Discours prononcé lors
d’un meeting à Genève, le 20 janvier 2013
J
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e salue l’initiative
qui a conduit à la réunion d’aujourd’hui et je suis convaincu qu’elle constitue
une étape importante vers la réalisation de ce front de combat identitaire
européen que nous souhaitons tous.
Je
m’exprime ici au nom de TERRE ET PEUPLE,
pour la France, et au nom de mes camarades de TIERRA Y PUEBLO, pour l’Espagne, et de TERRA E POVE pour le Portugal, qui sont en parfaite communion de
pensée avec nous et m’ont demandé de vous transmettre leur salut.
Avec
mon vieux camarade Pierre Krebs nous avons œuvré depuis longtemps à la
réalisation d’un front de combat identitaire européen, de Lisbonne et Madrid à
Rome, Belgrade et Moscou. Nos efforts sont récompensés aujourd’hui. Pour nous
identifier, nous utilisons volontiers le terme de « völkisch », ce qui est une façon de dire que nous nous
battons pour que les Européens redécouvrent que leur destin passe par
l’appartenance à une communauté du peuple.
Communauté du peuple qui a une base
bio-culturelle, ce qui veut dire que, pour nous, l’identité implique
l’appartenance à une race et à une culture, implantées sur un territoire où se
trouvent leurs racines. Le droit à l’identité et à l’enracinement vaut
évidemment pour tous les peuples et c’est dans cet esprit que nous combattons
le mondialisme.
Nous
voulons être clairs au sujet de nos convictions : c’est pourquoi nous disons,
sans hésitation ni ambiguïté, que nous sommes racialistes. Être racialistes,
c’est considérer l’appartenance raciale comme un facteur décisif – mais non le
seul – dans l’histoire des peuples. C’est pourquoi nous attachons une telle
importance à l’ethno-politique qui, en liaison avec la géopolitique, est un facteur
de compréhension et d’explication concernant les relations entre les peuples au
cours de l’histoire, aujourd’hui comme hier et comme demain. Pour prendre un
exemple dans l’actualité, on ne peut rien comprendre à ce qui se passe au Mali
si on ne connaît pas les communautés raciales qui habitent ce pays et sont
opposées depuis toujours par des antagonismes sanglants, comme l’a démontré
dans ses ouvrages mon collègue et ami Bernard Lugan.
Aujourd’hui,
si nous voulons réveiller les peuples européens anesthésiés par le pouvoir cosmopolite,
sur le plan politique, économique, culturel, il faut parler clairement. Bien
sûr, cela implique des risques mais nous sommes des combattants et il n’y a pas
de combat sans risque.
Notre
mission est de réveiller la conscience raciale des peuples blancs, qui sont menacés
de mort par les envahisseurs venus d’autres continents et qui haïssent les Blancs.
Ceux-ci sont désarmés moralement, intellectuellement, psychologiquement par le
conditionnement mental qui leur est infligé depuis 1945 et qui veut leur faire
admettre qu’ils sont coupables et doivent donc expier le fait d’être ce qu’ils
sont, c'est-à-dire supérieurs. Sont responsables de cet asservissement les
monothéismes, les religions du Livre, les fils d’Abraham comme se définissent
aussi bien les musulmans et les chrétiens que les juifs – ainsi que les
versions laïcisées des monothéismes que sont le marxisme et le capitalisme.
C’est pourquoi c’est en retrouvant la fidélité à leur âme la plus profonde, à
leur plus longue mémoire, à l’héritage des ancêtres, donc à leur identité
païenne que les peuples européens pourront se libérer, se remettre debout.
Notre
mission est donc claire: pour organiser la résistance et la reconquête
identitaires, il faut éveiller les consciences de nos frères et sœurs de sang.
Nous sommes, nous devons être des éveilleurs. Avec une devise dont nous sommes
fiers et qui est notre boussole: Notre
Honneur s’appelle Fidélité.
Paru
sur SynthèseNationale (Posté par Jean-Pierre Pagès-Schweitzer)