Chers amis,
Chers camarades,
Voici
le moment de conclure cette convention. La IIIème. Voici venue la fin d’un
cycle, c’est-à-dire la continuation de la même aventure sous de nouvelles
formes.
Nous
l’avons dit de nombreuses fois ce week-end : le mouvement identitaire a 10 ans.
10 ans d’avance. Mais nous aurions pu dire, de façon aussi juste, que le
mouvement identitaire a 3.000 ans et, qu’en même temps, il naît aujourd’hui.
Le
mouvement identitaire n’est ni un parti, ni une association, ni un
rassemblement d’hommes et de femmes. Ou, plutôt, il n’est pas qu’un parti, pas
que des associations, pas qu’un rassemblement. Il est ici et maintenant mais il
n’est pas qu’ici et pas que de ce temps. Le Bloc identitaire peut disparaitre
demain. Je peux disparaitre demain. Vous tous, dans cette salle, pouvez
disparaître. Et nous disparaîtrons. Pourtant, le mouvement identitaire se
perpétuera. Car nous sommes, ici et maintenant, la consistance, l’agrégation provisoire
mais lucide et décidée, d’une énergie qui traverse l’histoire, qui tranche les
contingences du jour qui passe.
Nous
sommes Européens ! Nous sommes des fils et nous sommes des pères. Nous sommes
les fils des hoplites de Léonidas et d’Alexandre. Nous sommes les descendants
d’Aristote et d’Eschyle. Nous sommes les fils des chevaliers francs qui prirent
Antioche, Saint Jean d’Acre et Jerusalem et nous sommes également les héritiers
de la Renaissance. Nous sommes à la fois le fruit, la chair et l’écorce de la
civilisation européenne. En cela, nous sommes aussi des pères ! A notre tour,
nous nourrissons les mythes d’hier du feu qui nous habite. Au fil des jours
heureux ou d’infortune, nous sommes ici pour enrichir et pour transmettre, nous
sommes ici pour réinventer ce qui ne passe pas, ce qui ne passera jamais :
l’identité du peuple européen, son devenir.
Il
est facile de brûler telle une torche. Mais c’est ainsi que, rapidement, l’on
se consume. Nous brûlons, nous, d’une énergie renouvelable qui a nom enthousiasme,
ténacité, lucidité, volonté. Nous étions là il y a 10 ans, nous serons encore
là dans 10 ans. Nous avons dix ans d’avance car nous avons 3 000 ans de
recul. Nous connaissons la grande histoire, ses flux et ses permanences.
Il n’y a pas de limite à notre engagement sinon celui de nos moyens et de
l’efficacité parce qu’il n’y a pas de limite à notre amour pour notre peuple,
il n’y a pas de limite à notre imagination et à notre espoir.
Quand
on fait de la politique, en France, en 2012, on sait que l’on doit accepter de
plonger ses mains dans les entrailles d’un système pourri, qui a du mal à
digérer des décennies de mensonges et de vols, de veulerie et de lâcheté. On
sait qu’il vaudrait mieux ouvrir largement et éviscérer. On sait qu’à n’importe
quelle époque autre que celle-ci, l’opération aurait déjà eu lieu à l’unanime
satisfaction du corps social. Mais nous vivons à une époque où faire de la
politique, c’est supporter l’odeur morale de bêtes qui se battent dans leur
bauge pour savoir qui sera le plus gras, le plus rose des cochons. Le gland,
c’est maintenant ! Faire de la politique aujourd’hui, c’est serrer les dents
pour ne pas hurler de dégoût. C’est serrer les poings pour ne pas prendre les
armes. C’est se retenir de ne pas hurler de rire quand on voit Manuel Valls se
déguiser en Sarkozy et Jean-François Copé singer Marine Le Pen.
Mais,
pour nous, faire de la politique en 2012. c’est faire preuve de maitrise, de
lucidité et de patience.
Alors,
que voulons-nous ?
