IMMIGRATION
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À quand une Journée Internationale des
Victimes de Migrants ?
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a journée d’hier m’a particulièrement
mise en colère. Dans l’actualité du lundi 18 décembre 2017, on pouvait lire : « Les
premiers réfugiés, sur les 3000 qu’Emmanuel Macron s’est engagé
à chercher directement en Afrique, sont arrivés à Roissy. » Cet
événement coïncidait, comme par hasard, avec la Journée Internationale des
Migrants.■
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P
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lus
tard dans la soirée, je suis tombée sur un tweet de l’acteur américain Forest
Whitaker, dont voici le message :
« Today,
on #MigrantsDay, my thoughts go to all of those women and men,
old and young, who left a home behind to courageously pursue their hopes of a
better future. » Traduction : « Aujourd’hui, journée des
migrants, mes pensées vont pour tous ces hommes et femmes, jeunes et vieux, qui
ont laissé derrière eux une maison pour courageusement rechercher l’espoir d’un
futur meilleur. »
Visiblement,
la connerie c’est comme l’Europe, ça n’a pas de frontière. Pour
tous les perchés, voici à quoi est confronté le citoyen lambda (liste non
exhaustive) :
►Depuis
l’arrivée massive de migrants, le citoyen européen est devenu une proie
privilégiée pour les cambrioleurs, les voleurs, les violeurs : viols allant de
fillettes jusqu’à des nonagénaires.
►Les
agressions, violences, harcèlements sont courants, on peut se faire humilier,
tabasser gratuitement, voire vitrioler comme en Angleterre.
►Dans
nos villes, beaucoup de nos quartiers sont devenus sales, dangereux, où
pour une femme seule, sortir le soir est devenu un acte héroïque frôlant
l’inconscience. Par exemple en Italie, des migrants se sont masturbés en
publique, ont eu des comportements indécents proche d’établissements scolaires,
forçant des parents à se relayer pour protéger les enfants à la sortie des
écoles.
►Beaucoup
de villes ont perdu de leur douceur de vivre.
►Il
ne faut pas oublier aussi la forte moins-value des biens immobiliers
situés proche de camps de migrants que l’on doit brader pour vendre.
Patrimoines bien souvent acquis au prix d’années de labeur. Que restera-t-il à
léguer à nos enfants ?
►Les
centres d’hébergements d’urgence sont saturés par ces nouveaux venus, alors
que nos SDF restent dehors, et peuvent crever dans le froid.
►Et
ils sont bichonnés nos migrants. Dans le numéro spécial du Bulletin Épidémiologique
Hebdomadaire daté du 5 septembre 2017, on peut lire : « Les études réalisées ont mis en exergue la très grande précarité de
beaucoup de ces migrants primo-arrivants, qui présentent de nombreux problèmes
de santé, tant somatiques que psychiques ». D’où la création d’un guide à l’attention des professionnels de santé
« Soins et accompagnement des migrants/étrangers en situation
précaire ».
►On
distribue aussi aux migrants des livrets de santé bilingues, pour apporter des
informations sur « la santé, les droits et les démarches administratives
en France ». (Source : santepubliquefrance.fr )
J’avais cru entendre que de
nombreux Français n’arrivaient plus à se soigner, et que le trou de la Sécurité
Sociale, comme la dette du pays, était abyssal. Une des solutions sera
certainement de faire comme la Suède l’envisage, repousser l’âge de la retraite
pour payer la politique d’immigration.
►Alors juste une
question : À quand une Journée Internationale des Victimes de Migrants ?
