À
|
la veille d’élections
locales, régionales ou nationales en Europe, examinons avec le recul ce qui est
advenu, l’an passé, lors des européennes. Alors que dans la plupart des pays
d’Europe les partis nationalistes ont pu progresser le 25 mai dernier, l’exception
notable du Vlaams Belang en Belgique restera un « cas d’école » !n
Pour perdre, d’une élection à
l’autre, la moitié de ses électeurs et 75% de ses parlementaires (européens,
fédéraux et régionaux), il faut le faire ! Et ce ne sont pas les diverses mises
en garde qui ont manqué depuis 2005…Quand on change de logiciel, que l’on
adopte les « règles du jeu » du Pouvoir et que l’on cherche la « respectabilité
» à tout prix, il ne faut pas alors s’étonner que les électeurs rejoignent les
partis du système, à tort ou à raison, mieux placés pour répondre à leurs
attentes.
Cette débâcle ne surprend et
n’étonne pas tous ceux qui ont suivi de près l’évolution du Vlaams Belang. Elle
nous exaspère, elle nous met en rage, elle nous révolte ! Mais on ne peut pas
forcer les responsables à admettre les bien-fondés qui vont les conduire à leur
perte. Cette décision leur appartient et
ils en sont les seuls coupables. La «
normalisation » a un prix ….et pour être « aseptisé » par la classe
politico-médiatique, il faut passer sous leurs fourches caudines !
Où
sont-ils donc passés, ces parlementaires et élus locaux qui ont hanté les rangs
du V.B ces 20 dernières années ?
Tous ne sont pas décédés. Tous n’ont pas été exclus. Certains ont accompli leurs tâches avec
dévouement et rempli leur fonction avec compétence et efficacité. Mais une grande partie d’entre eux a déserté
notre famille politique jugée par eux trop « radicale », « raciste », ou «
nationaliste », lorsque notre parti a subi le tir croisé des lobbies mondialistes
et des laquais du « politiquement correct », aux ordres du Pouvoir.
En réalité, ce qui les
intéressait en premier lieu, c’était l’assiette au beurre et les privilèges
attachés à leur mandat. Dès qu’un vent
contraire s’est mis à souffler, ils ont renié leurs engagements pour rejoindre
les partis du système, ou bien terminer leur mandat comme « indépendant » à
l’exemple du félon (ex-commissaire, ancienne figure de proue du V.B à
Bruxelles) qui a trahi la confiance que les électeurs lui avaient accordée depuis
1999. Répugnant !
Où
sont-ils donc passés, ces arrivistes BC-BG, ces prometteurs de beaux jours, ces
tartuffes qui devaient « se sentir aimé » ?
Où sont-ils donc passés, tous
ces donneurs de leçons, ceux qui nous traitaient « d’extrémistes », de « sulfureux
», de « xénophobes » ou de « fascistes » ?
Renvoyés dans les poubelles de l’Histoire, d’où ils n’auraient jamais dû
émerger, sanctionnés par les électeurs qui, eux, sont au contact des réalités
quotidiennes : chômage, drogues, immigration, insécurité, impôts, cinq maux qui
empirent année après année depuis plus de 30 ans ! Et ce n’est pas avec un
langage « soft », ni avec des ballons ou des crayons que l’on va résoudre ces
problèmes. Va falloir serrer la vis.
Jean-Marie
LE PEN avait déclaré le 1er mai 2008 à Paris : « L’Europe est l’unique grand dessein de la
classe politique, l’alibi de son impuissance, le masque de sa lâcheté. Nous vivons sous une insupportable chape de
plomb, qui prétend consacrer comme vérités officielles, les points de vue de
l’antiracisme militant.
La
religion antiraciste transforme certaines opinions en véritables blasphèmes et,
ce qu’il faut bien appeler l’idéologie officielle, impitoyable et totalitaire,
asservit le peuple français et consacre un véritable recul de civilisation.