Le
pouvoir. Est-il à portée de main, à un an, à trois ans, à cinq ans ? Sans doute
pas. Du moins, le savons-nous. Du moins, ne trompons-nous pas ceux qui nous
suivent, ceux qui nous rejoignent chaque jour. Nous ne cultivons pas de vaines
espérances. Nous ne vendons par d’illusions.
Alors,
que pouvons-nous ?
Faire
pousser nos idées dans ce monde, préparer les moissons identitaires ? Oui. Non
seulement, nous le pouvons mais nous le devons et nous le faisons.
Attirer
à nous les meilleurs ? Oui, cela est une tâche importante. Nous n’avons pas le
monopole des bons militants, des bons cadres et des bons chefs. Mais nous
savons que nous sommes les seuls à proposer une solution à la crise historique
qui se pose à la France et à l’Europe.
Non,
nous ne survivrons pas avec une France isolée ou en tentant de traduire Maurice
Barrés ou Charles De Gaulle dans le monde de 2012.
Non,
nous pensons que l’assimilation comme l’intégration ne sont pas possibles. Et
comme nous sommes des scandaleux, nous ajoutons que nous ne les souhaitons pas.
Non,
nous ne croyons pas à la sainte croissance éternelle, nous savons que si un
autre monde est possible, il ne peut l’être qu’à la condition que le précédent
ait disparu.
Non,
nous ne croyons pas en l’égalité, en la parité, en la fraternité, en la
liberté. Nous croyons en la justice qui reconnait les hiérarchies naturelles.
Nous croyons en l’amitié avec nos amis et en la fraternité avec nos frères.
Nous aimons trop la réalité, même rude, pour respecter une liberté qui détruit
les libertés du réel.
Nous
savons qu’après Hollande viendra un président encore pire et puis ensuite un
autre encore pire. Car telle est la loi de la Vème république : la
décomposition absolue des pseudo élites, la nécrose totale de tout ce qui est
sain. Nous savons ce à quoi 55 années de cette république vont aboutir : un
mini Brésil ou un méga Liban.
Le
Brésil ? Ce pays continent où les favelas de Rio cohabitent avec les
centres d’affaires de Sao Paulo peuplées de descendants d’Allemands et de
Japonais, de Juifs et de Portugais. Ce pays où le racisme n’oppose même plus
les blancs aux noirs, mais les très noirs aux moins noirs, les moins noirs aux
bruns et les bruns sombres aux bruns clairs. Ce pays du métissage généralisé où
les riches s’enferment, protégés par des milices privées, et où les pauvres copulent
et crèvent de misère. Ce pays qui est un endroit, un lieu, un espace et même
une nation de football, mais certainement pas un peuple.
Le
Liban ? J’aurais pu dire le Kosovo. Ces terres où la majorité devenue
minorité subit la loi des plus nombreux, des plus agressifs, des plus
fanatiques. Ces terres où on ne se contente plus de caillasser des policiers et
des pompiers, mais où, par le biais de milices armées, on a anéanti tout ce qui
se rattachait à l’Occident et à l’Europe.
Alors,
pour conjurer ces menaces, que faire ?
La
reconquête par les armes ? Quelles armes ? Et qui pour les porter ?
La
communautarisation de notre peuple sur son propre territoire ancestral ?
Mais
quelles communautés ? Pour quelle part de notre peuple ? Où et comment ?
La
victoire aux Présidentielles ?
La
réalité est que si à ce jour il ne semble pas exister de solutions, c’est que
nos esprits ne sont pas prêts à en trouver. C’est que cette réalité qui nous
semble dure est encore trop douce. Face à un péril plus immédiat, la nécessité
suppléera à l’imagination. La libération des solutions suit toujours la
libération de la parole et des esprits.
Cependant
si les solutions sont encore captives de l’avenir, il existe déjà des
certitudes solides.
