L
|
e verdict est tombé peu après 20 heures, en ce dimanche 25 mai 2014.
La «classe politique française», unanime, a déclaré coupables, les 25 pour cent des Français qui ont perpétré ce crime odieux : ils ont choisi le Parti de Marine Le Pen pour les représenter au Parlement européen.
Oh ! Ils ont tous de très bonnes réponses. Comme ils se réclament innocents, ils donnent des excuses plus ou moins vaseuses se rejetant, l’un l’autre, la responsabilité : « Ils sont en colère. Ils sont désespérés. Ils n’ont pas été écoutés. C’est la politique menée par les gouvernements de gauche ou par les gouvernements de droite qui les a poussés au crime. Etc… »
Tous ces avocats du diable qui essaient, depuis dimanche 20 heures, d’expliquer cet acte horrible ne regardent que la paille dans l’œil du voisin sans voir la poutre qui les aveugle depuis cinquante ans.
Et, comme ça fait cinquante ans qu’ils raisonnent de la même façon, ils n’ont pas pris la peine de voir la « société » française - le Peuple - évoluer vers un autre horizon.
Mais oui, messieurs-dames de gauche et de droite, les Français ne sont plus les veaux que votre général méprisait. Ils ne sont pas plus les syndiqués -par-force- que vous avez manipulés comme des pantins. Les promesses, ils ont appris, à leurs dépens, qu’il fallait les tenir. Faute de quoi, vous n’êtes plus crédibles.
Voilà deux partis politiques français, quasiment immuables depuis la création de la République Française, tout à coup mis à mal par une troisième force toujours plus grandissante au fil des années. Mais qui donc est responsable – voire coupable – de ce renversement ?
Eux-mêmes.
Ils ont tant joué avec les mensonges, les affaires, leur incompétence, leur inertie, leurs magouilles, que le peuple a décidé d’en changer.
2014 restera l’année du VRAI changement en France.
Sans eux.
Il est vrai que, d’aussi loin que nous remontions - nous prendrons la seconde guerre mondiale que tous connaissent, pour exemple, en tenant compte de la plus ancienne génération encore en vie et les adolescents d’aujourd’hui – donc, d’aussi loin que nous remontions, tous les chefs des partis politiques français ayant accédé au pouvoir suprême, ont fait vivre des drames aux français. Drames dont ils sont responsables mais pour lesquels, jamais, ils n’ont été jugés.
De Gaulle : à ce faux général 5 étoiles qui n’était qu’un général de brigade (Voir la note du Gaulois en fin d’article) - donc, 2 étoiles, nous imputons les assassinats de Jean Moulin et de l’amiral Darlan. Deux témoins, s’il en était, qu’il fallait éliminer. Et par-dessus tout, ce crime contre l’humanité dont il est l’instigateur, en Algérie encore française qui a coûté la vie à des milliers de compatriotes civils de toutes confessions pour parvenir à ses fins de bombe atomique.
Pompidou : tout d’abord, sa complicité avec de gaulle dans ce qui est communément appelé « l’affaire algérienne », son immersion dans le sale milieu du showbiz et surtout dans l’affaire Markovic, retrouvé assassiné dans une décharge publique.
Giscard d’Estaing : nous avons connu l’affaire des diamants avec son complice centrafricain Bokassa qui a fait grand bruit et nous pouvons, aussi, lui imputer le crime qui, aujourd’hui, prend toute son ampleur dans la perte de l’identité française, avec son fatal regroupement familial.
Mitterrand : ses frasques amoureuses, sa francisque, ses implications dans l’affaire des frégates de Taïwan et celle de Elf au pétrole aussi noir que son honnêteté.
Chirac : son incompétence avant tout, ses affaires sales de fric à la mairie de Paris entre autres, pour finir avec l’affaire Boulin dans laquelle il est prouvé qu’il est le commanditaire de son assassinat.
Sarkozy : Ha ! Sarkozy. Lui, a plongé et nage toujours dans des affaires de fric sordides mêlant son parti, sa personne et les pigeons d’un sarkothon qui auront du mal à s’en remettre. Et puis, son reniement des 55% de Français qui ont voté « non » à une constitution pour l’Europe en 2005, qu’il a rejetés d’un revers de main comme quantité négligeable.
