12 millions
d’étrangers et fils d’étrangers occupent la France depuis maintenant 40 ans.
Leur provenance, souvent d’origine magrébo-africaine ne peut que nous sauter
aux yeux. L’étrangeté, c’est que pour les hautes instances « vérolant le
système », l’immigration n’a pas augmenté, et seul le fantasme alimente la
peur.
Je
me suis promené à Barbès, comme ont pu le faire les journalistes russes ou
israéliens, et je dois bien avouer, avoir trouvé peu de mes congénères de type
blanc et français.
Il
ne me dérange pas d’avoir des gens de couleur ou de mœurs différents des
miennes, mais il me gêne plus de devoir penser que ces personnes ne constituent
que les prémices d’une invasion beaucoup moins pacifique, une fois qu’ils seront
majoritaires.
Le
terme invasion ne doit pas vous choquer, il accompagne généralement les
vainqueurs d’un conflit guerrier qui, fort de sa victoire, va pouvoir imposer
ses codes et règles aux peuples soumis. Dans le cas présent, ce n’est pas par
la force et le droit que nous autres Français de souche, voyons notre art de
vivre et nos lois reculer, mais par la loi du nombre donc de la démographie, par le remplacement
du droit par les us et coutumes de ces peuples, par le recul et l’exil des populations de souche française
ne pouvant s’accommoder des nouveaux arrivants et par la collaboration des
hommes de pouvoir. Si vous n’êtes pas
d’accord avec mes propos, promenez-vous donc dans certains quartiers. L’accueil
vous y surprendra. Nous n’y sommes vraiment
plus chez nous.
Maintenant,
analysons brièvement les causes d’un tel déracinement de notre peuple et de ses
mœurs et posons-nous la question : que reste-t-il de notre culture et de
notre identité. La France, comme toute
l’Europe, se sont forgées sur le christianisme et la royauté. 1789 et les
deux siècles qui ont suivi, ont détruit le socle de ce qui a pu faire notre
cohésion. Les trente glorieuses, après deux guerres mondiales tragiques, ont vu
l’éclosion du tout loisir et du tout consumérisme. La famille a volé en éclat,
on en voit aujourd’hui le prolongement avec le mariage homosexuel, et
l’individualisme a entrainé la division, « diviser pour mieux régner, ça
vous rappelle quelque chose ».
Les
conséquences de l’individualisme et du tout pour soi sont, entre autre le refus de faire des enfants. Combien de fois
entends-je ; pourquoi m’embêter à faire des enfants, je veux profiter.
Mais profiter de quoi, des loisirs, de la chair ; travailler toujours plus
pour se faire plaisir. La conséquence
inéluctable que nous vivons depuis une génération, c’est bien la dénatalité.
On ne pourrait en ce cas que s’en
prendre à nous même, mais peut-être devrions-nous nous en prendre plus à la
philosophie ultra-libérale qui a fait de nous ce que nous sommes et qui nous a encouragés
dans cette voie. Rien n’est le fruit du hasard.
Devant
un tel vide et un tel délabrement de nos valeurs, les populations qui croient
en autre chose que la monnaie et le confort et qui sont pauvres, ne peuvent que
se servir des ponts qui leur sont construits pour remplir la vacuité de notre société.
Demain, vu le nombre des entrées d’immigrés en France, nous populations
Françaises, dont le sang de nos aïeux a tant coulé pour nous donner, ce qui va
finalement causer notre perte, regretterons de n’avoir pas réagi à temps.
Réagir contre
quoi ; me direz-vous, voilà 40 ans, que nos gouvernements nous inondent
d’arrivées migratoires successives, pour créer une belle société multiculturelle
et tolérante.
Moi,
je vous dirai que nous pouvons réagir en demandant à nos élites corrompues, pourquoi
elles laissent rentrer 300000 personnes par an, alors que 20% de la population
est au chômage. Ces étrangers ne créent pas de richesses, quand ils
travaillent, c’est de manière non déclarée. Beaucoup ne travaillent pas. J’ai
fait une expérience pendant six mois corroborant mes dires. Le matin, j’allais
observer en gare les populations montant sur Paris pour y travailler, et j’y
constatais que peu d’étrangers y étaient représentés. Le soir, me rendant à Paris,
vers 17 :00, je faisais partie des rares Français dans le train. Et si je
ne m’abuse, je ne pense pas que le soir on travaille plus que le jour. Alors
pourquoi toujours plus, alors qu’ils ne travaillent, pas rapport à leur nombre, que la situation économique en France ne
s’arrangera pas et qu’en conséquence ils ne paieront pas nos retraites. Tout simplement, parce que leurs mœurs et
leur esprit conquérant entrainera tôt ou tard un conflit au sein de la nation
française et engendrera alors « ce choc de compétitivité tant souhaité
par nos gouvernants ». Chaque conflit est suivi d’une croissance
vigoureuse. C’est peut-être la solution ultime, murement réfléchie par nos
élites pour relancer l’économie et permettre d’éliminer un certain poids
d’improductifs. L’économie n’a jamais
fait dans l’humanité.
Quand
un tel scénario se produira, qui pourrons nous blâmer. Sans hésitation, des gouvernants
collaborateurs à l’extinction de leur propre peuple, et si nous vainquons, nous
pourrons demander leur comparution devant un tribunal républicain pour haute
trahison. Comme je suis républicain, je leur laisserai une chance de se
défendre mais suis convaincu que ce tribunal les condamnera à la plus haute
peine, je ne suis pas un abolitionniste de la peine de mort.
Que
pouvons-nous faire d’autre pour lutter. Fantasmons un peu : demandons la
dissolution des groupes gouvernementaux antiracistes, qui sont bien trop connus
pour être cités, et qui touchent de substantielles indemnités. Exigeons la
dissolution des partis politiques pro-immigration et pro-mondialistes,
collaborateurs à un ordre nouveau, dont une grande majorité de la population française ne veut pas.
Soutenons les flics massacrés ou victimes de guet-apens en descendant en masse
dans la rue pour demander justice. Demandons compte à une justice qui a pris
fait et cause pour les coupables. Organisons des pétitions pour refuser le
paiement de l’impôt si celui-ci sert à financer l’immigration massive
entrainant de fait une entorse aux critères budgétaires européens. Allons
jusqu’à saisir la cour européenne de justice et demandons lui de trancher entre
le principe d’équilibre budgétaire et le devoir d’accueil, qui par son coût
vient entraver le premier principe. Quel principe prévaudra ?
Revenons
aux bases de notre société que sont la famille traditionnelle. En un mot,
opérons une révolution de nos mœurs et n’acceptons pas l’ordre que l’on nous
impose. Soyons des hommes et des femmes libres, fiers de nos valeurs et surs de
notre civilisation et de notre pays. Ceux des étrangers qui partagent les
valeurs de la France sont les bienvenus, je le répète, la provenance des uns et
des autres ne me pose aucun problème.
Voilà un peu de
fantasme, à nous de le transformer.
Français, Françaises,
trouvez tous les moyens légaux de lutter contre cette invasion destructrice et
quand le moment sera venu, ou vous ne pourrez plus tolérer l’intolérable, alors
vous devrez utiliser d’autres moyens, l’insubordination et la révolution, la résistance à l’oppression,
mais ce n’est pas encore à l’ordre du jour. En attendant, faites des enfants
pour que notre peuple ne meurt pas.
Ou acceptons de
disparaître.