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uccesseur de Hara-Kiri
(bête et méchant), Charlie Hebdo se spécialisait lui aussi dans les caricatures
cyniques, satiriques, grinçantes, insultantes et Ô combien scatologiques et
pornographiques. Les cibles préférées de ses dessinateurs se concentraient sur
la société « bourgeoise », sur l’armée, l’église catholique et la police ; mais
rarement sur les francs-maçons ou les gauchistes.¢
Vomissant
les patriotes, les nationalistes et les identitaires à longueur de semaine, la
rédaction ne cessait de déverser sa haine à l’encontre du Front National.
Désignant les coupables à ses lecteurs, l’hebdo
de la « gôche bobo/caviar » a toujours bénéficié de la
complaisance des différents gouvernements socialo-écolo-marxistes et pouvait se
permettre les pires outrances, qui auraient conduit d’autres dessinateurs sur
les bancs des tribunaux.
Quand
on entend aujourd’hui la totalité des « pourriticards » de la
démocratie totalitaire hurler contre le terrorisme et appeler à la défense de
la liberté d’expression, de presse, de conviction et de réunion, on en pisse de
rire ! Parce que juste avant le massacre du 7 janvier à Paris, un polémiste
talentueux –Éric Zemmour- était la cible de la classe politico-médiatique, interdit
de parole à Bruxelles, et poursuivi par les hyènes du « prêt à penser ». Il y a
un an, un humoriste cynique et satirique –Dieudonné- s’est vu interdire le
droit d’exprimer ses opinions lors d’un spectacle à Nantes, par le Conseil d’État.
Et les exemples sont
nombreux. Alors, 2 poids, 2 mesures ? Il est interdit d’interdire ?
Messieurs
qu’on nomme grands, va falloir se décider et désigner qui sont réellement les
ennemis de notre civilisation et de la culture gréco-romaine.
Vos
erreurs multiples, votre idéologie sectaire, votre utopie de la « société
multiculturelle et pluriethnique », votre « vivre ensemble », et cette frénésie
de rites « citoyens » ou « républicains », toutes ces chimères décrites,
illustrées et promues par Charlie Hebdo, nous n’en voulons pas !
Cette
clique de marionnettes du Nouvel Ordre Mondial, qui a détruit les valeurs
fondamentales de notre civilisation, nous a déjà trop fait chier ! Attention au
retour du boomerang. Et chez Charlie Hebdo, « le dernier qui restera se tapera
toutes les veuves » (in Hara-Kiri oct.1983).
Khaled, Mohamed, Medhi,
Saïd, Chérif, tous ces prénoms qui sentent bon le terroir breton.
Dans
« l’Express » du 4 mai 2006, Christiane
Taubira déclarait : « Il ne faut pas
trop évoquer la traite négrière par les arabo-musulmans pour que les jeunes
arabes (les d’jeuns des ZSP) ne portent pas sur leur dos tout le poids de
l’héritage des méfaits des Arabes ». Mais pour les colons blancs, on peut y
aller, comme le faisait Charlie Hebdo, qui ne se gênait pas pour salir le drapeau
français.
En
niant l’évidence, en refusant le constat établi par les professionnels de la
criminalité et du terrorisme, en fuyant la réalité du terrain et en faisant
preuve de laxisme, d’angélisme et de lâcheté, les gouvernements successifs
depuis 1974 ont rejeté et occulté ce diagnostic implacable aujourd’hui : la
cause de l’insécurité nationale se localise dans une centaine de quartiers «
sensibles », occupés par des immigrés et des racailles. Car pendant 30 ans le
régime (de droite comme de gauche) nous a imposé le dogme du « TOUCHE PAS À MON POTE » et l’idiote « politique de l’excuse », l’ensemble
noyé sous une avalanche de milliards de francs et d’euros, au titre de la « politique de la ville » destinée à
acheter la paix des banlieues.
Sans
une ferme volonté d’éradiquer le fléau de la criminalité et du terrorisme, qui
ne concerne que quelques milliers de crapules multirécidivistes, il est
probable que d’autres massacres puissent avoir lieu. Mais il ne faut pas,
surtout pas, absolument pas « faire d’amalgame », ni stigmatiser la communauté
maghrébine ou musulmane au nom de la « société citoyenne »…
À
ce titre, c’est bien Ayaan Hirsi Ali
qui dès ce 8 janvier déclarait :
« L’argument que l’on entend en permanence,
selon lequel il ne faut pas faire d’amalgame, que ces terroristes ne sont pas
musulmans etc... est caduque. Cet argument n’a plus aucune valeur. Il y a un
lien très évident et très clair entre ce qui se passe à Paris, au Pakistan, au
Nigéria, en Syrie et ailleurs. On ne peut plus dissocier toute cette violence
de l’Islam, du Prophète Mahomet ou du Coran. »
Vive
le hasard.
En
fin de journée le vendredi 9 janvier, le directeur de la Police Nationale se
rengorgeait d’avoir pu retrouver si vite la trace des frères Kouachi et vantait
le professionnalisme et l’efficacité de ses services qui avaient, en moins de
24h, identifié les assassins. Grâce à qui ? À une carte d’identité « oubliée »
dans le premier véhicule qui avait conduit les deux frères au siège de Charlie
Hebdo.
