Communiqué de l'Institut Civitas
Nous
avions appelé à manifester en masse contre le projet de loi sur le mariage
homosexuel et près de 20.000 personnes se sont retrouvées autour de nous ce
dimanche 18 novembre 2012 à Paris, entre le ministère de la Famille et
l’Assemblée nationale.
Nous souhaitons remercier chaleureusement tous ceux qui sont venus des plus larges horizons pour porter notre message afin de barrer la route à ce dessein gouvernemental. C’est un grand succès et le mouvement va s’amplifier dans les semaines qui viennent.
Nous souhaitons remercier chaleureusement tous ceux qui sont venus des plus larges horizons pour porter notre message afin de barrer la route à ce dessein gouvernemental. C’est un grand succès et le mouvement va s’amplifier dans les semaines qui viennent.
C’est
sans doute ce qui a suscité les vives craintes de Caroline Fourest qui a
immédiatement répandu dans la presse sans apporter de preuve qu’elle était
venue comme journaliste et qu’elle avait été « tabassée » à
plusieurs reprises. Compte tenu de ses revendications affichées sur le sujet de
l’homosexualité, on peut clairement s’interroger sur l’impartialité de cette
journaliste en la matière et sur le caractère plus que provocateur de sa
présence. Il faut savoir que Caroline Fourest était déjà venue accompagner, la
veille, des militants agressifs, hurlant et brandissant des pancartes, prônant
le mariage homosexuel, lors de la « Manif pour tous » partie de la
place Denfert-Rochereau. Déjà Caroline Fourest avait été refoulée, en présence
des forces de sécurité.
Lors
de notre marche de ce dimanche, cette dame accompagnait des extrémistes
féministes et homosexuelles qui se sont présentées entièrement dénudées devant
les enfants (ce que cette journaliste appelle de « l’humour »). Leur
contre-manifestation n’était pas déclarée. Elles se sont approchées de notre
colonne en hurlant, en présence des forces de sécurité. Il faut noter que
toutes ces contre-manifestantes agressives, Caroline Fourest comprise, ont été
arrêtées par celles-ci. En revanche, la police n’a interpellé aucun des
manifestants qui ont pu continuer dans le calme leur marche jusqu’à l’Assemblée
Nationale. Qu’il nous soit permis de remercier les autorités pour leur
professionnalisme afin d’assurer la sûreté de tous.
Alain Escada
Secrétaire général de l'Institut
Civitas