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Il y a 40 ans, la France était belle
mais, depuis, ON a éteint notre soleil et maintenant nous avons froid. Mais
après la nuit vient le jour.
Et aujourd’hui l’aube se lève…
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« J
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e vous parle
d’un temps que les moins de 20 ans ne peuvent pas connaître… » (Charles Aznavour)
et même ceux de moins de 30 ans !... « En ce temps-là, j’avais 20 ans… » (Pierre Bachelet). LA
FRANCE ÉTAIT BELLE. Paisible, même au sortir de « Mai 68 ». Comme toutes les jeunesses « normales » du monde, nous étions
gais et insouciants, tout en jouant « les
grands ». Les principaux « clivages »
tournaient autour des « pro-Johnny »
et des « pro-Cloclo », des
« pro-Beatles » et des
« pro-Rollingstones »…
Graves problèmes existentiels, n’est-il pas !... Comme toutes les sociétés,
la nôtre connaissait bien sûr un certain nombre de conflits, sociaux notamment,
mais qui ne mettaient nullement son existence en péril. Nous pouvions faire du
vélo ou de la moto sans casque et conduire sans ceinture. « Dès lors qu’on est attaché, c’est qu’on est
déjà plus libre », disait Sacha Guitry. Et bien, oui : LIBRES,
nous l’étions.n
Libres de penser, libres de
parler sans être obligés de faire attention à nos propos au risque de finir au
Tribunal. Un « Blanc » et un « Noir » pouvaient s’engueuler LIBREMENT et au motif de leur choix
sans que, immédiatement, l’un des deux (devinez lequel…) soit taxé de racisme,
cloué au pilori et lynché médiatiquement. Bien sûr, il existait « du »
racisme, mais à la marge. Très à la marge et dans tous les sens. Comme dans
tous les Peuples et à toutes les époques, d’ailleurs. Mais cela ne constituait pas un problème de fond et j’ai, pour ma part,
de magnifiques souvenirs que je ne veux surtout pas voir effacés.
À la fin des années 60-début
70, j’appartenais à l’Équipe de France
d’Athlétisme. Nous comptions alors dans nos rangs un certain nombre
d’« Oiseaux des Îles », comme nous les nommions amicalement et
dans une acception nullement péjorative. Peut-être parce-qu’ils aimaient beaucoup
chanter en s’accompagnant à la guitare (?). Un de nos copains, Jacques Rousseau,
originaire de « là-bas » et Champion de France
de saut en longueur, avait d’ailleurs introduit un nouveau mot pour se désigner
lui-même et ses compatriotes : les « Toutouné ». Il nous
avait même appris « La Chanson de Toutouné », une
sorte de « slam » avant la date, que nous reprenions en chœur en
battant des mains et en rigolant comme des bossus. Il n’y avait aucun problème
de race supérieure ou moins supérieure. Nous avions 20 ans et la promiscuité
« Blanc-Noir » ne dérangeait personne : nous étions tous de la même Équipe de
France… et sur le stade, c’est à pleins poumons que nous chantions « la
Marseillaise » tous ensemble. Pour nous, les choses n’étaient tout
simplement que… « normales ». Point-barre.
En ce sens, que dire d’un Alain
Mimoun, célèbre coureur originaire d’AFN, dont les sentiments
« pro-Français » auraient dû tenir lieu de modèles à bon
nombre de « Gaulois »… Que dire également d’un de mes « grands
potes », le sauteur en hauteur Christian Husband,
originaire d’Afrique, fier de porter le « Maillot Bleu » et qui
a concrétisé son assimilation
à notre Nation en s’installant comme agriculteur dans la région d’Issoudun.
Aujourd’hui, c’est donc
toujours avec beaucoup d’affection que je pense à eux car ils sont mes souvenirs de jeunesse ô combien
symboliques. Des souvenirs que nous ne manquons pas d’évoquer lorsque nous
nous retrouvons lors des rassemblements d’anciens athlètes organisés par Michel
Jazy. En « Athlé », les Amitiés sont
fidèles.