Et pour finir le tout, cette dhimmitude envers le Qatar, à qui il a remis les clés de la France et dont nous aurons du mal à nous défaire si tant est qu’un jour nous le puissions.
Autant de crimes imputables aux uns et aux autres de ces « chefs » d’État issus de cette classe politique française et qui ont fait d’elle, un torrent d’immondices, un égout, dans lequel les vrais Français patriotes se noyaient jusqu’en ce dimanche 25 mai 2014.
Aujourd’hui, ils se réveillent, les Français. Et ça ne convient pas du tout à ces deux organisations du crime, la droite et la gauche qui, jusqu’à présent, comme une mafia qu’elles sont, ont pu gérer tout à loisir les finances de la France. Car il s’agit bien de cela : la finance. Pouvoir gérer (pardon, gérer est un mot qu’ils ne connaissent pas !) pouvoir disposer à l’envi, de cette manne financière que représentent les finances de la France : acheter, vendre comme il leur plait ; éliminer ceux qui peuvent contrarier leurs projets ; dilapider le patrimoine des Français ; leur voler jusqu’à leur identité, oui, c’est tout cela qui les motive, ces politiques-là.
Ils en ont tellement gros sur la patate d’avoir été floués par ces 25% des 40% de votants qu’ils en oublient de mentionner les 57% d’abstentionnistes ! Ils ont raison. Parce que, s’ils ne l‘avaient pas compris, rappelons-leur que ces 57% de Français n’ont pas voulu d’eux. C’est la seule raison qui les a retenus d’aller s’exprimer par le vote. Ils l’ont exprimé par leur abstention.
Alors, comme le vote de dimanche leur est – enfin – défavorable, qu’ils ne peuvent plus se dire sous le manteau, « bon, au second tour, c’est toi qui prend cette fois mais n’oublie pas de me renvoyer l’ascenseur »… alors, ces gens de rien, sonnent l’hallali.
Et on n’a pas fini ! Leur défaite les fera redoubler d’efforts pour, condamner, détruire, ceux qui ont eu l’audace de se mettre en travers de leurs desseins. Tous les coups seront permis. Iront ils jusqu’au crime ? Oui, la délation en étant un, reconnu dans le droit français. Et ils sont passés maîtres en la matière.
Le divorce entre la mafia politique traditionnelle et les Français est consommé. Il leur faudra l’assumer.¢
NDLR. Le Gaulois – En fait, à la déclaration de guerre, le Colonel De Gaulle était affecté à l’État-Major lorsque, le commandement d’une brigade étant devenu vacant, il en fut nommé « commandant à titre temporaire » seulement, en attendant qu’un vrai Général « deux étoiles » en prenne la direction réelle. De Gaulle n’a donc jamais été nommé « Général plein »… et, comme par hasard, son dossier militaire a mystérieusement disparu des archives du Ministère de la Guerre à la Libération. Mais l’intéressé s’est toujours bien gardé de faire état de ce… point de détail ! Peut-être faut-il voir ici une des raisons de la haine de ce personnage envers tous les Officiers qui lui étaient supérieurs : Leclerc, Juin, de Lattre, Salan, Jouhaud…
NDLR. Le Gaulois – En fait, à la déclaration de guerre, le Colonel De Gaulle était affecté à l’État-Major lorsque, le commandement d’une brigade étant devenu vacant, il en fut nommé « commandant à titre temporaire » seulement, en attendant qu’un vrai Général « deux étoiles » en prenne la direction réelle. De Gaulle n’a donc jamais été nommé « Général plein »… et, comme par hasard, son dossier militaire a mystérieusement disparu des archives du Ministère de la Guerre à la Libération. Mais l’intéressé s’est toujours bien gardé de faire état de ce… point de détail ! Peut-être faut-il voir ici une des raisons de la haine de ce personnage envers tous les Officiers qui lui étaient supérieurs : Leclerc, Juin, de Lattre, Salan, Jouhaud…