Un
hasard du destin MI-RA-CU-LEUX ! Le même hasard inespéré qui, le 10/9/2001
avait permis au FBI de New York de mettre la main (dans les décombres fumants)
sur le passeport intact de l’un des pilotes qui avait percuté le WTC II,
quelques heures auparavant, et permis l’identification du réseau d’Al Quaïda.
La
chance parfois explique bien des choses incroyables. Mais ne gâchons pas le
plaisir de tous ces abrutis qui se prénomment « Charlie » et ignorent que
quelques centaines de racailles rêvent dans leur banlieue d’imiter le duo
Kouachi et le fanatique Coulibaly, qui lui, n’est pas entré dans le magasin
casher porte de Vincennes par hasard.
Le dimanche 11 janvier
2015 restera comme la Journée Mondiale des Cocus Amnésiques.
Le
ministre des Affaires Étrangères, Laurent Fabius, a eu l’audace de déclarer à
Europe 1 que « la Liberté, était née en
France » ; NON ! Elle est née
il y a 3000 ans à Sparte, qui a montré bien plus de courage et de
détermination face aux épreuves. De son côté Manuel Valls a prétendu ce 9
janvier que « la France, sans les juifs,
ne serait plus la France ! ». Quelle méconnaissance de l’Histoire ! Qu’il
parle de la rue du Sentier, on comprendrait.
Et
lorsque l’on voit tous ces zozos qui défilent en scandant des slogans
imbéciles, on se dit que le sursaut et le réveil de la Nation afin de sortir du
gouffre, n’est pas pour demain. Pitres amnésiques et égoïstes, vous oubliez les atrocités commises en France par
les islamistes entre juillet et octobre 1995 (8 attentats) dont l’explosion
criminelle du RER B à la station Saint-Michel le 25/7/1995.
Et
pas de commémoration, ni de souvenir pour les 2 attentats du 12 octobre 2002 à
Bali, bilan : 202 morts et des centaines de blessés. Pas de marche « citoyenne
» ou « solidaire » en France, concernant l’attentat à Madrid en 2004 qui tua
191 personnes innocentes. A-t-on vu une larme (une seule), ou quelques pleurs,
pour les attentats de Londres en juillet 2007 où 52 victimes se sont rajoutées
à la triste liste du « vivre ensemble » ? Le 10 janvier 2015 au Nigéria, une
fillette se fait exploser au marché de Maiduguri : 20 morts. On se recueille ?
Alors
quand la classe politico-médiatique nomme Paris « capitale mondiale de la
défense de la liberté d’expression et des valeurs républicaines », je suis pris
de nausées !
Parce que leurs
libertés ne sont disponibles et ne concernent que ceux qui suivent leurs dogmes
et marchent entre les clous du politiquement correct et de la Pensée Unique.
TOUS
les autres par exemples, comme les Faurisson, Rassinier, Meyssian, Reynouard, Olivier
Mathieu ou Dieudonné, sont agressés par les milices juives ou sont poursuivis
par la police de la pensée et envoyés, pour certains, dans les geôles, car
ceux-là au moins ont le courage de leurs opinions.
N’est-il
pas scandaleux de voir Dieudonné poursuivit aujourd’hui par le parquet pour «
apologie du terrorisme » à cause d’une blague outrancière ? Mais le plus grave
est encore l’interdiction qui a été prononcée par le gouvernement à l’encontre
de la compagne du dessinateur Charb d’assister à son enterrement, parce qu’elle
aurait tenu des propos « incorrects » devant les caméras de télé !
Ô tempora ! Ô mores !
Notre
devoir de mémoire nous rappelle que suite à l’émission télé en décembre 1982 de
Michel Polac qui avait invité le professeur Choron directeur de Charlie Hebdo,
déjà en grosses difficultés financières, une polémique nationale avait conduit
toute la presse à démolir l’hebdomadaire. Le 11 décembre 1982, le numéro 581
(Hara-Kiri n°24) titrait en première page, avec le dessin d’un énorme étron surpiqué
des titres de différents quotidiens hexagonaux: « Les croque-morts indignés. Toute la presse a chié sur le cercueil de
Charlie Hebdo » Libération titrait
même : « Crève Charlie ! » On ne peut
être plus clair.
Alors avec ce qu’on
peut lire et entendre aujourd’hui, ils doivent se tordre de rire, les
macchabées du 7 janvier…
De
même, en août 2008, Siné a été limogé par Philippe Val, directeurs de Charlie
Hebdo car le dessinateur avait refusé d’exprimer ses excuses, suite à son
dessin caricatural concernant le mariage de Jean Sarközy avec l’héritière des
magasins Darty et la légende : « Va-t-il
se convertir ? », ce fut un tollé. Mais sans doute son éviction d’alors lui
a-t-elle sauvée la vie…
Tout
ce fatras de débilités journalistiques, de logorrhées des diafoirus de tout
acabit et des politiciens en mal de notoriété, n’obéit qu’à une seule visée :
abrutir les masses populaires par une vague de compassion généralisée pour
mieux pouvoir les encadrer dans la démocratie totalitaire du Nouvel Ordre
Mondial.
Big Brother a réussi
au-delà de toute espérance : ils sont tous devenus des « Zombies-Charlie »…
«J’irai cracher sur vos
tombes…» : titre d’un livre de Boris VIAN.