FAIRE DISPARAITRE LES
PERE ET MERE DU FONDEMENT DE LA VIE FAMILIALE
C'est
exactement ce que veut faire ce gouvernement socialiste, sans foi ni loi,
d'après le psychanalyste Christian Flavigny : « S'il était adapté, ce projet gouvernemental ouvrirait le mariage
et l'adoption à tous ; cela validerait qu'un enfant pourrait de droit n'avoir
jamais son père et sa mère ».
Cette
confusion nuisible à l'équilibre de toutes les familles amènerait à faire
disparaître les pères et mère du fondement de la vie familiale : « L'État Civil les remplaçant par les
notions indifférenciées de parents déclinées en 1 et 2 ou A et B. Cette
indifférenciation dissipe le principe fondateur de la vie familiale... »
Et
que fait Vincent Peillon ?... à l'instar du Président dont il dépend,
il attaque tous azimuts. C'est vraiment le comble quand on songe qu'il
reproche à l'enseignement privé de pouvoir réaliser des débats sur le « mariage »
homosexuel, alors que même Najat Vallaud-Belkacem, porte-parole du
gouvernement, vient faire la promotion du projet de loi et du mariage entre
gays et lesbiennes dans les collèges publics, ce qu'elle n'a pas droit de
faire. Il y a clairement deux poids, deux mesures, précise Mgr. Cattenoz dans
Nouvelles de France.
LE MARIAGE, CE N'EST
PAS AUTRE CHOSE QUE L'UNION D'UN HOMME ET D'UNE FEMME
L'Archevêque
d'Avignon s'insurge, Monsieur Peillon outrepasse ses droits, comme de nombreux
ministres. Comment ce gouvernement « de gauche et Franc-maçon »
pourrait être favorable à l'Église ? Les dérapages de Vincent Peillon,
Cécile Duflot et Michèle Delaunnay en sont une bonne illustration.
Car
l'une des conséquences de ce projet de loi est le travestissement du
vocabulaire. D'après Mgr. Cattenoz : « Le
mot mariage ne signifie plus la même chose. Que ce soient les Grecs ou les
Romains, même au pire moment de leur décadence, ils n'ont jamais pensé que
le mariage pouvait être autre chose que l'union d'un homme et d'une femme.
Il en va de même pour la pilule abortive, considérée comme un médicament, comme
si être enceinte pouvait être une maladie ! De même, l'euthanasie n'a rien d'un
droit à mourir dans la dignité ».
Bien évidemment,
toute cette folie prétend rayer les différences naturelles entre un homme et
une femme. Et tout cela sans se soucier le moins du monde de l'enfant.
Même
son de cloche pour l'Abbé Alain Maillard de la Morandais qui s'interroge lui
aussi : « Comment ferais-je
confiance à un homme qui a plaqué la mère de ses quatre enfants ? Et qui exhibe
comme première dame de France sa maîtresse ! ». Tout cela est
ridicule, à l'époque où le PACS est passé, on avait bien annoncé que ce ne
serait pas une porte ouverte au mariage gay, comme aujourd’hui on nous promet
que le « mariage » gay ne sera pas une porte ouverte à la
location d'utérus...
Une phrase de l'acteur
Ruppert Everett résume bien tout cette hypocrisie de salon : « Pour moi, il n'y a rien de pire que
d'être élevé par deux papas gays ». C'est un homosexuel qui parle.