Addiction à la dissolution… ça
« colle » et ça fait mal à la tête !
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rogue, maladie, désespoir, prison… Valls a confié sa descente
aux enfers aux journalistes du JT de France 2 à l’occasion de la sortie de son
livre, « Journal d’une
renaissance ». On y découvre son addiction à la drogue et son combat
contre la maladie. « On devient une
espèce de loque » et « Je
me tuais à coups de seringues », commente l’auteur de ses
confessions. (Voir l’article de « La
Dépêche »)n
Et
bien non : au risque de décevoir nos lecteurs,
précisons tout de suite qu’il ne s’agit pas du locataire de Matignon, mais de
sa sœur Giovanna Valls Galfetti, qui a sombré dans la drogue à l’âge de vingt
ans. Alors, là non plus, « Padamalgam » !...
Quoique… À chacun sa came !...
Lui a sombré dans le sectarisme frénétique et le pouvoir lui est monté à la
tête en faisant gonfler les chevilles. En sport, ne dit-on pas : « Plus
les chevilles sont enflées, plus la tête est petite » ?
Mais, partant de là, il
n’est toutefois pas interdit de songer au comportement pour le moins inquiétant
de ce monsieur. Ce qui a, par ailleurs, déclenché une avalanche
d’interrogations sur le Net (Voir sur Le Gaulois : Valls électrocuté doit-il se faire
soigner ?). Il suffit de taper « Valls malade »
dans les moteurs de recherche pour être édifié.
Valls,
c’est à la dissolution qu’il se shoote…
En effet, après tant d’accès
de colère incontrôlée et de fébrilité compulsive que tout le monde a pu constater
sur les vidéos publiques, il est permis de s’interroger sur la capacité du
sujet « Valls-frère » à assumer correctement la charge qui
lui a été si imprudemment confiée. Car
son addiction à la dissolution est aujourd’hui patente et en fait un personnage
hautement dangereux pour les libertés publiques. Si on le laissait faire, il
dissoudrait tout ce qui n’est pas… lui !
Après
avoir liquidé « L’œuvre Française » de Pierre Sidos et
« Troisième Voie » de Serge Ayoub, sa dernière lubie : dissoudre
les groupes identitaires. Ben voyons !... Après les 130 morts et les 350 blessés du 13 novembre dernier… Après les agressions de
pompiers (1603 en 2014), de
policiers, l’hidalgo de sévices n’a rien trouvé de mieux à faire que de s’en
prendre à des gens qui n’ont tué personne.
D’autre part, nous attendons toujours avec impatience la réponse que Valls apportera aux questions écrites des députés Collard (FN) et Poisson (LR) (Voir l’article) au
sujet de la liste des djihadistes « français » que lui
proposait la Syrie et qu’il a refusé, il y a deux ans. Il lui reste désormais
moins d’un mois pour le faire.
En
l’occurrence, si les faits qui lui sont reprochés s’avèrent exacts, c’est alors
Valls et non les Identitaires qui méritera une sanction exemplaire : « l’indignité nationale » et son
renvoi immédiat du Gouvernement avec pertes et fracas… pour incompétence et
complicité. Et sans retraite de Ministre, bien entendu.n