C’est
le comble de l’aberration. L’Union européenne finance la restauration de mosquées
sous administration turque dans une partie d’un pays membre – la République de
Chypre – dont une partie du territoire est illégalement occupée par les Turcs.
Ces eurocrates sont des fous furieux.
C’est
le député européen du Vlaams Belang, Philip Claeys, qui a
découvert le pot-aux-roses : à savoir que l’Union européenne va donner de
l’argent pour restaurer des mosquées turques située dans le Nord de Chypre, occupé par la
Turquie.
RAPPEL
DES FAITS
En 1974, l’armée turque a envahi Chypre
et occupé le Nord de l’île. Les Grecs en ont été chassés, des milliers ont été
assassinés. Des centaines d’églises grecques orthodoxes et de monastères ont
été détruits par les Turcs, pillés, brûlés et depuis lors négligés. Depuis
2004, Chypre est membre de l’Union
européenne mais la Turquie poursuit l’occupation de la partie située au
Nord. Les Turcs refusent d’entretenir les restes des églises orthodoxes situées
dans leur zone.
Après
une longue opposition des Turcs, la Commission européenne a maintenant décidé
d’établir une liste de 11 monuments prioritaires au sein des deux communautés
qui doivent recevoir de l’argent. Les Turcs ont placé, en tant que provocation,
quatre mosquées sur la liste. Pas de problème pour l’Union européenne :
elle s’engage à verser 4 millions
d’euros et encore plus d’argent suivra.
Philip Claeys déclare
: « L’Union européenne va donc payer aux occupants au profit de bâtiments qui
sont le symbole de l’occupation. Pas étonnant que l’Union européenne ne soit
prise au sérieux nulle part dans le monde. »