La
certitude que nous avons raison. Non d’une vérité sempiternelle et universelle,
mais d’une vérité qui nous est propre. D’une vérité qui est action, parce
qu’elle est perception du réel. D’ne vérité qui est celle d’un peuple qui veut
préserver son identité. Or, pas d’identité sans peuple, sans territoire. Ici,
c’est chez nous. Depuis toujours et pour toujours, tant que l’un d’entre nous
marchera sur ce sol.
La
certitude que rien ne se fera sans les militants. Nous sommes, vous êtes, le
ferment de notre peuple, la pointe historique de la flèche du destin. Un
mouvement sans militants, comme c’est le cas de ceux du système, c’est-à-dire
un mouvement sans militants qui acceptent de se faire casser la gueule, d’aller
dormir au poste ou de se lever à quatre heure du matin, ce n’est pas un
mouvement. C’est un syndicat d’ambitions. Un vaporisateur de vent. Ce n’est
rien.
La
certitude que rien ne se fera sans style. Le style, c’est-à-dire une certaine
attitude dans la vie. La volonté d’incarner celui que l’on voudrait être,
d’exsuder ses rêves et de s’imposer sa puissance d’exister.
La
certitude que rien ne se fera sans mémoire, sans savoir, sans culture. Nous ne
voulons pas de militants qui ne pensent pas, qui collent des affiches sans
réfléchir. Nous voulons des militants qui viennent à nous librement, qui
restent avec nous en hommes et en femmes libres. Quand on demande à des
militants de se battre pour un peuple et une civilisation, alors, on leur
demande de vivre et de lutter pour des livres et des chants, des philosophies
et des statues. Nous ne demandons pas qui croit en Apollon ou en le Christ,
mais qui veut que continue la pensée européenne et ses 35.000 années
d’histoire.
La
certitude que rien ne se fera si, à un moment donné, on ne donne pas tout. Il y
a des époques où l’on peut vivre d’accommodements. C’est encore la nôtre. Mais
qui ne sent pas que si, déjà, nous allions plus loin, la situation serait
meilleure, nous semblerait porteuse d’espérance ?
La
vie ne donne que ce qu’on lui donne. N’oublions jamais sa leçon. C’est parce
que, pour l’heure, nous n’avons encore donné que peu, que nous ne recevons que
peu. C’est parce qu’un jour, nous aurons tout donné que peut-être nous aurons
tout, et la victoire de surcroît.
Voilà,
entre autres, ce que je voudrais que vous reteniez. Le combat politique, au
sens le plus vrai et donc le plus noble, est nécessairement un combat total, un
combat de la vie, dans la vie, pour la vie. Un combat de l’exemple, à commencer
par celui que l’on se donne à soi-même. Une vie réussie, ce n’est pas un
discours, c’est une ascèse de l’action.
Le
20 octobre dernier, nos camarades nous ont montré que cet exemple, que ce don
supplémentaire de soi, existait. C’est une chose d’aller coller des affiches ou
d’aller manifester gentiment devant une ambassade ou un palais des congrès.
C’en est une autre que d’aller occuper à l’aube le chantier de la grande
mosquée de Poitiers en sachant qu’avant la fin de la journée, on sera arrêté,
mis en garde à vue et poursuivi par l’État socialiste et sa police. Je souhaite
ici saluer ces militants qui ont baptisé Génération Identitaire de la meilleure
manière : en se jetant tout entier dans le grand flot médiatique.
Cette
action illustre ce que nous sommes et ce vers quoi nous voulons aller. Nous
voulons et nous devons être des exemples. Non à copier, non à singer, mais à
vivre, chacun à sa façon. En venant chez nous, on ne devient pas plus
intelligent ou plus courageux. On devient ce que l’on mérite d’être. Pour peu
qu’on soit honnête avec soi, avec les camarades, pour peu que l’on mette en
actes ses désirs, qu’on mette de la volonté dans sa vie, alors, on se révèle.
Le
mouvement identitaire ne vaincra pas seul. Mais personne ne vaincra sans nous.
Personne ne vaincra si nos méthodes, nos mots d’ordre ne sont pas repris.
