Communiqué de l'Association
Catholique des Infirmières et Médecins (ACIMPS)
Tout le monde sait que
le PACS avait pour but initial de donner aux homosexuels un statut officiel et
un certain nombre d'avantages qui y étaient liés.
Qu'en
ont-ils fait ? Selon le Quotidien du Médecin du 28 janvier 2013,
entre 1999 et 2011 le nombre des pacsés homos est tombé de 42 % à 4,7 %
seulement.
Pourquoi ?
Tout simplement parce que les gays ne sont pas intéressés par ce genre de
statut en raison de la labilité de leurs « couples ». Leurs unions
éphémères durent en moyenne entre 12 à 17 mois. Rappelons que Gaëtan Dugas,
premier malade connu du sida, décédé de cette maladie, l'a répandue autour de
lui : il s'est vanté d'avoir eu 250 partenaires par an.
En Espagne selon
l'Institut National des Statistiques, le pourcentage des mariages entre personnes
de même sexe oscille de 1,06 à 2,38 % entre 2005 à 2011 ; soit de
0,013 à 0,127 % de la totalité des mariages en 2008 selon les régions
(réf. Matrimonio entre personas del mismo sexo en España. Wikipedia).
Moins que pour le PACS français.
Il
paraît illusoire de penser que les homosexuels vont se ruer vers le mariage qui
restera pour eux une infime marginalité. Alors pourquoi la loi TAUBIRA ?
Cette dernière a répondu elle-même : il s'agit d'un « changement de
civilisation » ayant pour but de détruire nos racines, notre identité
sociétale, culturelle, morale, historique et religieuse. Le tout relayé par l'inévitable
Attali ; en réalité une révolution détruisant toutes les bases de la
société ; mais aussi un immense saut dans l'inconnu.
Ceci
rappelant les paroles de Charles Hernu, Ministre de la Défense sous
Mitterrand : « Si notre monde devient un enfer, nous pourrons en être
fiers car ce sera nous qui l'aurons créé. »
Docteur Jean-Pierre DICKES
Président de l'ACIMPS