Qui sont les médecins de la mort
travaillant pour l’État islamique ?
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es chrétiens captifs, jeunes ou vieux, subissent des
prélèvements d’organes et des expériences médicales dans les territoires
contrôlés par DAECH. Les médias occidentaux ont dissimulé l’information.
Pourquoi ?... Alors que les autorités Syriennes et les autorités
Irakiennes disposent de preuves incontestables, de documents écrits, de photos
: les prélèvements d’organes sur des captifs vivants sont réalisés,
presque chaque jour, dans les hôpitaux de DAECH et de l’État Islamique.n
La
plupart des médias européens sont au courant, mais dissimulent l’information
depuis près d’un an. Une information corroborée par des soldats
américains, qui ont découvert une fatwa donnant une justification
religieuse à cette pratique.
Ainsi, l’État islamique (EI)
a autorisé le prélèvement d’organes dans une fatwa datée du 31 janvier 2015.
C’est ce qu’ont découvert les forces spéciales américaines dans des documents
récupérés lors d’un raid mené en Syrie, selon l’édition du New York
Times citant l’agence de presse Reuters.
Ce document indique qu’il
est admis de prélever des organes sur un détenu non musulman ou un
apostat dans le but de sauver la vie d’un Musulman, même si cette
opération est fatale pour le captif qui la subit.
« La vie et les organes de l’apostat n’ont pas
à être respectés et peuvent être impunément retirés », peut-on
lire dans cette fatwa n°68 émanant de la « commission des recherches et des
fatwas de l’État islamique ».
Terrorisme en Europe,
multiples attentats à Paris, viols massifs de femmes en Allemagne ou en
Suède, crucifixion de chrétiens en Syrie et en Irak, prélèvements d’organes sur
des captifs vivants et des civils musulmans, comme aux pires heures de la Shoa,
chaque jour nous livre son lot d’horreurs sur les méthodes barbares des
musulmans extrémistes inféodés à l’état Islamique et à Al Nostra, mouvement aidé par la France il y a trois ans.n