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es scènes d’émeutes en marge de la célébration du titre de champion de France de football par le PSG, viennent à nouveau de rappeler à ceux qui refusent de le voir, que la guerre ethnique a débuté en France.
Cela fait plusieurs années que des militants, des écrivains, des politiques le disent, mais les dirigeants et leurs valets journalistiques jouent éternellement la politique de l’autruche et refusent d’amalgamer et de s’attaquer aux réelles causes de ces problèmes.
Quel rapport y a il en effet entre les hooligans du PSG et les scènes d’émeute vécues hier ? Aucun. Il n’y avait en effet hier soir aucune bande de jeunes blancs « casseurs d’extrême droite » comme aiment à les appeler les journalistes. Le PSG Qatar version 2013, en mode répression et dénonciation à la sauce SOS racisme, c’est aussi un PSG des cités, contrôlé par les princes arabes. On a les supporteurs que l’on mérite.¢
Des bandes de cités, composées à majorité de jeunes Africains et Arabes, ont à nouveau déferlé sur la capitale parisienne, avides de pillages, d’agressions, de destruction. Ces mêmes bandes qui avaient enflammé la France lors des émeutes de 2005. Ces mêmes bandes qui attaquaient les manifestations lycéennes contre le CPE il y a encore quelques années.
Faudra-il attendre que leur nombre s’accroisse, proportionnellement à la démographie galopante de certains départements français à majorité immigrée ?
Faudra-il attendre de nouveaux lynchages, de nouvelles agressions à l’encontre de touristes, mais aussi à l’encontre des Français de souche, systématiquement visés par ces bandes ethniques ?
Certaines photos et vidéos prises hier montrent une police dépassée, apeurée même (il suffit de voir certains visages pour le comprendre) face à ces évènements.
Une police qui semblait moins fière, moins vaillante, moins répressive aussi, que lorsque des centaines de milliers de personnes, très majoritairement de souche européenne, ont défilé dans le calme, à Paris, mais aussi dans toutes les régions de France, pour défendre la Famille.
Une police qui semblait faire moins de zèle et de politique de l’interpellation, par rapport aux nombreuses arrestations, aux multiples coups de matraque, aux éternelles procédures judiciaires dont ont fait l’objet les opposants au mariage pour tous et de façon plus générale, à la dictature socialiste en place actuellement. (Richard Roudier, président du Réseau-Identités, est d’ailleurs convoqué jeudi au commissariat de Montpellier afin d’être entendu au sujet du lancer de fumier sur la permanence socialiste.)
Car il s’agit bien là d’une dictature socialiste qui se met en place depuis plus d’un an, bien aidée en cela par une droite peureuse qui, sitôt au pouvoir, s’empresse de céder aux pressions bienpensantes, humanistes et libérales, ne remettant jamais en question le travail de destruction culturel, social, économique, ethnique prôné par les socialistes depuis 60 ans.
Car cette dictature socialiste, répressive à l’égard des défenseurs de la famille mais aussi de ses traditionnels opposants, semble bien tolérante à l »égard de toute « la misère du monde » qui déferle des banlieues françaises avec une soif de revanche, une soif de vol et de pillages, soif nourrie au quotidien par les sociologues, chercheurs au CNRS, journalistes, people et politiques qui deviennent au fil des années de véritables « chercheurs d’excuses professionnels ».
E Une majorité de jeunes noirs et arabes saccagent un bus de touristes devant la tour Eiffel et pillent des boutiques ?... « Construisons-leur une huitième MJC dans leur quartier, les sept autres ayant là aussi brûlé »… « Offrons-leur des vacances dans les rares régions de France préservées de ces bandes ethniques, histoire qu’ils leur apprennent le vivre-ensemble façon 9-3 ».
E Ces jeunes se comportent de façon barbare et incontrôlable, agressant passants et policiers ?... « C’est le racisme de la société française blanche mais aussi la traite des noirs ou encore la mémoire des exactions de Charles Martel qui les pousse à vouloir se venger, ils ont donc raison. »
Oui, il s’agit bien d’une dictature qui s’instaure petit à petit, dans un climat proche d’une guerre civile et ethnique. Une dictature qui joue le LumpenProlétariat (les racailles, les bandes ethniques) contre son propre Peuple.
Une dictature qui cherche à restreindre le dernier espace de liberté d’expression qu’est aujourd’hui Internet.
Une dictature qui asphyxie le contribuable français, sous des charges, des taxes toujours plus élevées, et une répression routière féroce, alors qu’elle est dans le même temps si permissive avec « ceux qui sont majoritaires dans les prisons mais qu’on ne peut pas nommer ».
Une dictature qui accepte sans broncher que des pans entiers du pays soient rachetés par des pays (et notamment le Qatar) qui ont une soif de conquête et de revanche sur les Européens, dont nous voyons aujourd’hui à peine les prémices.
Une dictature qui préfère envoyer la police gazer des enfants et des manifestants dont elle connaît le peu d’agressivité et le peu de sentiment belliqueux, plutôt que de l’envoyer mettre fin définitivement aux exactions des bandes ethniques dans les cités et désormais en plein coeur de la capitale.
Le Peuple de France doit désormais savoir que, dans les années troubles qui viennent, qu’elles soient troubles socialement, économiquement ou ethniquement, il ne pourra plus compter sur ses gouvernants, ses politiciens et tout ce petit monde médiatico-politique « où tout le monde se connaît ».
Les Français ne doivent de toute façon plus compter sur des gens qui ne partagent ni leurs intérêts, ni leurs préoccupations.
À nous militants politiques, associatifs, syndicaux, de savoir construire et activer les réseaux nécessaires à la mise en place d’une société qui sache s’opposer avec force et revendication à tous ceux qui souhaitent la destruction de nos Peuples.
« Quand les peuples cessent d’estimer, ils cessent d’obéir ».
Yann Vallerie pour Résistance Républicaine
(posté par Joëlle)