De même, un peu plus tard,
dans les Paras, nous avions dans nos
rangs un Camarade métis dont le Père avait été Champion d’Afrique Occidentale
Française de Boxe entraîné par Filippi. Prénommé Jean-Marie et « Bon Sang » ne sachant mentir, lui, c’est toute sa vie qu’il a
consacrée au service de la France en rempilant dans les Troupes Aéroportées, au 1°RPIMa. En comptant
plusieurs interventions en OPEX dont
le Liban. Jean-Marie avec qui,
quarante plus tard, nous sommes toujours en contact.
Car, chez les Athlètes comme chez les Paras, les Amitiés sont fortes et durables.
Elles trempent l’âme et forgent le cœur. Ainsi va la vie.
En
ce temps-là, que les jeunes d’aujourd’hui n’ont pas eu la chance de connaître, OUI,
la France était belle ! Belle comme une Femme à la chevelure rayonnante de
soleil....
Et
puis sont arrivées les sombres années 80… avec leur cortège de
renoncements, de reniements, d’abandons, de lâchetés et de trahisons… de
saloperies en tout genre… et le ciel s’est obscurci. Le point crucial de ce « premier
septennat mitterrandien » aura été, sans conteste, la décision
prise dans le bureau présidentiel de créer « SOS-Racisme » (Voir
sur Le Gaulois : « Il faut dissoudre SOS-racisme »).
Point n’est ici besoin d’une grande explication : tout le monde a
connaissance de la nocivité de cet organisme qui, sous couvert d’anti-racisme
et bien à l’abri derrière des « lois anti-françaises », ne fait
que monter toutes les « communautés » contre les
Français de souche. Ces « sales Blancs » devenus d’un
seul coup sources de tous les maux…
Et
là, tout a basculé : de la lumière vitale, la France a brutalement sombré
dans les ténèbres morbides. (Voir sur Le Gaulois : « De la reconquête française »)
C’est à partir de ce moment
que les rapports intra-sociétaux ont commencé de se dénaturer, de se dégrader.
Un phénomène exacerbé par d’incessants flots migratoires voulus par la haute
finance et soutenus par la veulerie politicarde. Des flots migratoires totalement inassimilables. De nos jours, la
France et notre Nation en sont carrément défigurées, dépecées et vidées de leur
âme.
La France n’est pas « raciste »,
mais ON lui inflige des lois
anti-racistes…
La France n’est pas « esclavagiste »,
mais ON lui impose la repentance…
La France n’est pas « anti-juif »,
mais ON l’accuse d’antisémitisme…
La France n’est pas
« musulmane », mais ON
veut l’islamiser…
Bref, ON veut que la France cesse d’être la France. (Voir sur Le
Gaulois : « Identité Nationale – Nos Racines »)
Il va bien falloir que tout
cela cesse… Que tous ces accusateurs publics déguerpissent… Qu’on cesse de
faire tuer nos Soldats en OPEX (déjà 12 Morts au Mali au 26 novembre 2015) alors
que les ennemis islamistes entrent et sortent librement de notre territoire…
Qu’on désigne clairement « l’ennemi-islam » puisque nous
sommes en guerre, au lieu de l’occulter au motif absurde qu’« il ne
faut pas stigmatiser »… Que
la France redevienne « normale »
tout simplement. Et vite.
Les mouvements profonds de
révolte que nous voyons poindre chez nous, mais aussi dans toute l’Europe, sont
les signes avant-coureurs de la Renaissance
attendue.
Il
y a 40 ans, la France était belle mais, depuis, ON a éteint notre soleil et maintenant
nous avons froid. Mais après la nuit vient le jour.
Et aujourd'hui l’aube se lève…n
Marc
Noé
Ancien
Maire-Conseiller Général de Seine-et-Marne