Enfants européens massacrés par le FLN en Algérie |
C
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es derniers jours, deux
journalistes américains et un touriste français ont été décapités par des
barbares musulmans appelés djihadistes et les politiques français crient à
l’assassin comme s’il s’agissait d’une toute première fois.
Le
très socialiste président leur ouvrant la voie de son laïus à la Caliméro,
depuis New York où, très précisément, il rencontre… des chefs d’états
soupçonnés d’y être impliqués pleinement.
Cessez
donc ces simagrées qui nous indisposent, messieurs. Les gouvernants français
savent. La France diplomatique SAIT.
Voilà
soixante ans qu’elle a été confrontée à cette même barbarie et elle ne s’en est
pas offusquée, pour autant. Au contraire. Elle
a multiplié, depuis, les actes inconsidérés qui ont amené les Français à vivre
dans l’insécurité perpétuelle même sur le sol de la Mère Patrie.¢
Certes, on se demande pourquoi ce guide français du haut pays niçois est allé se perdre dans les contrées kabyles qui, plus personne ne l’ignore, ont été le tout premier théâtre des crimes barbares et antifrançais en Algérie.
Certes, on se demande pourquoi ce guide français du haut pays niçois est allé se perdre dans les contrées kabyles qui, plus personne ne l’ignore, ont été le tout premier théâtre des crimes barbares et antifrançais en Algérie.
Pensait-il
qu’à soixante ans de distance, leur opinion envers un Occidental, Français et
chrétien de surcroît, pouvait avoir fléchi ?
C’est,
en tout cas, ce que les bienpensants de notre pays s’échinent à faire croire à
nos compatriotes. Aidés, en cela, par ceux qui appliquent la politique arabe de
la France qui perdure depuis ce cher général.
Ô Français ! Comme
votre jugement est puéril. La vie serait-elle faite, selon vous, de bonbons et
de caramels mous ? Mais quand, donc, ouvrirez-vous les yeux tout grands ?
Faut-il
vous rappeler les précédents - si proches, cependant - qui ont jalonné la vie
de ces Français qui, dans les larmes et le sang, tentaient de sauver leur vie
pendant que vous ne pensiez qu’à vous débarrasser « de l’affaire algérienne »
sans en chercher vraiment la solution ni entrevoir les conséquences.
La barbarie ? Elle
était là et vous avez fermé les yeux.
Parce
que vos dirigeants, de gauche, d’abord
et de gaulle, ensuite, vous ont convaincu qu’il n’y avait pas de barbarie.
Parce
qu’ils vous ont dit que ces « rebelles » menaient un juste combat. Hier, c’étaient des rebelles, aujourd’hui,
ils les appellent djihadistes mais ne vous y trompez pas. Ce sont les mêmes !
Parce
qu’enfin, ils ont décidé de taire ces crimes, une fois pour toutes et de vous
laisser dans l’ignorance afin que vous ne les jugiez point.
Et,
aujourd’hui, ces bienpensants de l’humanité, ces démocrates à sens unique,
hurlent à l’assassin parce qu’un Français a été décapité alors qu’il faisait du
tourisme en Algérie…
Un
petit retour en arrière s’avère indispensable, Messieurs Hollande, Fillon, de
Villepin et consorts - la liste des amnésiques est tellement longue.
Rappelez-vous ! Ne dites surtout pas que vous ne saviez pas ! C’était la
France. Notre France.
Le 20 août 1955, qui
restera dans l’Histoire comme « La nuit
des longs couteaux », le massacre d’El Halia faisait plus de 60 morts, égorgés,
éviscérés, dont plusieurs enfants âgés de quelques mois à 7 ans.
Et,
sept longues années plus tard, pendant lesquelles la France a vécu au rythme
des barbaries innommables tenues secrètes par les gouvernants de l’époque et
par ceux d’aujourd’hui, encore, il y a eu le bouquet final. L’apothéose.
Si
le 5 juillet 1962, comme l’affirment chaque jour, depuis lors, les politiques
véreux qui nous dirigent, la France
n’avait plus aucun pouvoir en Algérie, je vous conseille de lire ou de relire
le témoignage du Père Michel de Laparre, aujourd’hui décédé, qui rapporte les
exactions barbares commises par les algériens indépendants sur vos compatriotes
français de souche européenne.
Nous
ne publierons, ici, que certains passages du livre décrivant tout au long de
ses 255 pages, les barbaries d’alors et, pourtant, si semblables à celles qui
vous émeuvent tant commises par les djihadistes d’aujourd’hui.
Dans
son livre il écrit :
« On
ne saura jamais tous les excès de cette journée. »
« Non,
je parle seulement du 5 juillet 1962. »
« Les
gens se sont armés sans se cacher. Et quand, vers midi, la tuerie commence
place Foch et dans les grandes artères, d’un même geste, les mauresques
tirent leurs couteaux de leurs costumes de fête pour égorger, torturer et
dépecer les clientes des boutiques de la rue de la Bastille. »
« Des
enfants ont été ficelés dans des sacs de pommes de terre, jetés sur la
chaussée, écrasés par des camions ou aplatis contre des murs. »
« Je
connais un homme à qui les mauresques ont arraché les joues par lambeaux avec
les dents pour les manger. Il n’est pas beau, mais il vit toujours. Il était
ouvrier tôlier. »
« Des
français furent étouffés dans des fours, gelés dans des frigidaires,
crochetés aux abattoirs, vendus dans des boucheries, sciés dans des
menuiseries, découpés et mangés par des mauresques arborant des ceintures de
peaux. »
« Au
Petit-Lac, même, (ndlr : quartier périphérique au sud d’Oran) eurent lieu de
nombreuses exécutions. Des familles entières qui passaient en voiture à
proximité furent décapitées à la hache sur des billots. Un musulman qui
habitait là, m’a dit avoir dénombré le
lendemain, trois convois de douze
camions remplis de cadavres qu’on a déversés là. »
« M.
X… est à la fois instituteur et étudiant en médecine. Ses élèves musulmans
ayant su récemment qu’il avait besoin d’un crâne pour ses cours d’anatomie,
lui en ont apporté un. « Il y en a des dizaines au Petit-Lac » lui ont-ils
indiqué. »
« Durant
cette journée de honte, beaucoup d’amis très chers ont disparu à jamais, dont
notamment, nos amis Breuilh, père et mère de sept enfants (l’aîné douze ans
et demi, la dernière un an et demi). »
Fin de
citation
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Pour
ceux qui seraient encore sceptiques ou pire, obtus, rappelons l’assassinat «
des moines de Tibhirine », en 1996, affaire dont on reparle, aujourd’hui, après
14 ans de silence complice, tant des autorités algériennes que françaises. Ces
moines français établis dans un monastère près de Médéa, kidnappés et exécutés
dont on n’a retrouvé que les corps décapités.
Bien
entendu, nous ne pouvons pas détailler tous les crimes barbares commis par
cette engeance trop répandue, aujourd’hui, de par le monde.
Mais
de grâce, Messieurs ! Ne jouez plus les vierges effarouchées. Ne vous donnez
plus en spectacle. Laissez aux comédiens le rôle de pousser la chansonnette de
l’horreur et du malheur !
Et
demandez-vous, plutôt, ce que vous avez fait – ou pas – pour que l’on subisse,
encore, ces horreurs.¢
Lire en ligne : « Les
moines de Tibhirine »