonté de se battre.
Mais, tout le monde ne
profite pas des frontières poreuses ni du soutien financier offert à ceux qui
parviennent à rentrer.
Le gouvernement britannique
interdit aux épouses de près de 18 000 citoyens britanniques de
rejoindre leur époux au Royaume-Uni si elles ne viennent pas de l’Union
européenne.
Cette
«compassion» est donc extrêmement
sélective.
Les lois de la physique
légale ont été suspendues par magie. Et les gouvernements, dont le premier
devoir et la justification même de leur existence, est de garantir l’intégrité
des frontières d’une nation semblent impuissants.
On
est dans le pétrin : l’Europe est vouée à être nettoyée ethniquement
Je n’ai pas besoin que les
grands médias m’expliquent ce qui va se passer alors que je peux le voir.
Chaque fois que je vois une armée de jeunes hommes marcher sur un pays étranger
à la barbe d’une armée abattue et vaincue, qui a perdu sa volonté ou sa vivacité
d’esprit pour défendre les intérêts de ceux qui paient leur salaire, alors je
sais ce qu’il se passe : une
invasion est en cours.
Comme d’habitude,
pour justifier cette démence, on utilise cette même «compassion»
qui est devenue à la fois de rigueur et défendue par la loi dans tous les pays
où résident des Européens, mais nulle part ailleurs, semble-t-il.
Nos dirigeants n’ont pas de
scrupules à assassiner un million d’Irakiens, de bombarder Falloujah
avec des bombes au phosphore ou encore, de fournir un soutien médiatique
et financier pour l’éradication des Palestiniens, mais à présent, tout d’un
coup, on nous demande d’être sensibles : «On ne peut tout simplement pas
laisser les portes fermées ; il faut aider».
Cette nouvelle forme de
compassion, contradiction flagrante, nous dit tout ce qu’il faut savoir :
on est dans le pétrin. L’Europe est
vouée à être nettoyée ethniquement.
Personne n’a voté pour cela.
Peu de gens le veulent. Mais tout le
monde doit va pourtant payer pour cela. Et en attendant que les
gouvernements remplissent leur mission et protègent leur peuple de l’invasion,
je ne comprends pas pourquoi il n’y a pas de révolte fiscale.
Les guerres contre la Syrie
et l’Irak sont criminelles. Ainsi, que le manquement au devoir de base des
gouvernements européens de garantir l’intégrité de nos frontières. Ceux
qui ont le pouvoir de décision dans les deux scénarios marchent à un rythme que
nous n’avons aucune chance de pouvoir influencer.
C’est
pourquoi, il faut l’admettre, nous vivons sous une tyrannie.
La
folie libérale
L’insistance libérale
politiquement correcte pour que les choses soient comme, en fait, certains
groupes de réflexion socialistes auraient peut-être préféré qu’elles soient,
dépasse la limite de la folie tolérable ; cela revêt l’aspect d’une volonté de mourir ; d’une purification
ethnique imposée et financée des peuples européens indigènes. Et plaider la
compassion ne rendra pas cette réalité publique.
Si l’on cherche les causes
des crimes perpétrés contre la Syrie et l’Irak, on les trouvera dans la nature
et dans l’acceptation de l’usure et des politiques de groupes de réflexion qui
ont pour but de promouvoir les intérêts d’une infime minorité de personnes.
La
grande majorité des Européens ne sont à l’origine d’aucun de ces deux problèmes.
Ils n’en ont à coup sûr pas profité. Il n’y a aucune raison pour qu’ils doivent
aujourd’hui en payer le prix.
L’instinct
de survie émanant des peuples européens est considéré comme inutile et de
mauvais goût
Les ancêtres de ma nation
ont donné leur vie par millions pour défendre leur terre. Je ne crois pas que
je suis le seul à considérer comme néfaste, criminelle, traîtresse et
diabolique, cette collision entre les politiques, l’éducation, les médias et le
monde des affaires qui qualifient tout instinct de survie émanant des peuples
européens comme inutile et de mauvais goût.
Les
voix de la raison commencent à se lever, en provenance de la Hongrie et de
la Slovaquie, par exemple. On ferait bien de les écouter.n