INTERNATIONAL
N
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otre
pays est endetté jusqu'au cou avec une facture qui s’alourdit chaque jour un
peu plus. Nous n'avons pas les moyens de maintenir en état et moderniser notre
armée par manque de budget. Nous n'entretenons plus nos routes sur le réseau
secondaire, ni notre réseau ferroviaire vieillissant. Nous ne construisons pas
de maisons de retraite, de crèches faute de moyens. Nous n'investissons pas
massivement dans la recherche quel que soit le secteur.■
RÉGRESSION
B
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ref, nous végétons, voire nous régressons, et le gouvernement ne trouve
rien d'autre à nous dire que nous ne disposons pas des moyens financiers
nécessaires pour faire face à toutes ces dépenses, certes, lourdes, mais
indispensables pour une nation qui veut faire partie des états situés dans le
peloton de tête international.
Mais malgré cette
regrettable « impossibilité »
budgétaire, notre président n'hésite pas à se rendre en Afrique où il va
promettre de débloquer des dizaines milliards au titre de l'aide au
développement en direction de ce continent que ce soit le Maghreb ou l'Afrique
noire. Et pour accomplir ce geste aussi noble et généreux que coûteux pour
notre trésorerie, il ne semble pas qu'il y ait de problème insurmontable de
financement.
Pas
plus lorsqu'il s'agit de débloquer un budget estimé à plusieurs centaines de
millions pour l'accueil de migrants arrivés illégalement sur notre territoire,
toujours plus nombreux, et dont nous n'avons strictement pas besoin puisqu'il
s'agit d'une immigration économique non souhaitée et non pas de réfugiés de
guerre à qui il faudrait, par humanisme suicidaire, apporter aide et
assistance.
LA QUESTION QUI VIENT IMMÉDIATEMENT À L'ESPRIT EST
SIMPLE
A
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urons-nous un jour à la tête
du pays celle ou celui qui aime profondément la France et qui n'a comme
première et unique ambition que de la protéger et la servir au mieux de ses
intérêts. Et si l'Afrique estime que ce serait faire preuve d'égoïsme à son
égard, eh bien que les Africains se prennent en main et assument eux-mêmes leur
développement économique. Car sauf
erreur ou omission, ils ont milité et se sont battus pour être affranchis de la
tutelle colonialiste qu'ils ont chassée de leurs terres, parfois avec haine et
violence.
Nous dépensons à fonds perdus depuis des décennies en
puisant dans le tonneau des Danaïdes pour soutenir des pays où règne l'anarchie
et la corruption qui détourne les aides allouées alors que nous avons tant de
besoins à satisfaire chez nous.
►La gabegie a assez duré et il plus que
temps de se recentrer sur l'essentiel, c'est à dire... NOUS.■