Nous
sommes parfois attaqués par nos adversaires qui expliquent que nous ne
représentons rien, que nous ne sommes pas grand-chose. À ceux-là, j’ai envie de
répondre : “Mais alors, qu’est-ce que ça serait si nous représentions quelque
chose ?! Qu’est-ce que ce serait si au lieu de 100 militants sur un toit nous
étions 10 000 sur 100 toits ?!”.
Quand
on voit le travail fourni, le terrain gagné, les batailles symboliques
remportées avec ce “pas grand-chose” que nous serions, alors, je me tourne vers
ceux qui, parait-il, représentent quelque chose, ceux qui “pèsent” comme on
dit, ceux qui passent sur les plateaux de télé, ceux qui bénéficient de
l’argent public. Et je leur dis amicalement : “Et vous, que faites-vous ?”.
Je
suis régulièrement en contact avec des militants ou des cadres subalternes de
l’UMP. Je reçois des encouragements, des félicitations. A ce fait, on mesure
combien un Copé a besoin de ses histoires de pains au chocolat pour espérer
l’emporter à la tête de l’UMP. Le peuple militant UMP est largement
identitaire. En cela, il ressemble au peuple tout court.
Je
suis aussi en relation régulière avec des cadres du Front national. Je sais
aussi que nombre de secrétaires départementaux, élus régionaux, simples
militants, suivent ce que nous faisons avec sympathie, parfois envie. Certains
se disent : “Et nous ? Quand ferons-nous cela ? Alors, de temps en temps,
quelques-uns nous achètent des affiches et vont les coller. Cela n’a l’air de
rien mais c’est très symbolique. Quand des membres d’un parti vont coller les
affiches d’un autre, ce n’est pas qu’une affaire de plaisir. C’est aussi une
question de ligne politique et stratégique.
La
ligne politique du Front national est claire. Elle est républicaine, laïque,
nationale, en le sens qu’elle ne croit qu’en la nation, qu’elle la place au
premier rang de ses préoccupations. Notre ligne est aussi claire : identitaire
et donc anti-jacobine, écologiste et donc anti-croissance, européenne et donc
favorable à un bloc continental. Nous nous sentons liés à la même origine et au
même destin qu’un Italien, un Polonais ou un Irlandais.
La
ligne stratégique du FN découle de sa ligne politique. Tout pour et par les
élections. Tout pour et par un appareil. Quand on pèse 18%, cela a un sens.
Notre
ligne stratégique découle de notre analyse et de notre tempérament. Tout pour
et par l’action de rue, le happening, tout pour éveiller les esprits, montrer
la voie.
Je
ne crois pas ces lignes antagonistes. Je les sais complémentaires. Au sein du
camp de l’identité française, il peut y avoir désaccord, il ne doit pas y avoir
affrontement. En tous les cas, pour ma part, je m’y refuse.
Le
mouvement identitaire est le mouvement qui, sur les questions d’immigration,
déplace le curseur sur ce que l’on appelle la droite. Nous ne sommes pas de
ceux qui disent tout haut ce que pensent les gens tout bas. Nous sommes les
seuls qui faisons au grand jour ce que les autres ne font pas.
Mais
si nous sommes les seuls, nous ne sommes pas seuls.
En
moins de 2 ans, nous avons levé une armée de sympathisants fidèles, généreux et
très présents. Leur soutien financier permet d’organiser aujourd’hui des actions
qui, sans cela, n’auraient pas été possibles. Ils sont notre base logistique.
Grâce à eux, nous pouvons envoyer nos militants au feu en sachant que,
derrière, ça tiendra.
En
10 ans, nous avons transformé un groupuscule en un mouvement qui existe sur la
scène nationale. Nous avons fait le plus difficile : nous avons créé une
marque. Il n’est désormais pas rare de nous voir une action attribuée, faite
par d’autres, au motif qu’elle ressemble à une action identitaire.
En
soi, notre bilan est remarquable. Je ne connais pas d’autre exemple sur ces 20
dernières années de mouvement passé du néant à une existence réelle et reconnue
comme telle.
