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Sans commentaire…
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L
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a Taubira, garde des « sots »
au sommet, déclare que le marocain terroriste qui a tenté d’occire des
policiers parisiens, ce matin, n’a aucun lien avec la « radicalisation violente
». Ah bon ! Parce que, maintenant, il
faut faire le tri chez les radicalisés ? Avant, on avait les musulmans, tout
court. Puis on a eu les musulmans modérés. Ensuite, il a fallu distinguer les
musulmans pratiquants des musulmans radicalisés. Et, pour finir, on a deux
sortes de musulmans radicalisés : les violents et les radicalisés inoffensifs !n
Mais
qu’est-ce qu’ils vont nous pondre, encore, en haut lieu, pour nous faire gober
leurs salades islamiques ? Il y a toujours eu, en France, des
musulmans qu’on appelle communément les arabes. Pourquoi arabe, parce que
lorsqu’on s’appelle Mohamed ou Najat ou Fatiha, on est, d’une manière générale,
d’origine arabe.
Oui, bien sûr, certains vous
diront que les Syriens ne sont pas arabes et
les Turcs ou les Iraniens, pas plus. N’empêche qu’ils ont la même
religion, les mêmes coutumes, à peu de
chose près et donc, l’amalgame fait par nous, occidentaux, « musulman = arabe », n’est pas tout
à fait erroné. Puisqu’un Américain n’est pas Français et un Belge n’est pas
Allemand on les dit « occidentaux ».
Mais, comme tous ceux qui, par opposition, sont « orientaux » ne sont
pas, non plus, des arabes - vous en conviendrez, ce serait une insulte aux
Indiens, au Japonais, aux Chinois et bien d’autres qui ne sont pas musulmans - nous regroupons tous les musulmans dans
une même « catégorie ethnique » :
les arabes.
Voilà qui est mis au point
et, maintenant, nous allons parler des arabes, en général, pour ne plus
chercher la petite bête quand ils sont devenus, pour certains d’entre eux, la Grosse Bête à abattre.
Donc, en France, on a
toujours vécu ou travaillé avec des arabes. Il y avait ceux qui vivaient comme
nous, à l’européenne ou à l’occidentale, si vous préférez et ceux qui restaient
accrochés à leurs coutumes et qui ne se mélangeaient pas avec les Français.
C’était leur problème et ils ne nous dérangeaient pas plus que ça. Au
contraire, si on pouvait les aider dans les démarches administratives, on le
faisait volontiers pour leur faciliter la tâche. On ne parlait pas du ramadan comme on ne parlait pas de la Pâque.
Les gosses mangeaient tous dans les mêmes cantines sauf le porc, pour eux mais
ils ne sont pas les seuls, les Juifs et les Adventistes, non plus.
Pour les fêtes de Noël, les
arabes ouvriers des entreprises françaises (comme Renault, par exemple)
n’étaient pas les premiers à refuser les cadeaux qui étaient offerts à leurs
gamins par les comités d’entreprises. La prime de Noël, ils étaient bien
contents de l’encaisser, comme les autres. Le rouge ou la blanche, ils savaient
les boire en toute occasion. On a fait
un bon bout de chemin ensemble, vous avouerez.
Et puis, un jour, on a
constaté qu’il y en avait un sacré paquet, autour de nous. C’est vrai, aussi,
qu’ils entraient (et continuent d’entrer), en France, comme dans un moulin. Qu’est-ce
qui a donc changé - et à quel moment - pour que la cohabitation devienne, à ce
point, tout à fait impossible ? La
démographie galopante dans la communauté arabe, diront certains. Ce n’est
pas faux. Le laxisme des gouvernants.
C’est vrai, aussi. Mais il y a eu,
surtout, les boulehias, les barbus.
Ceux-là
ne ressemblaient en rien aux arabes nord-africains qui
étaient les plus nombreux en France et dont les habitudes vestimentaires nous
étaient familières. Soyez certains que, dès que vous les aperceviez dans un
quartier arabe, vous constatiez le changement dans l’attitude des habitants,
dès le lendemain. Les hommes étaient sobres. Les femmes se couvraient la tête.
Les filles ne se maquillaient pas. Les jeunes ne trainaient plus dans le
quartier en gueulant. Tout se passait
comme si un deuil intime venait de les frapper.
D’où venaient-ils, ces « prophètes »
?... Très certainement, d’Arabie Saoudite.
Pour l’heure, c’était vers la fin des années 80, seul ce pays appliquait la loi
rigoriste du coran. C’était l’époque où les entreprises françaises, même les
plus petites, étaient attirées par les marchés avec cette Arabie. Les
promoteurs dans le bâtiment, les golfs, les infrastructures, se précipitaient,
tous les contrats étaient bons à prendre.
Et il y avait beaucoup d’argent à
gagner.
Mais nous savons que rien
n’est gratuit en ce bas monde. Et en France, encore bien moins. Nous avons eu les
marchés et les Séouds avec. Nous avons
pris les contrats et la radicalisation avec. Et, plus jamais rien n’a été
pareil avec les arabes vivant en France. Le silence de nos gouvernants,
leur aveuglement, leur soumission face aux exigences des arabes, aidant, ils
ont créé un fossé entre nos deux communautés, entre les arabes et les français.
Un abîme, aujourd’hui, rien de moins.
Ce matin, encore, un énième
arabe, a voulu attenter à la vie des forces de police. Hier, c’était contre
l’armée, plus tôt, c’était contre des Français lambda, dans les rues. Les
Corses se sont soulevés. Ils ont, depuis, plastiqué la villa en construction,
d’un arabe. Le message est clair. Nous
ne voulons pas, nous ne voulons plus, d’arabes chez nous.
En
métropole, le sentiment est le même. Et, si nous ne plastiquons
pas encore, nous entendons des gens qui les soutenaient, qui les défendaient,
tenir les mêmes propos que ceux qu’ils traitaient de racistes, hier. Eux, non
plus, ne veulent plus des arabes. La
situation est gravissime. Même le cinéma sur la déchéance de nationalité
pour les binationaux, énerve. Ce n’est pas ça qui suffira à faire tomber la
tension. Nous avons largement dépassé ce stade.
Est-ce
que les hommes politiques en sont conscients ?
Comment les Français
pourraient-ils écouter les énormités débitées par la mère Taubira, les procureurs en charge du
terrorisme, les « négociations » entre la droite des républicains et la gauche
criminelle parce que attentiste, quand ils en sont à se demander si demain, en
allant au travail, ils ne vont pas être victimes d’un arabe qu’il soit modéré,
radicalisé violent ou pas ?
Pourquoi
en sont-ils rendus à ressentir cet immense sentiment de fierté parce que des
policiers ont tué un arabe belliqueux qui les menaçaient ? Que
le monde arabe soit en guerre, on n’en a rien à faire. Ça fait plus de 1400 ans
qu’ils s’entretuent au nom de cette religion de malheur. Mais que nos dirigeants laissent s’installer la guerre chez nous, n’est
pas tolérable.
Est-ce
que nous sommes, encore, respectueux de nos lois ou est-ce que nous craignons
la répression de l’État ?... Cette question est
importante parce qu’une personne respectueuse le restera toujours, c’est dans
sa nature mais, une personne qui a peur… peut toujours trouver la ressource
suffisante pour se rebiffer. Et elle
deviendra féroce.n