La
France n’est plus un pays libre, ni d’ailleurs un pays d’hommes libres. Tout le
monde se couche, tout le monde s’écrase, tout le monde se tait, pour ne pas
offenser les puissants, pour ne pas encourir leurs foudres du Pouvoir aux
ordres des lobbies cosmopolites destructeurs de l’identité Française et
dénigreurs du glorieux passé de la France.
Nous
ne pouvons plus compter que sur le réveil de notre Peuple, pour sauver notre
Patrie en danger mortel d’anéantissement. »
Il eut été judicieux que le Bureau
Politique du V.B adopte la même ligne de pensée et axe sa propagande sur la
défense de notre civilisation européenne, pour combattre les charlatans de
l’impérialisme américano-sioniste, responsables de l’immigration-colonisation
et du melting-pot généralisé. On a perdu
du temps, mais il n’est pas trop tard !
Quand on apprend qu’un député
fédéral du V.B informait l’ambassade des États-Unis sur les décisions du B.P
entre 2006 et 2009, il y a lieu quand même de se poser des questions !
Ce n’est pas la « dédiabolisation » qui a permis le succès : c’est la radicalisation des électeurs !
Que ce soit de Syracuse à
Stockholm ou de Brest à Budapest, il faut noter une franche exaspération des
peuples européens face à l’immigration/colonisation qui envahit tous les
pays et
l’insécurité permanente qui s’est installée dans les villes. Si l’on ajoute, à ces deux aspects qui
gangrènent notre société, les conséquences de la crise financière et
économique, on comprend mieux les réactions des électeurs envers les partis «
traditionnels ».
Définis comme « extrême-droite
» en France, « populiste » aux Pays-Bas, « eurosceptique » en Italie ou «
europhobe » en Angleterre, beaucoup de partis seraient maintenant opposés aux
délires mondialistes des gouvernements européens regroupés autour des
eurocrates de Bruxelles. Et restons
lucides : tant que les programmes, les stratégies, les tactiques, les
déclarations et l’opposition aux visées du pouvoir correspondent à 51% de nos
propres convictions, nous soutiendrons les partis nationalistes, patriotes ou
identitaires. Nous nous délecterons bien évidemment de la claque électorale qui
sera infligée les 22 et 29 mars à la mafia UMPS, arrogante, corrompue et
malfaisante.
Mais franchement, si les cadres
de ces partis, élus au Parlement Européen en mai 2014 (ou ceux qui le sont
devenus en d’autres assemblées lors d’élections plus récentes ou le deviendront
aussi en 2015), sont d’accord entre eux pour :
F Accepter
la repentance permanente ;
F Conserver
les lois liberticides ;
F Acquiescer
pour l’avortement généralisé, le mariage des homosexuels et l’adoption
d’enfants par des sodomites ;
F Garder
en Europe des millions d’inassimilables qui occupent nos pays.
F Refuser
de défendre les valeurs ancestrales de l’Europe blanche et chrétienne.
Si c’est pour se soumettre aux
ukases des officines Droits-de-l’hommiste ou du lobby pro-israélien, conduire
une politique prétendue exclusivement laïque mais complaisante à l’égard de
l’Islam, tolérer un taux extravagant de
pression fiscale et ne pas réduire drastiquement le chômage, l’insécurité, la
vente de drogues et l’afflux permanent de clandestins ; alors, en toute
conscience et avec détermination, nous, électeurs nationalistes, identitaires,
patriotes et « populistes », nous réfléchirons deux fois avant d’accorder nos votes en 2015, 2017 ou 2019 à
ceux qui auront accepté la normalisation, la standardisation et leur
intégration dans le « Régime », car contrairement à eux, nous avons Foi en la
rectitude de nos choix !
Un exemple, parmi tant d’autres
: par une résolution du 11 décembre 2013, le Parlement Européen adopte la loi
américaine FACTA, dont le rapporteur en était Georges Sabin Cutas. Cette résolution fut votée par 33 oui, 0 non
et 11 abstentions. Où étaient les
députés du FN, du VB, du FPO, de l’UKIP, de la Lega Norte ou du Jobbik, qui
d’habitude vouent les banksters et le mondialisme aux gémonies ?n
*Autrement dit : « Plus on
s’élève, plus dure sera la chute. »