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ui, vous n’avez pas
seulement tué Charlie, vous avez tué la Liberté de tous les Français.
Et, pour cela, vous
tous, les politiques, vous vous êtes accordés à droite et à gauche et à
l’extrême gauche et au centre et jusqu’aux dangereux écologistes, vous vous
êtes ligués pour nous voler notre Liberté. La Liberté de parler, de penser. La
Liberté de vivre, tout simplement.
Oui, aujourd’hui, les
Français vous accusent de les avoir tués à petit feu depuis, au moins, quatre
décennies.¢
Ils
vous accusent d’avoir armé le bras de ces terroristes avec lesquels vous êtes
si conciliants et, en même temps, si obséquieux. Au point d’accepter toutes leurs revendications qui font d’eux des
Français privilégiés au détriment des Français de souche européenne et non
musulmane.
Quand
je dis que vous avez tout accepté d’eux cela veut dire que vous nous avez interdit de faire et d’être tout ce qui ne leur
convenait pas.
Vous
leur avez accordé tant d’importance, depuis plus de quarante ans, qu’il est
malhonnête de vous étonner, aujourd’hui, des crimes par lesquels ils vous
remercient, comme celui d’hier, à Paris, dans les bureaux de Charlie Hebdo.
Car tout ce qui arrive
aujourd’hui est essentiellement de votre faute.
Vous
avez été aveuglés et vous avez volontairement aveuglé les Français de souche.
Et ceux qui voyaient encore et le disaient, vous les avez condamnés -au propre
et au figuré- pour qu’ils cessent de reconnaitre qu’ils voyaient. Pendant
que nous avions ces difficultés à exprimer notre clairvoyance, ils ont pris les
commandes de cette France qu’ils convoitent depuis la fin de la guerre
d’Algérie.
Et ça aussi, vous le
saviez ! Parce que nous vous avions prévenus.
Mais
vous avez préféré condamner à mort ou embastiller ceux qui voulaient vous
avertir des dangers que courait la France.
Oui, politiques
français, vous êtes tous responsables. Entièrement responsables.
Il
vous reste très peu de temps pour inverser la situation et nous faire gagner
cette guerre (au demeurant pas si sainte que ça) qu’ils nous ont déclarée et à
laquelle vous offrez NOS flancs. Les
nôtres, bien sûr, pas les vôtres, bien gardés au chaud de vos maroquins à l’abri
de vos demeures douillettes, excessivement gardées.
Rétablissez l’ordre.
Rétablissez nos libertés.
Rétablissez toutes ces libertés que vous nous avez ôtées au fil des ans au
profit des us et coutumes mahométanes. Laissez-nous vivre notre culture comme
nous le faisions avant l’avènement de l’islamisme radical qui vous dicte sa
loi. Et à laquelle sont soumis ou vont être soumis tous les musulmans de France
si vous persistez dans votre aveuglement.
Car,
ceux que vous nommez modérés, existent vraiment. Ils sont très peu
nombreux mais ils ont peur, eux aussi, de cet islam barbare. Ceux-là, ne seront plus modérés d’ici peu.
Ils auront subi la loi de la soumission ou le cercueil. Et croyez-vous qu’ils
choisiront le cercueil ? Ce sera de votre faute.
Inversez cette
situation.
Rétablissez les
contrôles aux frontières. Refusez l’immigration de masse comme elle nous est
imposée aujourd’hui par la caste bruxelloise.
Et
posez-vous cette question : « Que sont devenus ces balseros, ces
haraga qui mettaient leur vie en danger pour fuir, dans des coquilles de noix,
la misère dans leur pays ? »
Aujourd’hui,
ceux qui les remplacent arrivent en cargo ou en ferry. Par quel miracle,
dites-moi, ces gens si pauvres et malheureux ont trouvé les moyens de se payer une
croisière vers l’Europe ?
Parce qu’ils sont
envoyés par ceux qui dirigent leurs pays moyen-orientaux d’origine pour envahir
le continent européen. Cela
vous avait été annoncé dès le début des années 1960. Ne dites surtout pas que
vous ne le saviez pas.
Inversez cette
situation.
En
vous rappelant, surtout, que la majorité
des Français n’est pas musulmane. Ils sont Chrétiens, Juifs et athées,
bouddhistes ou hindouistes ou que sais-je, encore. Mais je veux bien que nous
soyons tous Français.
Des Français à qui les
mots Liberté, Egalite, Fraternité, Ordre, République, Démocratie, Devoir
citoyen, ont été enseignés depuis leur plus jeune âge.
Des
mots qui n’ont plus de sens, aujourd’hui,
par votre volonté de faire de la France un pays soumis au califat.
E Je ne pleurerai pas les victimes de
Charlie hebdo. On ne pleure pas les vrais Patriotes morts au combat. On les
vénère parce qu’on est fier de leur courage. Et on enseigne à notre
descendance, leurs actes de bravoure dans la Résistance à l’islam pour que, à
jamais, ils soient le seul exemple à suivre.¢