Je
lis parfois des articles qui nous critiquent. Nous aurions dû faire ça, nous
n’aurions pas dû faire ci. Les uns disent qu’il ne fallait pas aller sur le
toit d’une mosquée. Que ce n’est pas correct. Voire un peu sale. Populaire.
Béotien. Pour ces penseurs, la révolution européenne passe par des conférences
discrètes, devant un public choisi, dans l’intimité d’une salle de Novotel.
Pour ceux-là, en gros, nous osons trop…
D’autres,
eux, crient, qu’au contraire, nous n’en faisons pas assez. Il fallait rester
sur le toit de la mosquée en se battant jusqu’au dernier. Ils se réjouissent
d’ailleurs de ne pas être des nôtres et réservent leurs forces pour le dernier
carré, sans doute celui pour la route.
Bien
sûr, nous sommes critiquables. Et nous ne nous privons pas d’exercer sur
nous-mêmes notre esprit d’analyse. Mais si j’évoque ces critiques, ce n’est pas
pour m’en plaindre. Au contraire ! C’est pour m’en réjouir.
Voir
converger vers nous en masse, de la presse, du Net, des blogs, autant de
critiques, d’analyses, de questionnements, de félicitations, d’insultes, de
menaces, de bravos, veut dire une chose qui se résume en deux mots : nous
existons !
Nous
existons en tant qu’objet politique. Nous existons aussi en tant que média, en
tant que créateurs d’informations et diffuseur d’informations. Média
aussi car nous sommes des intermédiaires entre ce que ressent une partie majoritaire
du peuple et les castes qui nous gouvernent. Nous mettons des actes et des mots
sur ce ressenti de notre peuple. Nous donnons du corps. Nous donnons de
l’existence.
Tout
est lié. Quand Copé parle de ses pains aux chocolats, il cherche juste à
séduire des électeurs. Il ne voit pas plus loin que le bout de sa carrière.
Quand Thierry Mariani, ancien ministre des transports de Sarkozy, dit avoir des
“inquiétudes communes” avec les Identitaires, il ne cherche pas autre chose que
continuer à camper un personnage d’homme de droite, très à droite.
Mais
leurs propos sont liés aux nôtres. Ils sont en aval. Nous sommes en amont. Ils
veulent faire leur trempette électorale dans les eaux qui montent. Nous
annonçons les tempêtes qui déjà dévalent vers nous.
Il
y a 10 ans, Jean-François Copé vantait le métissage, l’Islam de France. Que
dira-t-il dans 10 ans, si toutefois, il existe encore politiquement…
Parlera-t-il comme nous de “fracture ethnique” ? Parlera-t-il non plus
d’immigration zéro mais de retour à 100% ?
Qu’on
ne s’y trompe pas. Nous ne sommes pas fiers de voir des Copé, des Mariani, se
rapprocher de nos thèses. Ils sont, au même titre que les socialistes,
responsables de l’état de ce pays. Mais nous sommes satisfaits de les voir
contraints de changer de discours. Nous sommes satisfaits de les voir parler
identitaire, même s’ils le parlent mal, comme des enfants qui découvrent une
langue étrangère.
Cela
s’appelle une victoire culturelle. Une occupation du champ de la pensée. Une
amorce de victoires politiques potentielles.
C’est
vers ces victoires possibles qu’il faut à présent se tourner. Le plus important
est à venir. Le plus exaltant aussi, sans doute.
J’appelle
tous les Identitaires de ce pays à se joindre à nous. J’adresse un message à
toutes les forces patriotes. A tous je dis : “On ne partage pas l’espoir, on le
multiplie par le combat !”.
Et
c’est ainsi que je souhaite conclure : Espoir ! Combat ! Espoir et combat !
Pour
qu’à chaque matin de nos vies, l’or de l’aurore revienne répondre à l’or du
couchant.
Fabrice Robert,
Président du Bloc Identitaire
Président du Bloc Identitaire