samedi 9 janvier 2016

Les arabes passent à l’attaque – par NOBELINE

Sans commentaire…

L
a Taubira, garde des « sots » au sommet, déclare que le marocain terroriste qui a tenté d’occire des policiers parisiens, ce matin, n’a aucun lien avec la « radicalisation violente ». Ah  bon ! Parce que, maintenant, il faut faire le tri chez les radicalisés ? Avant, on avait les musulmans, tout court. Puis on a eu les musulmans modérés. Ensuite, il a fallu distinguer les musulmans pratiquants des musulmans radicalisés. Et, pour finir, on a deux sortes de musulmans radicalisés : les violents et les radicalisés inoffensifs !n


Mais qu’est-ce qu’ils vont nous pondre, encore, en haut lieu, pour nous faire gober leurs salades islamiques ? Il y a toujours eu, en France, des musulmans qu’on appelle communément les arabes. Pourquoi arabe, parce que lorsqu’on s’appelle Mohamed ou Najat ou Fatiha, on est, d’une manière générale, d’origine arabe.

Oui, bien sûr, certains vous diront que les Syriens ne sont pas arabes et  les Turcs ou les Iraniens, pas plus. N’empêche qu’ils ont la même religion, les mêmes coutumes, à  peu de chose près et donc, l’amalgame fait par nous, occidentaux,  « musulman = arabe », n’est pas tout à fait erroné. Puisqu’un Américain n’est pas Français et un Belge n’est pas Allemand on les dit « occidentaux ».

Mais, comme tous ceux qui,  par opposition, sont « orientaux » ne sont pas, non plus, des arabes - vous en conviendrez, ce serait une insulte aux Indiens, au Japonais, aux Chinois et bien d’autres qui ne sont pas musulmans -  nous regroupons tous les musulmans dans une  même « catégorie ethnique » : les arabes.

Voilà qui est mis au point et, maintenant, nous allons parler des arabes, en général, pour ne plus chercher la petite bête quand ils sont devenus, pour certains d’entre eux, la Grosse Bête à abattre.

Donc, en France, on a toujours vécu ou travaillé avec des arabes. Il y avait ceux qui vivaient comme nous, à l’européenne ou à l’occidentale, si vous préférez et ceux qui restaient accrochés à leurs coutumes et qui ne se mélangeaient pas avec les Français. C’était leur problème et ils ne nous dérangeaient pas plus que ça. Au contraire, si on pouvait les aider dans les démarches administratives, on le faisait volontiers pour leur faciliter la tâche. On ne parlait pas du ramadan comme on ne parlait pas de la Pâque. Les gosses mangeaient tous dans les mêmes cantines sauf le porc, pour eux mais ils ne sont pas les seuls, les Juifs et les Adventistes, non plus.

Pour les fêtes de Noël, les arabes ouvriers des entreprises françaises (comme Renault, par exemple) n’étaient pas les premiers à refuser les cadeaux qui étaient offerts à leurs gamins par les comités d’entreprises. La prime de Noël, ils étaient bien contents de l’encaisser, comme les autres. Le rouge ou la blanche, ils savaient les boire en toute occasion. On a fait un bon bout de chemin ensemble, vous avouerez.

Et puis, un jour, on a constaté qu’il y en avait un sacré paquet, autour de nous. C’est vrai, aussi, qu’ils entraient (et continuent d’entrer), en France, comme dans un moulin. Qu’est-ce qui a donc changé - et à quel moment - pour que la cohabitation devienne, à ce point, tout à fait impossible ? La démographie galopante dans la communauté arabe, diront certains. Ce n’est pas faux. Le laxisme des gouvernants. C’est vrai, aussi. Mais il y a eu, surtout, les boulehias, les barbus.

Ceux-là ne ressemblaient en rien aux arabes nord-africains qui étaient les plus nombreux en France et dont les habitudes vestimentaires nous étaient familières. Soyez certains que, dès que vous les aperceviez dans un quartier arabe, vous constatiez le changement dans l’attitude des habitants, dès le lendemain. Les hommes étaient sobres. Les femmes se couvraient la tête. Les filles ne se maquillaient pas. Les jeunes ne trainaient plus dans le quartier en gueulant. Tout se passait comme si un deuil intime venait de les frapper.

D’où venaient-ils, ces « prophètes » ?... Très certainement, d’Arabie Saoudite. Pour l’heure, c’était vers la fin des années 80, seul ce pays appliquait la loi rigoriste du coran. C’était l’époque où les entreprises françaises, même les plus petites, étaient attirées par les marchés avec cette Arabie. Les promoteurs dans le bâtiment, les golfs, les infrastructures, se précipitaient, tous les contrats étaient bons à prendre.  Et il y avait beaucoup d’argent à gagner.
Mais nous savons que rien n’est gratuit en ce bas monde. Et en France, encore bien moins. Nous avons eu les marchés et les Séouds avec. Nous avons pris les contrats et la radicalisation avec. Et, plus jamais rien n’a été pareil avec les arabes vivant en France. Le silence de nos gouvernants, leur aveuglement, leur soumission face aux exigences des arabes, aidant, ils ont créé un fossé entre nos deux communautés, entre les arabes et les français. Un abîme, aujourd’hui, rien de moins.

Ce matin, encore, un énième arabe, a voulu attenter à la vie des forces de police. Hier, c’était contre l’armée, plus tôt, c’était contre des Français lambda, dans les rues. Les Corses se sont soulevés. Ils ont, depuis, plastiqué la villa en construction, d’un arabe. Le message est clair. Nous ne voulons pas, nous ne voulons plus, d’arabes chez nous.

En métropole, le sentiment est le même. Et, si nous ne plastiquons pas encore, nous entendons des gens qui les soutenaient, qui les défendaient, tenir les mêmes propos que ceux qu’ils traitaient de racistes, hier. Eux, non plus, ne veulent plus des arabes. La situation est gravissime. Même le cinéma sur la déchéance de nationalité pour les binationaux, énerve. Ce n’est pas ça qui suffira à faire tomber la tension. Nous avons largement dépassé ce stade.

Est-ce que les hommes politiques en sont conscients ?

Comment les Français pourraient-ils écouter les énormités débitées par  la mère Taubira, les procureurs en charge du terrorisme, les « négociations » entre la droite des républicains et la gauche criminelle parce que attentiste, quand ils en sont à se demander si demain, en allant au travail, ils ne vont pas être victimes d’un arabe qu’il soit modéré, radicalisé violent ou pas ?

Pourquoi en sont-ils rendus à ressentir cet immense sentiment de fierté parce que des policiers ont tué un arabe belliqueux qui les menaçaient ? Que le monde arabe soit en guerre, on n’en a rien à faire. Ça fait plus de 1400 ans qu’ils s’entretuent au nom de cette religion de malheur. Mais que nos dirigeants laissent s’installer la guerre chez nous, n’est pas tolérable.


Est-ce que nous sommes, encore, respectueux de nos lois ou est-ce que nous craignons la répression de l’État ?... Cette question est importante parce qu’une personne respectueuse le restera toujours, c’est dans sa nature mais, une personne qui a peur… peut toujours trouver la ressource suffisante pour se rebiffer. Et elle deviendra féroce.n

La décadence

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