jeudi 18 janvier 2018

Les occupants de la ZAD devront la quitter ou seront expulsés

ACTUALITÉ

D
ans son discours sur l'abandon du projet d'aéroport à Notre-Dame-des-Landes, près de Nantes, le Premier ministre Philippe a précisé que le gouvernement mettrait fin à la zone de «non-droit», la ZAD, cette vaste «zone d'aménagement différée», rebaptisée «zone à défendre» par les opposants.

I
ntervenant ce mercredi à l'issue du Conseil des ministres au sujet de l'abandon du projet d'aéroport controversé à Notre-Dame-des-Landes, le chef du gouvernement français a également évoqué la question de la «zone d'aménagement différée», connue comme la ZAD, précisant que l'état de droit y serait prochainement rétabli et que cette zone de «non-droit» prendrait fin. « Les occupants illégaux des terres devront les quitter d'ici au printemps prochain ou seront expulsés », a-t-il précisé.

«Les trois routes qui traversent le site de Notre-Dame-des-Landes doivent maintenant être rendues à la libre circulation pour tous. Les squats qui débordent sur la route doivent être évacués, les obstacles retirés, la circulation rétablie. À défaut, les forces de l'ordre procéderont aux opérations nécessaires», a encore souligné le Premier ministre.

L’idée de construire un aéroport à Notre-Dame-des-Landes est née pendant les années 1960. C’est en 2000 qu’elle a été relancée par le chef du gouvernement de l’époque. Les militants opposés au projet ont commencé à occuper en 2009 la «zone d'aménagement différée», rebaptisée «zone à défendre».■ Source




La décadence

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